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TommyDuke
42 abonnés
273 critiques
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2,0
Publiée le 4 mars 2012
Le plus mauvais Bond avec Sean Connery. On s'ennuie ferme avec cette histoire de diamants, completement tirée par les cheveux. Même Connery finit par lasser. Et mis à part une ou deux scènes sympa (dont celle des deux filles qui lui mène la vie dure au combat corps à corps), le film souffre d'un manque de rythme flagrant et d'un enjeu vraiment pas palpitant.
Après le magnifique et unique opus de George Lazenby, Sean Connery est de retour pour un sixième dernier épisode (officiellement)! Autant le dire maintenant, il est toujours excellent dans le rôle de l'agent secret, même après 4 ans sans l'interprété. Là ou j'avais décelé un léger désintérêt de sa part pour le personnage dans "On ne vie que 2 fois", je n'ai pas ressenti ça ici. Pour la première fois, la James Bond Girl est une américaine. Mais autant dire maintenant qu'elle est légèrement stupide et qu'on a vite fait de l'oublié, notamment après l'excellente Diana Rigg. Les personnages secondaires sont convaincants dans leurs rôles respectifs. Le méchant, Blofeld à nouveau, est sans doute le moins bon de la série. Il n'est pas mauvais, mais bien moins convaincant que les autres. Le scénario est simple mais nous garde éveillé, il avance bien. Je ne me suis pas ennuyé une seule fois. Tout comme Bond 6, les combats sont très bien réalisés mais sont moins nombreux il me semble. Quelques nouveaux gadgets sont de sortie dans cet opus et sont assez sympathique et pratique pour l'agent secret. La BO du générique est très bonne elle aussi. Malgré qu'il soit moins bon que le dernier opus, "Les Diamants sont éternels" dit au revoir à Sean Connery comme il faut !
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4,0
Publiée le 5 juin 2011
Comment rèparer "le faux pas" d'un èphèmère remplaçant après "On Her Majesty's Secret Service" avec George Lazenby ? En rappelant tout simplement Sean Connery qui n'avait pas attendu sa semi-retraite de ce film pour se mènager une double carrière! il est secondè ici par Jill St John, ravissante Tiffany Case, et surtout par les deux tueurs homosexuels (Kidd et Wint) qui assassinent paisiblement avant de repartir main dans la main! Après le romantisme de "On Her Majesty's Secret Service", les scènaristes retrouvent le goût des èpisodes cruels ou mouvementès! Charles Gray est un honorable Blofeld et quelques scènes sont spectaculaires comme celle où Bond est enfermè dans un cercueil qui se dirige vers un incinèrateur! L'un des clous de "Diamonds Are Forever" est une fèroce bagarre dans un ascenseur qui rappelle celle qui opposait Bond à un gèant blond dans un compartiment de wagon-lit dans "From Russia with Love". Le succès est, là encore, instantanè, avec une bonne chanson interprètèe par Shirley Bassey et une bande annonce particulièrement prenante...
Les Diamants sont éternels est loin d’être le meilleur film James Bond, mais ça reste un bon divertissement. La mise en scène de Guy Hamilton est irréprochable, le scénario est recherché et intéressant et les acteurs comme Sean Connery, Jill St. John ou encore Charles Gray sont convaincants dans leurs rôles.
Très classique, trop classique, ce James Bond là n'est pas des plus marquants. Manquant singulièrement de rythme par moments, le film fait même parfois montre d'un kitsch assez hallucinant. Le scénario est très complexe, pour ne pas dire tiré par les cheveux. Heureusement que Sean Connery est là malgré tout, pour son dernier rôle dans la peau de l'agent 007, pas le meilleur. Et puis, tous les ingrédients d'un James Bond sont sauvegardés, ce qui est l'essentiel.
Dernier James bond pour Sean Connery après un film de pause ("Au service secret de sa Majesté") plutôt réussi. Mais j’ai toujours un peu de mal avec le fait que Bond réussisse a faire ouvrir les yeux aux méchantes qui changent de bord et rejoignent la cause du héros. Les explosions sont très impressionnantes et James Bond ne cesse de nous surprendre.
Après l'échec du précédent opus, les producteurs parviennent à rappeler Guy Hamilton, et bien sûr Sean Connery, pour un septième James Bond appelé avec la grâce habituelle Les diamants sont éternels. La mission est elle un peu décevante, mais on a quand même droits à quelques morceaux cultes et le retour de Connery fait plaisir. Agréable bien qu'un peu convenu.
Après le tempêtueux passage de George Lazenby dans la peau de Bond, Connery revient sur un pont d'or, par ailleurs une des raisons pour lesquelles il ne reviendra pas jouer dans la série - mis à part pour le controversé Jamais plus jamais en 1983. Il va nous réintroduire dans la série à une époque où elle s'était faite oublier, peinant à renouer avec ses gadgets mais sans pudeur encore sur les démonstrations technologiques expérimentales : motos des sables, sous-marins de poche...
Et dans une volonté d'amadouer les Américains après le flop d'Au service secret de sa majesté, on n'oublie pas la référence impossible à rater sur la falsification du premier pas sur la Lune : les protagonistes arpentent allègrement un faux plateau qui en représente le supposé tournage. Pour la première fois dans la série, la "Bond girl" est Américaine. Sans oublier la déjà flambante et flamboyante Las Vegas qui sert de décor à des courses-poursuites pas mal bidouillées. Le tout non sans un esprit revanchard des Britanniques qui viennent ajouter avec bon goût le grain de sel de leur autodérision, sain contrepoids qui fait passer la pilule d'une post-synchronisation et d'effets spéciaux indécrottables de médiocrité.
Un des plus célèbres films de la franchise bondienne. Très complets avec la présence de tous les éléments qui ont fait le mythe. Jill Saint-John excellente, Sean Connery égal à lui-même. Des méchants charismatiques, scénario qui rempli bien le programme, des effets spéciaux limités, les scènes d'actions convaincantes.
Un James Bond classique, c'est-à-dire, avec des cascades, des femmes, des répliques pour Connery. Bref, on est en terrain connu, et ce, malgré les deux tueurs gays (!!!)...
Un film somme toute assez moyen qui jouit d’une certaine notoriété pour une raison qui m’échappe. Sean Connery semble s’ennuyer, le scenario est tiré par les cheveux et la réalisation tout à fait quelconque. Mis à part la très jolie musique de John Barry et quelques scènes intéressantes (combat dans l’ascenseur, poursuite lunaire, dernière séquence…) il n’y vraiment pas grand chose de marquant. Il était vraiment temps que la série change d’air.
Si je reproche parfois aux épisodes récents de la franchise d'être trop sombres et trop sérieux, Les Diamants Sont Eternels s'inscrit plutôt dans l'excès inverse. Second degré typiquement "jamesbondien" et kitsch purement 70's sont réunis ici pour un coktail détonnant qui fera sourire et rire sans aucun doute, jusqu'à peut être en destabiliser plus d'un. Avalanche de jeux de mots et situations parfois grotesques jusqu'au risible: brochettes enflammées et doublure-chat en sont les meilleurs exemples, un plan grandiloquent à souhait: un satellite laser fait en diamants (rien que ça), Bond Girls élégantes et raffinées: hum hum Plenty O'Tool hum hum... donnent à ce James Bond un ton très parodique qui n'est en fait pas si déplaisant. Mon seul vrai reproche concerne surtout l'intrigue un peu confuse: Tweedle-Dee et Tweedle-Dum, par exemple, sont très sympathiques et ont une répartie à rendre vert de jalousie tous les Horatio Caine de Miami, mais au final qui sont-ils? Que font-ils? Pourquoi? et une James Bond Girl "principale" peu mémorable si ce n'est par son extraordinaire capacité à passer d'agent mercenaire compétent à cruche de service incapable en deux secondes; un peu plus d'action aussi n'aurait pas fait de mal. Les Diamants Sont Eternels reste cependant un film plaisant et divertissant qu'on ne se lassera pas de revoir à l'occasion.
Une forme de classique du genre rediffusé à la mort de Sean Connery un peu moins de 50 ans après. Quelques idées amusantes dans le genre macabre avec en fil rouge les deux tueurs presque comiques. Difficile de juger de l'originalité du tout pour ce long film où l'on retrouve un peu tout les poncifs du genre et vu sur différentes décennies. Il est distrayant mais fini par être longuet car l'impression du toujours la même histoire s'infiltre insidieusement. On remarque par exemple le choix des acteurs pour mettre en valeur le James Bond et cela finit aussi par être surfait, quelconque, comme ses aventures féminine d'un autre temps. Il reste une distraction pour les inconditionnels ou à regarder évasivement car au juste il n'y a rien à en retenir.
Le retour de Sean Connery muni de son charme et son élégance naturelle en lieu et place de George Lazenby n'est pas pour déplaire, notamment sous la houlette de Guy Hamilton. Blofeld revêt un énième visage, en l'occurrence celui de Charles Gray, un acteur inconnu émanant de la télévision US. Comme trop souvent, il se retrouve fait comme un rat débutant … dans des situations impossibles mais, comme d'habitude, il s'en sort à chaque fois. Les trouvailles ne manquent pas, le cercueil, le réseau de buses … Et bien entendu, en dehors de nunuches godiches, il en est d'autres plus guerrières comme Bambi et Perle Noire qui affrontent Bond sans complexe. Presque tous les premiers James Bond ont le même défaut, une première moitié plutôt monocorde et une seconde partie nettement plus mouvementée avec de l'action et des effets spéciaux explosifs. L'humour et l'ironie sont de mise, en particulier avec les deux tueurs qui regorgent de fantaisie pour éliminer leur principal adversaire. La corde s'use mais procure toujours un moment de détente.