Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
rocky6
28 abonnés
1 638 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 12 septembre 2022
Une suite très réussie. Le film est plus rythmé et la mise en scène de Tony Scott apporte un vrai plus. Eddie Murphy est toujours au top dans le rôle de Axel Foley, ce flic casse-cou et roi de la tchatche. Toujours accompagné du duo Taggart et Rosewood, il enquête sur un gang de braqueurs. On retrouve aussi Brigitte Nielsen qui incarne une redoutable tueuse. Bref un film fun très typique des années 80.
Axel Foley trouve le moyen de revenir à Beverly Hills pour retrouver ceux qui ont osé tirer sur Bogomil et qui sont responsables de plusieurs vols. Avec Tony Scott à la réalisation, ce deuxième opus bénéficie d'une mise en scène beaucoup plus soignée, beaucoup plus rythmée et beaucoup plus efficace que celle du premier film mais perd en crédibilité ce qu'il gagne en esthétique. Le scénario, loin d'être fouillé, est (encore plus que dans le premier volet) un prétexte pour laisser Eddie Murphy en roue libre, cabotinant comme seul lui sait le faire, arrivant toujours à faire avaler les choses les plus improbables aux personnages sans craindre les représailles. A ses côtés, ses deux acolytes frisent plus que jamais la caricature. Si l'humour est là, c'est pour être lourd, s'appuyant sur de nombreuses facilités. Et pourtant, le divertissement reste présent, notamment grâce au rythme énergique sur lequel le film s'appuie, évitant de trop nous faire réfléchir.
Je l'ai trouvé beaucoup moins prenant que le premier. Il y a toujours de l'humour et de l'action mais moins fun que le premier. Une recette différente, plus classique. Axel retrouve Taggart et Rosewood après qu'un de leur proche ait été abattu. Les 3 flics se connaissent et mènent l'enquête ensemble. Rien d'inoubliable.
On prend les mêmes et on recommence mais avec Tony Scott à la barre. C’était déjà pénible dans le premier mais les braillements d’Eddie Murphy n’ont vraiment rien de drôle. Aucun antagoniste potable ne vient faire contrepoint à l’omniprésence du héros.
Eddy Murphy nous ressort son numéro de pitre et le tient du début à la fin. Pour le reste le film est identique au premier, ni plus ni moins élaboré, la recette cartonne toujours.
Avec le succès connu par Le Flic de Beverly Hills, il était impensable que le film ne s’en sorte pas sans une suite. Surtout que nous sommes dans les années 80, période où Hollywood commence à livrer des sequels à la pelle. Et des bonnes, qui plus est ! Indiana Jones, Star Wars, Aliens, Retour vers le Futur… Nouvelle aventure donc pour le policier Axel Foley, orchestrée cette fois-ci par un nouveau réalisateur. Adieu le méconnu Martin Brest (à qui l’on devra plus tard Rencontre avec Joe Black), place à Tony Scott (frère récemment décédé de Ridley Scott) qui sort tout juste du succès de Top Gun. Un nouveau regard pour la série ?
Pas du point de vue scénaristique en tout cas ! Cette suite reprenant ce qui a fait le succès du premier volet. Un personnage charismatique plutôt grande gueule au service d’une histoire tout à fait banale. Où le policier Axel Foley retourne à Beverly Hills pour aider ses collègues à mettre en échec une bande criminels, adeptes de hold-up sanglants dont a été victime une connaissance de notre héros. Voilà, rien de bien nouveau… Juste une nouvelle enquête menée tambour battant par un flic qui a la tchatche !
Mais même si la recette ne change pas, c’est encore un bonheur de retrouver Axe Foley. De le revoir malmener par sa verve certaines personnes, notamment des bandits et autres criminels. Entraîner ses collègues dans la débauche, eux qui sont pourtant si sérieux. De déambuler à Los Angeles sous les airs d’Axel F composée par Harold Faltermeyer. De se lancer dans une quelconque fusillade ou course-poursuite en voitures. Et qui ne s’embête pas avec une romance qui ferait tâche à tout cela. Bref, pour un bon divertissement sobre, qui ne prend aucunement la tête.
D’autant plus qu’Eddie Murphy se montre toujours à l’aise dans la peau de ce personnage, débitant ses répliques de manière acharnée. D’une fluidité sans pareil ! Des citations qui nous donnent une patate d’enfer à chaque fois que Foley prend la parole et la monopolise à sa façon. Allant jusqu’à faire des scènes en public qui valent le détour ! Éclipsant toujours ses compagnons de jeu, dont Judge Reinhold et John Ashton, qui pourtant, sont bien plus mis en avant que dans le premier film. Surtout au niveau de l’humour !
S’il a du changement dans ce Flic de Beverly Hills II, c’est du côté de l’humour, justement, que cette suite se démarque (bien que cela soit un grand mot) de son prédécesseur. Non pas que le comique initié par ce dernier soit d’un autre genre. Mais plutôt qu’il se révèle être atténué. Moins présent. Est-ce une mauvaise chose ? S’il n’y avait rien pour combler ce manque, sans doute. Mais rappelez-vous que c’est Tony Scott qui est à la réalisation de cette suite. Donc, question énergie, on ne peut être déçu !
Et en effet, Le Flic de Beverly Hills II se retrouve avec une mise en scène beaucoup plus musclée. Qui titille bien plus notre intérêt lors des séquences d’action, montées avec savoir-faire. Et non de manière clipesque, comme peuvent le craindre certains réticents au cinéma de Tony Scott. Surtout s’ils retiennent en tête des films comme Domino et L’Attaque du Métro 123. Ou encore Déjà-vu, pour une caméra au filtre assez jaunâtre. Non, rien de tout cela dans Le Flic de Beverly Hills II. Une mise en scène plus classique, certes. Mais (au risque de se répéter) qui ne suscite jamais l’ennui. Pas la moindre seconde ! Et pour un divertissement venant de l’écurie hollywoodienne à la bonne époque (celle des années 80), c’est une très bonne chose !
De l’humour en moins pour plus d’action, cela n’enlève en rien au charme que dégage Eddie Murphy/Axel Foley. Une nouvelle aventure (ou enquête, cela semble bien plus approprié comme terme) qui se suit toujours sans déplaisir. Après, vouloir continuer avec troisième épisode pourrait être une erreur, avec le risque de ne plus rien avoir à exploiter. Peut-être pour cela que le numéro 3 reste le moins bien noté de la trilogie (qui va bientôt s’agrandir d’un quatrième opus)…
Un deuxième épisode un peu plus sombre, mais un peu moins réussie que le précédent film. Réalisé cette fois-ci par Tony Scott et toujours produit par Jerry Bruckheimer. Le scénario manque un peu d'inspiration par rapport au premier, mais pour le reste le rythme est bon entre les scènes d'action et de gags. Dans cette suite, Axel Foley est de retour à Beverly Hills pour prêter main forte à ses collègues et amis afin de mettre en échec une bande de criminels qui commettent des hold-up sanglants. Eddie Murphy reprend bien son rôle d'Alex Foley et le reste du casting est pas mal : Judge Reinhold, Jürgen Prochnow, Ronny Cox, John Ashton, Brigitte Nielsen, Dean Stockwell, Paul Reiser, Paul Guilfoyle et Chris Rock qui fait ici ses débuts dans un petit rôle.
Deuxième volet des aventures policières "Le flic de Beverly Hills" réalisé auparavant par Martin Brest. C'est Tony Scott qui réalise celui-ci.
La fraicheur du premier épisode étant passée, les scénaristes ont donc penché sur les personnalités des trois flics principaux. Ainsi, Axel Foley est de plus en plus limite avec la loi, Billy Rosewood s'avère être de plus en plus dingue des armes de tous calibres et le personnage de John Taggart est englué dans une séparation avec sa femme qui le castre encore plus que dans le volet précédent.
Malheureusement, l'enquête principale se révèle être nettement moins bien écrite. Sur ce plan là, le premier film était mieux écrit et le spectateur était plus immergé à l'aspect policier du film, bien que les méchants aient toujours de grandes gueules.
Bien sûr c'est Eddie Murphy qui assure le film à lui tout seul et on peut se régaler de ses mimiques, toujours très drôles...
Cette suite du Flic de Beverly Hills est de meilleure facture que son prédécesseur en reprenant les ingrédients qui ont fait son succès tout en développant les personnages secondaires du duo de flic qui aide Eddy Murphy. Ca crie beaucoup et il faut aimer, après tout c'est le jeu d'Eddy Murphy, et si cela vous convient, vous aurez le droit à un film assez drôle par moment et bon enfant mais qui reste surcoté pour ma part.
Pour le deuxième volet, on fait appel à Tony Scott pour la réalisation, comme toujours dans ses années 80, fort du succès, les films originaux voient fleurir les suites, puis les troisièmes et autres, du moment que cela fait des entrées et rapportent un maximum aux producteurs. Bien sûr, cela garanti une surenchère d'action, d'explosions, de bonnes blagues et autres ficelles qui sont très grosses, mais peut importe, c'est ce que l'on aime dans ce cinéma des gros blockbuster. Ici, avec tout le savoir faire de Tony Scott, on reste un cran en dessous du premier opus, la surprise n'est plus là, il y a toujours les mêmes codes et avec Eddie Murphy, il y a l'humour en prime. A voir pour se replonger dans cette ère eighties si prolifique.
un eddie Murphy toujours aussi culotté avec sont bagou et ses sont franc parler . Une suite drôle dans les scène de Alexel folley quand il mène ses enquête et fait rire. 2 Jolie cameo son un de Chris Rock. des référence présente sur un grand acteur et sur des film . Un bon divertissement des année 80 sa fait du bien .
Sans doute le moins bon épisode de la trilogie, « Le Flic de Beverly Hills 2 » a beau être assez banal, il n'est toutefois pas désagréable. Eddie Murphy en fait trop, mais s'avère néanmoins drôle à plusieurs reprises, tandis que Tony Scott fait ni plus ni moins le boulot derrière la caméra. On retrouve par ailleurs avec plaisir ces deux acolytes, que Judge Reinhold et John Ashton jouent toujours avec un plaisir communicatif. Dommage en revanche que les auteurs aient livré aussi peu d'efforts sur le scénario, digne d'un téléfilm moyen que l'on oublie extrêmement vite. Passable, à défaut d'être insoutenable.
On prend les mêmes et on recommence : pour cette suite, le canevas est presque identique au film précédent, et joue sur les mêmes contrastes. Le scénario est assez paresseux, l'intrigue liées aux braquages étant laissée de côté pour mettre en avant les pitreries souvent poussives d'Eddie Murphy. De son côté Tony Scott réalise un travail correct mais impersonnel. Cependant, les personnages secondaire (Judge Reinhold en tête) sont assez sympathiques, et les méchants charismatiques. Se laisse regarder.