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Un visiteur
2,5
Publiée le 5 janvier 2009
mouais,en film noir j'ai vu mieux,classique,rien de nouveau ,rien d'original,la photo est sympa,la musique de nat king cole(pas terrible) ainsi que son role a 2 balles ne reussissent pas a sauver ce film desolé fritz ,tu as fait beaucop mieux.
« La femme au Gardénia » est un drame policier tourné très rapidement par Fritz Lang. Il n’en reste pas moins un film à l’intrigue bien ficelée et aux jeux prenants. Norah est une opératrice de téléphone qui se fait quitter par son fiancé par courrier. Par désespoir, elle accepte un rendez-vous à diner au Blue Gardénia avec Harry qui la confond avec sa colocataire. Après l’avoir saoulé à coup de cocktails, Harry emmène Norah à son appartement et tente d’abuser d’elle. Celle-ci le frappe avec un tisonnier avant de s’enfuir. Le lendemain, elle apprend qu’Harry a été assassiné et bien qu’elle ne s’en souvienne pas, elle est persuadée qu’elle est l’auteur du crime. « La femme au Gardiéna » va suivre la femme dans sa paranoïa. Fritz Lang s’amuse avec les codes du genre et rapproche des mises en scènes d’Alfred Hitchcock avec ses gros plans, ses ambiguïtés et différents indices laissés en route. Mêlant les tons légers et graves, « La femme au Gardiéna » est un charmant film noir. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un Fritz Lang assez moyen. Film policier mais qui est plutôt axé sur ses personnages que sur l'enquête. L'intrigue prend son temps pour démarré et n'est jamais passionnante. Anne Baxter est très bien comme d'habitude, cela dit c'est un des films mineurs de l'auteur.
Un petit 3 étoiles. La Femme au Gardenia souffre d'un scénario peu vraisemblable mais la mise en scène de Fritz Lang nous permet d'avaler la couleuvre. Le plus intéressant n'est pas ici la partie policière mais la vie en colocation des 3 femmes.
C'est surtout son scénario entièrement prévisible et sans imagination qui fait de La femme au gardénia un film mineur dans l'oeuvre de Fritz Lang. Divers détails manquent de subtilité et sont même un peu lourds, telle l'histoire du mouchoir. Si le film reste agréable à regarder en raison de l'interprétation impeccable des comédien(ne)s, de la très belle photo et de l'atmosphère, il ne décolle jamais vraiment. Le suspense est totalement absent, comme si le grand réalisateur s'en était désintéressé. Il y a tout de même quelques excellentes scènes où l'on retrouve la patte du maître, par exemple dans le bistrot où le journaliste rencontre la fausse coupable sous l'oeil apparemment indifférent du serveur qui va les trahir - seul rebondissement inattendu du film. A voir tout de même.
Un agréable film noir, plaisant sans être un grand Fritz Lang. On ne s’ennuie à aucun moment, même si le film ne montre pas beaucoup de force. La photo est et les jeux de lumière sont comme toujours chez Lang de qualité, mais le scénario est assez prévisible avec une fin vite expédiée, le jeu des acteurs sans grande imagination, les personnages secondaires peu valorisés (trio de colocataires), les personnages dessinés de manière un peu caricaturale (sémillant journaliste, coupable vieille fille voûtée dans son manteau démodé).
le film a vieilli tout comme les films de fritz lang et les films de ces année-là, ce n'est pas un chef-d'-oeuvre, je ne connais pas la filmographie de lang , mais bien qu'étant allemand, aux usa il réalisa des films totalement du style hollywoodien, du moins il en n'est question dans celui-ci, une gentille histoire avec une héroïne perdue dans ses sentiments et doutant de ses actes ; je regrette que ce ne soit pas hitchcock qui fit le film, il y aurait eu du suspens qui est, ici, totalement absent ici
Je me demande si ce film a inspiré le film Emmanuelle en 1974. Surtout en raison de la scène très romantique au restaurant polynésien, lorsque Norah est assise dans un fauteuil Pomare comme Emmanuelle en 1974. La suite de "la femme au gardénia" est nettement moins romantique, et Emmanuelle dans le film de 1974 ne l'est plus du tout....En fait c'était Krystal, la colocataire de Norah qui devait se rendre au restaurant polynésien dans le film de 1953...Krystel fait penser à Sylvia Krystel !!! A noter qu'en 1953 on retrouve Ruth Storey et Richard Conte dans le Péplum: "les esclaves de Babylone. Ruth Storey au nom qui peut faire penser à un épisode biblique: "Ruth Story", histoire de Ruth...
Un film assez original, qui repose sur l'histoire d'une femme qui suite à un rdv avec un homme, est obligé de se défendre lorsqu'il tente d'abuser d'elle. L'homme est ensuite retrouvé mort le lendemain et elle n'a aucun souvenirs de ce qui s'est passé, s'ensuit une enquête. Vraiment un très bon film, avec la sublime chanson "Blue gardenia" de Nat King Cole qui résonne tout au long du film. Une mise en scène bien noire, une Anne Baxter excellente et un final comme toujours surprenant.