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Anonyme M
45 abonnés
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2,0
Publiée le 30 janvier 2022
très moyen. étant fan de sorcière, je n'ai malhereusment pas été convaincu. certes la qualité de dessin et d'animation est impressionnante surtout en hd 1080p MAIS déjà le scénario de base n'est meme pas respecté puisqu'elle était censé etre une apprentie sorcière et se rendre a l'école des sorcières HORS finalement elle reste dans une grande ville pour jouer les livreuses.......le scénario de base est déjà mit a l'eau, dexième MEGA problème une sorcière est censé jeter des sorts HORS elle passe sont temps a flotter dans les air en ballet......limite t'a vite l'impression que le père et la mère ont abandonné leurs fille !!, impression renforcé quand une boulangère de la ville va l'éberger......l'idée de base était bonne mais les scénaristes ont vite laissé tomber (ou peut etre que les idées d'époques ont eux raison du film) een tout cas le scénario maanque complètement de logique et de cohérence.
Moins féérique, moins fantastique mais absolument touchant. Kiki la petite sorcière est une histoire d'humanité plus que de sorcière et de pouvoirs magiques. Le personnage de Kiki est très attachant : elle transmet des émotions diverses et se distingue des héroïnes classiques : elle n'est pas toujours heureuse et joyeuse, traverse des périodes de mélancolie.. elle est humaine et c'est ce qui donne de la profondeur à son personnage. La succession de "quêtes secondaires" de Kiki dynamise un récit qui n'a pas d'objectif précis ni de "quête principal" si ce n'est observer l'évolution de l'héroïne. C'est en cela que Kiki la petite sorcière est une histoire humaine, basée sur les relations entre les individus et l'appréhension d'une nouvelle vie et des difficultés qui l'accompagnent. Le personnage de Jiji est primordial pour apporter une touche d'humour mais surtout pour son rôle de confident qui permet au spectateur de connaitre les pensées de Kiki. La capacité à transmettre des émotions à travers des dessins simples (et non pas simplistes) est impressionnante et très belle, ce qui en fait une œuvre intemporelle. Parfait long métrage pour découvrir l'univers d'Hayao Miyazaki.
Un récit initiatique symbolisant le passage de l'enfance à l'âge adulte à travers le thème d'une magie intérieure, qui peut être perdue par manque de confiance en soi, et de la communication animale dont la véracité disparaît avec une meilleure compréhension du monde entraînant une rationalisation qui ne mène pourtant ni au reniement ni à l'aigreur. Porté par une esthétique attrayante, notamment par la représentation d'une ville d'inspiration européenne ainsi que d'une nature proche, le récit, bien que simple dans son évolution, se pare d'un élégant symbolisme tout en bénéficiant de personnages attendrissants sans être mièvres. Une belle réussite, à savourer en VOST. Fort mignon!
Un autre chef d’œuvre de Miyazaki, pour changer. Le maître du long métrage d’animation nous séduit ici avec l’histoire de Kiki, petite sorcière qui doit apprendre à vivre indépendamment, grandir dans une ville où elle ne devra pas perdre confiance en elle, car en la confiance réside aptitudes et concrétisation
Ce n’est peut-être pas le meilleur film de Miyazaki et du studio Ghibli, mais c’est de très loin le film que j’ai vu le plus de fois durant mon enfance. Et encore aujourd’hui, Kiki la petite sorcière reste tout simplement mon film préféré. Mais il m’est impossible d’être objectif avec cette œuvre, ce pourquoi une critique de ma part ne serait pas pertinente. Je dirai simplement ceci : ce film rend heureux. Le monde de Kiki est un Paradis dans lequel j’aimerais vivre éternellement, une ville au bord de la mer où, après m’être envolé de ce train de marchandises, je pourrai couler ma paisible existence. Le simple fait que ce film existe suffit à mon bonheur. Quant à la musique de Joe Hisaishi, tout comme les chansons des génériques (“Rouge no Dengon” et “Yasashisani tsutsumareta nara” de Yumi Arai), je ne peux les écouter sans pleurer, pleurer sur cette enfance qu’on croyait perdue, mais qui au fond ne nous a jamais vraiment quittée…
Joli film, Kiki est super attachante mais ça c’est limite banal dans un Ghibli. L’histoire est jolie, je regrette quand même que le sujet ne soit pas traité un peu plus en profondeur et j’ai trouvé la fin très rapide, limite brutale.
Encore un film -du même réalisateur- où je reste sur ma faim en me disant « mais c’est tout !? Où est la suite ». On nous décrit un univers où on nous explique une petite part et tout le reste où on a des questions du pourquoi du comment des sorcières n’est pas évoqué. C’est frustrant. Alors oui le film n’est pas là pour ça, et le sujet du changement, de la difficulté de la vie à surmonter est bien abordé. Mais pourquoi donc une fillette de 13 ans doit se démerder toute seule simplement parce que c’est une sorcière. Pourquoi ?
Hayao Miyazaki revisite avec douceur le mythe des sorcières. Ici, fini les femmes affreuses et malveillantes, place à des personnes qui oeuvrent pour la société. Kiki, notre héroïne, doit accomplir sa formation de sorcière, se mettant au service de la population dans une ville où il n'y a pas de sorcière. Pas de combat ou de quelconque lutte en vue, car il n'y a aucun antagoniste, la sorcière du début est juste un peu hautaine, mais souhaite bonne chance à Kiki. Notre apprenti va connaitre l'aventure, le dépaysement, mais aussi les doutes et les incertitudes. On se laisse embarquer avec plaisir sur son balai, dans cet apprentissage de la vie.
Kiki la petite sorcière est loin d'être le meilleur Ghibli, mais reste assez divertissant. Les personnages sont mignons et attachants et l'animation et les décors sont toujours aussi colorées et dépaysants. Cela est un peu entaché par un scénario très simpliste et avec peu de rebondissements, mais les qualités du film suffisent à le rendre bon.
On constate que cette fois Miyazaki appuie encore plus vers un imaginaire qui s'éloigne du Japon pour aller se rapprocher du Vieux Continents. Notons que le film est réalisé en D2 traditionnelle sur celluloïds, mais avec un soin tout particulier pour les angles de vue utilisés pour les scènes de vol (zoom, panoramique, superposition...). Kiki est donc en apprentissage dans ce film, comme pourrait l'être une jeune fille en boulangerie (justement !) ou en coiffure, ou dans un quelconque autre domaine. Comparé à la plupart des films de Miyazaki celui-ci est plus simple, plus linéaire, plus "calme", avec un récit de quête initiatique assez classique auquel il manque sans doute un peu de magie, surtout quand on constate que le seul pouvoir de Kiki est de savoir voler. Néanmoins Miyazaki transcende sans aucun doute le livre, approfondi le propos et signe un conte moderne touchant même s'il manque un peu de peps ou d'effets émotionnels. Site : Selenie
Quand on s'appelle Hayao Mizayaki, je pense que l'on a bien mieux à faire que d'adapter ce conte pour enfants bien vide. Kiki la petite sorcière nous mets plein de paillettes dans les yeux dans ses premières minutes. Je m'imagine, à tort, suivre les aventures d'une jeune sorcière s'envolant pour la ville pour suivre un enseignement dynamique et onirique.
L'évolution de Kiki en terme de magie se résume au néant. Nous la découvrons ne sachant que voler en balai et parler à son petit chat. Nous la quittons exactement au même point. La faute à un scénario qui s'embourbe dans des péripéties aussi inutiles qu'enfantines. Une fois arrivée à la boulangerie, le quotidien de Kiki s'enlise dans la routine des livraisons à balai. Fascinant d'être une petite sorcière…
Les personnages secondaires sont sympathiques et attachants. C'est tout ce qu'ils ont. Seul le gamin collant se montre vraiment utile dans l'évolution psychologique de Kiki. Le reste se résume à des adjuvants peu consistants qui se contentent de lui proposer logis et quêtes. Rien de transcendant, ce long-métrage se complait du début à sa fin dans le cucul la praline.
Dans son fond, ce long métrage a au moins le mérite de mettre en scène la rupture entre modernité et tradition à travers le domaine de prédilection de Miyazaki, les airs. Les progrès de la science balaient l'onirisme de la magie… Les sorcières bientôt au placard.
En dépit d'une intrigue bien vide, Kiki bénéficie d'une bonne réalisation. Ghibli oblige, c'est très joli. Je suis toujours aussi fan de ces plans surchargés (surtout de végétaux) et de ces villes empruntant à diverses époques de l'histoire moderne. La bande son est aussi bien plaisante.
En 1989, Hayao Miyazaki signe un film d’animation très enfantin en raison notamment de l’absence de personnages méchants. Le parcours initiatique de cette jeune apprentie sorcière est l’occasion pour le réalisateur japonais de prôner la beauté de la Nature mais aussi de montrer les valeurs morales de la responsabilité et de la droiture. Le scénario très linéaire demeure toutefois bien puéril et sans rebondissement. Bref, c’est mignon mais sans grande originalité dans l’œuvre du cinéaste japonais.
1989 long métrage de Hayao Miyazaki, une sorcière c'est plutôt une forme de fantastique occidental et en vérité elle n'a que très peu de ce que l'on attribue à une sorcière malgré l'image avec le balai et le chat noir qui est un bon compagnon si peu que c'est un abus de titre de la part des occidentaux. Le titre japonais réel ne contient pas ce dénominatif 魔女の宅急便 : service de livraison de Kiki. C'est du pur Miyazaki on a une perspective de l'enfance qui est courageuse et entreprenante en plus d'être un modèle de gentillesse. On a une panoplie d'objet et de personnages volants qui sont une passion pour lui. On a un univers diversifié très beau et de belles personnes avec fort peu d'antagonisme sans même minimiser les difficultés de la vie, de faire les bonnes rencontres pour se loger, être nourri et faire face à la maladie et aux accidents et même à un conformisme déplaisant qui reste léger spoiler: épisode avec le policier et avec la petite fille qui dénigre ce qui lui est offert . Dépassé le préjugé du titre, ce film fait partie de la dizaine de classique du japonais qui est au delà par beaucoup de point de vue de toute les animations faites par ailleurs.
Voici un dessin animé japonais qui prend la forme d’une quête initiatique, celle d’une adolescente s’opérant tout en douceur. Car finalement, il n’y a pas de vrai danger pour cette jeune sorcière de treize ans qui s’émancipe, juste des préoccupations de son âge ! Elle aura d’ailleurs tôt fait de retrouver confiance en elle en fonction des gens qu’elle rencontrera ! Et comme souvent chez Miyazaki, la galerie de personnages est intéressante et comporte son lot de modèles positifs, ici des femmes indépendantes. Mais on y retrouvera également des engins volants et de folles cavalcades, péché mignon du réalisateur pour ceux qui se rappellent de la série « Sherlock Holmes » ou encore de « Porco Rosso » ! Moins puissant que « Le voyage de Chihiro », avec moins d’enjeux que dans « Ponyo sur la falaise » mais avec autant de magie et de bonhommie que dans « Mon voisin Totoro » ce qui lui confèrera un côté « film sympa à regarder en famille » !
Dessin animé mignonnet mais un peu mou sur les bords ! Le début est sympa, les aventures de Kiki aussi car il ne lui arrive que des mésaventures dans son boulot de sorcière-livreuse mais dans l'ensemble, l'histoire manque de profondeur & de relief ! Je m'attendais à une intrigue un brin plus palpitante m'enfin ! Il n'empêche qu'on passe un bon moment avec Kiki alors c'est pas 'rave ! Hein Kiki c'est pas 'rave ?!!!!