Avis : On l'appelait Milady - Page 2

Cette suite des trois mousquetaires reste agréable à suivre,même s'il n'y a rien de franchement marquant.Lester arrive tout de même à nous faire partager un bon moment.

Une suite directe des Trois mousquetaires et qui nous raconte la fin des aventures de D'Artagnan et de ses compagnons, en lutte contre Richelieu et ses sbires (parmi lesquels Rochefort dont j'ai omis l'interprète dans ma critique précédente : C. Lee). Cette suite m'a un peu moins plu, moins fougueuse, moins de panache, moins drôle mais elle conserve ses autres qualités : reconstitution soignée, belle qualité plastique, réalisme et interprètes en grande forme. Le scénario met en avant Athos (O. Reed, impressionnant), le personnage le plus torturé et D'Artagnan est plus en retrait, trop lisse et naïf. La quasi-disparition des personnages de Constance et de Louis XIII nuit à la fraîcheur de l'ensemble. C'est plus sombre, plus profond mais le rythme reste alerte, avec des batailles impressionnantes. Le changement de compositeur (L. Schifrin remplace M. Legrand) n'est pas préjudiciable et ça reste un bon film de cape et d'épée. D'autres critiques sur

Le deuxième volet de la série. Le meilleur aussi. Toujours aussi burlesque d'ailleurs. La naïveté des personnages est tout de même assez énervante (comment D'Artagnan et Constance font donc pour ne pas se souvenir d'avoir bataillé contre Milady dans le premier volet ???). Par contre, les décors comme l'action sont au rendez-vous. Il ne faut pas oublier que le film date de 1974 ...

D'un côté, le film, la suite des « Trois mousquetaires » conserve son charme visuel avec de superbes décors et des costumes authentiques, et les performances des acteurs restent solides, notamment Charlton Heston en Cardinal de Richelieu et Faye Dunaway en Milady de Winter. Les scènes d'action, bien que parfois confuses, apportent une touche dynamique au film. L'humour, bien que présent, est moins lourd que dans le premier volet, ce qui est un point positif. Cependant, le film souffre de plusieurs défauts. L'intrigue devient parfois ennuyeuse, avec des longueurs qui ralentissent le rythme. Les scènes de combat, bien que bien chorégraphiées, sont souvent répétitives et manquent de punch. Le film oscille entre un ton sérieux et des gags burlesques, ce qui crée un déséquilibre. « On l'appelait Milady » est un divertissement correct, mais il ne parvient pas à égaler la qualité du premier film. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).

En gros c'est un film de de "Capes et Spaghetti".
Un western Spaghetti avec des tenue de mousquetaires.
Tourner en Espagne comme beaucoup de western Spaghetti.
Ce n'est pas péjoratif car j'aime beaucoup les western Spaghetti mais celui-là et de moi.dre qualité.