Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Carne
71 abonnés
1 116 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Femme Fatale n'est pas le meilleur film de De Palma. Néanmoins, il en demeure un excellent divertissement extrèmement bien filmé. A voir pour ce faire un avis !!!
De Palma décline sa recette préférée (sexe et voyeurisme) mais marque singulièrement le pas ici. L'histoire biscornue semble n'être qu'un prétexte à une enfilade de scènes sans réel rapport les unes avec les autres, jouant sur le côté sulfureux sans le moindre fard ou artifice formel et frisant plus d'une fois l'inutilité. Les acteurs paraissent un peu perdus et livrés à eux-mêmes (Banderas en tête), et n'eût été la mise en avant de la plastique impeccable de Rebecca Romijn on n'en aurait sans doute pas autant parlé. Heureusement que le sens du rythme et du spectacle est toujours là pour éviter au spectateur de s'ennuyer. La fin, elle, laisse plus que perplexe...
(...) De l'auto-pastiche à l'auto-parodie, la frontière est ténue : De Palma l'aperçoit mais refuse d'y attarder son regard, quand c'est là qu'aurait pu commencer l'ébauche d'un véritable film. Il préfère se complaire dans ses acquis usés et ses arguments périmés ; las, le seul mouvement de Femme fatale est celui du surplace et de la déflagration (..)
11 900 abonnés
12 155 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 2 avril 2009
Le cinèaste Brian De Palma situe le dèbut de cette sulfureuse affaire au festival de Cannes où les somptueux bijoux arborès par les stars ne peuvent qu'attirer les concupiscenses! Ainsi une belle voleuse rèussit-elle à dèrober la parure d'un magnifique mannequin à la robe sexy trop crèdule! Et à doubler ses complices Rebecca Romijn-Stamos, somptueuse elle aussi, parvient à capter l'attention du spectateur malgrè la complexitè de l'intrigue qui se perd en mèandres parfois inutiles! Côtè technique, c'est èvidemment parfait avec une mise en scène virtuose dans la première partie, gènial pour les yeux! Un film en demi-teinte à la fois noir et sulfureux mais un peu confus...
Faussement sulfureux, le nouveau thriller de Brian DePalma "Femme fatale" est une fois de plus un catalogue des obsessions stylistiques et scénaristiques du célèbre metteur en scène : dualité entre réalité et illusion, thème du double, voyeurisme et sensualité exacerbée, tics de mise en scène tels que split-screens, flashbacks, etc... Mais là où le film prend de la hauteur, c'est parce qu'il est servi par un scénario solide et retors, avec des révélations progressivement distillées, jusqu'à ce twist final un peu artificiel mais sacrément éblouissant, à l'image de cette scène d'anthologie filmée au ralenti. Un sympathique divertissement au final, qui pour l'anecdote se déroule en France, entre le Palais des Festivals à Cannes (cadre hautement cinématographique) et certains quartiers de Paris. Les détracteurs de DePalma ne changeront pas de point de vue, les autres passeront un bon moment.
Revu avec un certain plaisir ce long-métrage de Brian De Palma. La réalisation propose une bonne dose de suspense, et l'histoire m'a bien plus emballer que lors de mon précédent visionnage car elle propose vraiment énormément de rebondissements. Rebecca Romjin-Stamos est en plus bien étonnante dans le rôle de cette mystérieuse "Femme Fatale", mais par contre j'ai pas franchement été convaincu par la performance d'Antonio Banderas. Une œuvre très divertissante et doté d'un scénario particulièrement malin et qui mérite donc sans doute plusieurs visionnages pour pouvoir être vraiment apprécier.
Sans aucun doute, compte tenu des moyens et du pedigree de Brian de Palma, qui a réalisé quelques chefs d'oeuvre, le plus mauvais film de toute l'histoire du cinéma. C'est tout simplement invraisemblable qu'une telle nullité ait pu être produite, tournée et distribuée, malgré les filtres hollywoodiens... Affligeant de crétinerie, dénué du moindre intérêt excepté la beauté fatale de l'actrice principale. Un clip de 3 minutes suffisait à la mettre en valeur... Acteurs pitoyables, mise en scène indigente, dialogues parfaitement grotesques, scénario d'une stupidité hors normes. Certaines scènes semblent issues de plusieurs films (ratés) différents... Le plus étonnant est qu'une certaine critique prompte à flinguer certains films fort honorables ne se soit pas mise à hurler à la mort, mais au contraire a témoigné d'une complaisance inquiétante. Il faut le voir pour le croire !!!!!! Digne du Panthéon du navet absolu
La photographie du film est digne d un film diffuse sur NRJ12. Quant a l image de la femme (je sais tout est dans le titre) elle est tout simplement degradante.
Un film qui reprend les recettes du cinéma Hitchcock sans strasses ni paillettes et du trash en guise de glamour. Une réalisation pompeuse sur un scénario nul et un hommage nombriliste au septième lard.
Une M$RDE ! Comment Brian De Palma a pu réaliser cet étron, ce navet en pouvant se regarder dans la miroir par la suite ? Comment a-t-il pu corrompre son art avec ce machin ? Il tient correctement sa caméra, mais à part cela il n'y a rien à dire, ou plutôt si mais en mal. Le scénario et le traitement de celui-ci est une immense blague de mauvais goût. Chaque acteur ou actrice se surpasse dans la médiocrité et la caricature. La musique est oubliable, voire détestable (par exemple les scènes se déroulant à Cannes). Je ne peux que vous dire une chose : Fuyez pauvres gens ! Fuyez !
A force de mélanger les grands thèmes d'Hitchcock, ceux de Lelouch avec quelques images à la Fellini, Brian De Palma nous fait une salade russe qu'on regarde avec plaisir, mais qu'on oubliera aussi vite malgré la superbe Rebecca Romijn-Stamos.
Un thriller divertissant malgré un scénario retors et improbable, grâce notamment à quelques séquences virtuoses de De Palma et la prestation convaincante et pleine de charme de Rebecca Romijn.