Avis : Les Survivants - Page 3

le seul vrai intérêt de ce film réside dans son récit et l'avancée de ce cauchemar. il faut le dire la mise en scène très mollassonne ne nous rend pas le film captivant cependant on est captive par la manière dont ces gens vont s'en sortir. il est a note que le réalisateur et c'est la le piège est prisonnier des faits réels et ne peut se permettre d'enjoliver le récit originale il suit fidèlement le déroulé de l'histoire. on pourra remarque les beaux paysages et la jolie musique , les acteurs ne sont pas transcendants et parmis la multitude de protagonistes même les deux personnages principaux sont noyés. on ne sera pas dégoûtés par la scène anthropophage du film , si importante soi disant mais qui ne résume pas l'intérêt de ce film

je pense que la reflexion que nous devons avoir suite a ce film est : jusqu'à quoi sommes nous capables d'aller pour sauver une existence voué inévitablement a la mort ?? sommes nous prêt a aller au delà de nos principes , conviction religieuse ou personnelles ? de nos sentiments ? quelle est la vrai valeur de la vie ? je crois que le courage de ces gens et les idées, sacrifices ,horreurs qu'ils ont réalisés ou vécus nous donne une réponse.

plutôt intéressant sans être un bon film , les survivants est un récit qui fait froid dans le dos... imaginez vous a leur place ? que ferez vous ?

une histoire vraie trés émouvante qui nous raméne à la réalité de la vie.

Bof bof, le film souffre de trop de longueurs, la réalisation laisse perplexe, j'ai plus eu l'impression de voir un téléfilm a cause du jeu d'acteurs, de certains dialogues et la manière trop classique dont est tourné le film. Y'a que la scène du crash qui est très réussie.
En plus c'est trop porté sur la religion, c'était chiant de les voir passer leur temps à prier pour rien.

j'ai attendus longtemps avant de le voir, je l'ai trouvait moyen. Quelques longueurs, des dialogues pauvres, bref je met la moyenne à cause du sujet traité.

Très beau film ,filmé avec honneur et repect.Un incident "historique"retranscrit ici de manniere viscérale et avec le plus de respect possible pour ceux qui ont vécu ce cauchemard atroce.L'interprétation est très bonne...une maniere d'observé l'homme dans un milieu hostile et sa capacité a surmonter les dangers pour certains ou pour d'autre a se faire angloutir par les démons le plus insoupsonnés.

Magnifique. C'est le seul ajectif qui me vient..

Une adaptation relativement réussie du roman contant ce fait divers mais qui reste relativement décevante par un manque d'émotion et de force narrative.

Adaptation du crash et de la survie de l’équipe de rugby dans les Andes en 1972 qui pour survivre ont du manger les cadavres. Retranscription fidèle des livres des survivants, ambiance glaciale et psychologie exacerbées. Le film a toutefois plutôt mal vieillis, quelques incohérences et une gestion des acteurs pas toujours réalistes.

Film visionné le lendemain d'avoir terminé le livre "Les Survivants" de Piers Paul Read, racontant l'histoire de ce fameux crash dans la Cordillères des Andes en 1972, qui n'a laissé que 16 survivants, obligés d'avoir recours au cannibalisme pour s'en sortir...

Pour quelqu'un ne connaissant pas, ou peu, l'histoire, le film est une bonne porte d'entrée, étant assez fidèle sur les faits et le déroulé des évènements, avec quelques libertés.
Le jeu des acteurs est plutôt convaincant, avec des relations humaines qui évoluent avec le temps, mais c'est plutôt du côté de la mise en scène que ça pêche un peu... En effet, sans vouloir faire dans le voyeurisme, on a du mal à voir ces personnages autant affectés, tant physiquement que moralement, par ce qu'il leur est arrivé.
Aussi, le film fait quand même pas mal l'impasse sur ce sujet du cannibalisme, qui a quand même été central pour eux car synonyme de survie. Sûrement pour des raisons de censure et de bon goût, à l'époque, mais cela réduit un peu le côté "extraordinaire" de cette histoire.

Aussi, si le film met bien en avant cette réelle, et horrible, aventure humaine, parfois cela semble presque un peu trop simple, notamment quand Canessa et Nando traversent les montagnes pour enfin trouver de l'aide. Ce passage est assez vite expédié, et la musique trop "positive" a du mal à instaurer l'épreuve que ça a dû être.
Enfin, il est dommage de ne pas s'être un peu penché sur les tentatives de recherches et sauvetages qui ont été effectuées par les familles et institutions pour les retrouver, mais aussi leurs retrouvailles et les conséquences. Mais on ne peut pas blâmer un film pour ce qu'il décide ou pas de nous montrer;

Cela reste un film rythmé, intéressant et prenant, à voir.

Un film sur la survie d'un groupe de passagers dont l'avion s'est crashé dans les montagnes enneigées. C'est plutôt bien fait, bien pensé et cela reste suffisamment soft pour être vu sans dégoût quant au mode de survie extrême auquel ont fait face "les survivants". Cela reste bon même si aujourd'hui, beaucoup de réalisations se montrent plus exigeantes sur l'aspect physique des survivants (Barbes, maigreurs, vêtements usés... Qui n'apparaissent pas ici)

Un classique des années 90, qui a plutôt mal vieilli et qui avec le recul fait un peu kitch. Les dialogues sont banals, la psychologie n'est pas creusée (ça paraît bizarre par exemple qu'il n'y ait pas eu plus de conflits que ça dans une situation extrême d'isolement et de désespoir pareille), et donc l'ensemble reste très lisse, type téléfilm. Les acteurs font leur boulot, ça va, même s'ils m'ont l'air bien fringuants pour des survivants oubliés depuis 2 mois dans les Andes profondes...Or, on se sent pris d'un sentiment d'empathie envers les personnages car bien sûr, "si ça nous arrivait, que ferions-nous?". Par cela même, quelques scènes deviennent touchantes. Quant à l'éthique peu approfondie, au sujet du cannibalisme, cela ne me paraît pas essentiel (c'est très subjectif bien sûr). C'est la survie les mecs! On bouffe bien des cadavres tous les jours! Le goût ne devait pas être plaisant certes, et c'est sûr que ça doit être traumatisant de manger quelqu'un qu'on a côtoyé mais bon, comme dirait Nando, "Si je meurs, vous avez la permission de me manger", je n'en ferais pas tout un plat s'il n'y a rien d'autre à se mettre sous la dent. Ce n'est pas du cynisme, c'est tout bonnement de la logique de survie!

Hormis le chute de l'avion qui est plutôt mal fait, le reste est un vrai bijoux glaciale, sur des décors enneigés, une équipe de rugby s'efforce de survivre pendant trois mois au conditions extrêmes de la montagne des Andes, on retiens le talent des comédiens et l'histoire bien sûr, tiré d'un fait réel. Les mesures prises pour ne pas mourir de faim. Le monologue de John Malkovich au début et à la fin donne la larme à l'œil.

Un très beau film adapté de la tragique histoire de ce terrible crash d'un vol uruguayen avec à son bord une équipe de rugby qui se rendait au Chili.
L'adaptation est réussie et, même si les conditions réelles ont dû être encore plus cauchemardesques, Frank Marshall nous rend une belle oeuvre de solidarité, poignante et qui nous arrache quelques larmes.

Un film assez poignant dans lequel on ressent plutôt bien ce qu'ont subis ces pauvres survivants lors de ce crash d'avion. Le recours au cannibalisme est assez dur à supporter mais il permet également de faire réfléchir et de savoir jusqu'où on serait capable d'aller pour notre propre survit. On retrouve également dans ce film un certain Ethan Hawke encore tout jeune.

Le professeur de 1993 cultiva ses élèves en parlant de ce film, l’histoire vraie du crash d’un avion uruguayen, le vol traversa en toute tranquillité le Chili montagneux enneigé puis survient le crash tragique. 40 passagers comptabilisés, dont une équipe de rugby, 16 seulement survivent, les jours qui suivent se comptent en nombre et la probabilité infime s’amenuise dans ce climat de neige glaciale. Les températures dans la cordillère des Andes descendent bassement, jonglant entre jour et nuit, un danger guette mais les survivants tiennent le coup et d’autres auront moins de chance, terrassés par la rudesse de la nature climatique ou succombent aux sévères blessures occasionnées dans l’accident. Après avoir épuisé toutes les réserves de nourriture dans l’espoir que les secours arrivent à point nommé, le moment festif très arrosé vire au rouge. Dans l’instinct humain et animalier, le manque de nourriture agit sur le psychisme, une pertinence à améliorer, l’heure est venue dans la mise en scène classique aux effets lumineux bleutés de penser à quelque de tabou philosophique, impensable avant la catastrophe aérienne pour ces uruguayens lambas, une conviction tenace de ne pas mourir de faim et de froid, le recours au cannibalisme. spoiler:
La religion de ces fidèles serviteurs de Dieu naturel aide à compenser leurs craintes morbides, même les agnostiques se sentant seuls finissent par tomber dans les voies impénétrables du Seigneur. L’humain cadavérique cryogénisé décortiqué ressemble à la viande de Grison, le goût du bœuf séché cru ne perturbe pas trop, une dernière excursion obligatoire après des morts supplémentaires causés par l’avalanche, trouvera enfin le long chemin. D’après le récit qui confirme les idées reçues, l’anthropophagie était spéciale pour ces pathétiques en situation extrême, rendue à la rescousse bien charnue, ça reste troublante pour l’esprit humain spoiler:
. Que la lumière biblique fut, son salut chaleureux dans cet endroit tempéré au beau milieu de l’immensité blancheur de neige, un bon film avorté pour le peu d’émotion dans cette réalisation digne d’un téléfilm. Des acteurs américains parfaits pour être confondu avec la population uruguayenne physiquement proche et inversement, des descendants européens dirigeants ces deux nations, la culture latino-hispanique inexistante et une intrigue penchée vers l’anglo-américain way of life. spoiler:
Hommage aux victimes, certain accepta la fatalité et se refusa face à la résignation par principe ou dogme, spoiler:
des vivants ayant pu raconter leur périple angoissant arriver jusqu’à nous en littérature cinéma, il faut transgresser l’interdit, le surpasser afin d’en faire du sensationnel.