Avis : American Graffiti - Page 6

Un délire rétro-geek du meilleur effet, la dernière nuit estivale de jeunes aux portes de l'université qui, aux volants de leurs voitures, déambulent en quête d'émotions dans les rues de leur ville. Cela sent bon la drague, les années 60 et les bagnoles tunées. De l'ensemble, résolument léger, se dégage une douce nostalgie. Qui a dit que Georges Lucas n'avait fait que Star Wars ? Porté par une BO vintage omniprésente et par sa photographie impeccable, American Graffiti n'a pas pris une ride !

Voila un film trés controversé.D'un coté ceux qui en parlent comme un film culte,tranche de vie des jeunes Americains un samedi soir avec belles voiture,belles pépés et dialogues "à l'ancienne".D'autre ,comme moi, parlerait de film "simple" et qui n'a rien d'extraodinaire ,certes ancien (1973,j'avais 1 ans!),réalisé par une pointure du cinéma avec des acteurs "montants" de l'époque (comme Ron Howard ou Harrisson Ford si,si!)
American Graffiti est à voir au moins une fois dans sa vie (pour dire "j'ai vu ce ...chef d'oeuvre...") mais ne vous laissera pas un inoubliable souvenir si ce n'est l'impression d'avoir vu un épisode rallongé d'"Happy days" !

Produit pas Francis Fod Coppola, réalisé par George Lucas, avec Richard Dreyfuss... Je me suis dit qu'il devait être très bon... Mais je n'ai pas aimé. Je l'ai trouvé très plat, sans rebondissement ou retournement de situation, sans un bon scénario qui fait mouche, bref, j'ai été déçu.

Un exellent film, le deuxième de Georges Lucas qui signe ici un film frais, tonique et plein d'humour. Le tout porté par une BO décoiffante et de jeunes acteurs talentueux. American Graffiti est un hymne à la liberté qui, en 36 ans d'existance n'a pas pris une ride !

Un fil qui reflète parfaitement l'adolescence des années 60, avec de grands futurs acteurs et une bande son culte. Bien avant l'univers de Star Wars, George Lucas réalise un film culte.

Golden Globe du Meilleur Film de comédie. Un bon film réalisé par George Lucas et produit par Francis Ford Coppola. Avec un coté nostalgique, avec de l'amour, de l'humour dans cette histoire d'une bande d'amis qui viennent de terminer le lycée et qui décident de profiter d'une dernière soirée en bonne compagnie. Le casting est excellent : Richard Dreyfuss, Ron Howard, Paul Le Mat (Golden Globe du Meilleur Jeune Espoir Masculin), Charlie Martin Smith, Cindy Williams, Candy Clark, Mackenzie Phillips et Harrison Ford.

George Lucas a bien fait autre chose que des gros blockbusters Hollywoodien avec des hommes qui manient des sabres laser. En voyant American Gaffiti j'ai eu comme l'impression que ce film devait lui être personnel, reflétant un peu sa jeunesse et sa touche de nostalgie.
On est donc envoyé dans les années 60 avec jeunes a qui il arrivera des mésaventures et autres petite péripétie durant une nuit .

Là ou le film ne frappe pas très fort c'est dans son scénario assez creux offrant une vision trop étendu sur ces jeunes, on passe d'un personnage a un autre sans réellement s'attacher aux personnages .
Il n'y a pas un réel fil conducteur et on voit juste ces jeunes s'amuser, se rabibocher, draguer et faire des conneries, c'est sympa grâce a ce qu'il y a autour car dans le fond c'est un poil vide ce scénario .

Ce qu'il y a autour c'est l'ambiance des années 60 retranscrite a merveille, une ambiance des plus exquise munie d'une bande son décoiffante .
On retrouve pas mal de petite scènes avec un trait d'humour bien sympathique malgré les longueurs et le vide du scénario et voilà que American Gaffiti devient un film vraiment agréable .

American Graffiti est aussi une vision de l’Amérique obnubilé par l'automobile, le film se concentre presque autant sur les voitures que sur les jeunes .
Bref un film sympa qui mérite bien un coup d'oeil pour son ambiance soignée, sa bande son et ses quelques scènes vraiment cool et drôle mais ce n'est pas pour autant un film mémorable ou mythique .

Avant le phénomène Star Wars, George Lucas avait réalisé deux autres films : THX 1138 et American Graffiti. Le deuxième met en scène des jeunes, dont Harrison Ford fait partie. Lui qui plus tard obtiendra le rôle de Han Solo dans un autre film réalisé par George Lucas incarne ici un petit voyou féru de courses de voitures. En parlant de voitures, George Lucas était à l’époque un passionné de voitures et de courses automobiles. Il dut s’arrêter de faire des courses lorsqu’il eu un accident qui faillit le tuer. C’est alors que le réalisateur s’est tourné vers le cinéma. Si George Lucas n’avait jamais eu cet accident qui aurait pu lui être fatal, la saga Star Wars n’aurait jamais vue le jour. Comme quoi, le destin peut paraître fou.

un teen movie des années 60 dont seul george lucas avait le talent pour en faire un film culte. plongeant le spectateur dans la vie de plusieurs adolescents
qui sorte, s'amuse et flane en ville sur une bande originale d'anthologie qui nous berce avec brillot.

George Lucas n’a pas toujours été l’homme d’une seule idée, ni même cette espèce de notaire du cinéma, trop occupé à gérer un héritage imposant pour avoir le temps de faire autre chose. Pendant quelques brèves années, il fut un jeune loup du Nouvel Hollywood, partagé entre ses aspirations d’auteur et la conscience que si un film n’était pas vu par le plus grand nombre, il ne servait pas à grand chose de le tourner. Peut-être justement, ‘American graffiti’ constitua-il le préambule de ce virage vers un cinéma rassembleur, après un glacial ‘THX-1138’ devenu Classique SF avec les années auprès des esthètes mais dont personne n’avait eu grand chose à foutre à l’époque. ‘American graffiti’ fêtera bientôt son demi-siècle, film générationnel de baby-boomer tardif, et aujourd’hui, il est difficile de se rendre compte précisément de ce qu’était le regard d’un adulte des années 70 sur le jeune homme qu’il était à l’aube des années 60, juste avant que tout ne parte en vrille. L’univers se résumait-il à ce point à quatre roues et un moteur, comme dans ‘Cars’ ? Aux néons, aux Dinners, aux milkshakes et aux filles aux coiffures bouffantes qu’on essayait d’impressionner par une course de vitesse clandestine, une séance au drive-in, un arrêt impromptu au bord du lac ou plus prosaïquement avec de la gomina ? Est-ce que Lucas souhaitait célébrer cette adolescence insouciante...ou au contraire, comme le laisse supposer l’épilogue, graver dans le marbre cet ultime instant de félicité symbolique pour sa génération ? Le film se présente certes comme une comédie, qui relate les mésaventures occasionnellement burlesques qui arrivent à quatre potes durant une nuit californienne de 1963...mais c’est autre chose qui s’en dégage, perdu entre la légèreté et la vacuité des loisirs et ce refus d’envisager l’avenir avant que le compte des heures nocturnes ne soit parvenu à son terme, comme si chacun ne souhaitait grandir qu’à regret...mais aussi une mélancolie diffuse, comme si quelque chose avait définitivement disparu ce soir là. En cela, même si, à moins de faire justement partie de cette génération d’après-guerre, il n’est aujourd’hui plus possible de saisir instinctivement le regard de George Lucas sur le zeitgeist de sa jeunesse - rien à voir avec ce qui passe encore implicitement à la vision de ‘Breakfast club’ par exemple, pourtant distant seulement d’une grosse dizaine d’années, - ‘American graffiti’ est sans doute l’ancêtre probable des films de Richard Linklater, ‘Dazed and confused’ en tête.

American Graffiti est le film qui rend hommage aux années 60. American Graffiti n'aurait presque rien d'original en soit s'il n'y avait pas cet hommage. Hommage que l'on voit sous la forme des voitures d'époques,et de la jeunesse qui traîne la nuit. Mais surtout grâce à la BO Rock'n Roll des années 60,avec:The Platters, Chuck Berry, Fats Domino, Buddy Holly, Bill Haley ou encore The Beach Boys. Bref un film très Rock'n Rol et sa fait du bien. Au final dommage que ce film manque de rythme.

Un film assez unique en son genre, reflet d'une époque, le début des années 60 dans l'Amérique insouciante, durant laquelle George Lucas vécut la fin de son adolescence. Une dizaine d'années plus tard, en 1973, le futur réalisateur de "Star Wars" signe un hommage nostalgique à ces années folles, à travers le portrait d'une jeunesse naïve et optimiste, incarnée notamment par 4 amis qui passent leur dernière nuit ensemble avant le départ pour l'université. Ils vont vivre de nombreuses (més)aventures durant cette folle nuit, faire moult rencontres, et toujours se retrouver au diner du coin.
Lucas met évidemment à l'honneur le son de cette période, avec une BO rock'n'roll endiablée, mais il est aussi frappant de constater l'omniprésence des voitures, avec de très nombreuses scènes au volant et dans les rues, les héros dialoguant par la vitre baissée. Chaque personnage est ainsi caractérisé par sa "chignole"...
Au rayon des défauts, il faut relever un jeu d'acteur souvent approximatif, rendu encore plus déplorable par une VF atroce, ainsi qu'un certain amateurisme global des équipes de tournage.
Malgré cela, la magie opère, et "American Graffiti", gros succès public à l'époque, peut aujourd'hui prétendre légitimement au statut de film culte.

C'est surprenant ce que ce film, avec son scénario très futile à première vue, peut-être agréable à voir. Surprenant aussi qu'il ne vieillit pas. Est-ce que le métrage serait très différent s'il était réalisé aujourd'hui ? Je ne pense pas. Les "sixties", en 1974 ou aujourd'hui, restent les "sixties" !

American Graffiti réalisé par George Lucas en 1973.
*Les points que j'ai appréciés →
• L'ambiance rétro (américain)
• Les costumes et décors

*Les points que je n'ai pas appréciés →
• L'histoire inexistante

*Conclusion →
J'ai aimé, c'est un film léger mais qui se regarde. 6/10.

une soiré pour cloturé les vacance et apres partir pour les etude, une bande d'ami vont vouloir profité au maximum de ce moment, chacun avec eur histoire, il vont tout faire pour ne rien regretté, drage a tout va, course folle en voiture, et delire allumé, american graffiti montre un pays incoscient et perdu dans son avenir, une amerique insoucieuse su landemain ou seul faire la fete est importante...
goerge lucas fait d'american graffiti un film culte, bercé par les plus grand standard du rock des anné 60, dans eendiablé et grosse americaine sont de sorti, on y decouvre les debut d'harrisson ford qui plus tard retrouvé ce meme realisateur, et aussi richard dreyffus, ainssi que ron howard qui deviendra plus tard realisateur