La Malédiction
Note moyenne
3,6
1428 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur La Malédiction ?

53 critiques spectateurs

5
6 critiques
4
18 critiques
3
23 critiques
2
6 critiques
1
0 critique
0
0 critique
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Didier Dondoncker
Didier Dondoncker

2 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 février 2023
Excellent, voilà un film qui date,un sujet classique dans le genre,mes qui reste captivant, par sont scénario, sont suspense, pas besoin d'effets spéciaux.....
Un bon nombre de film qui sont sortis après qui traite du même sujet, ne lui arrive pas a la cheville
Spider cineman
Spider cineman

172 abonnés 2 171 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 décembre 2022
Première version d une vision au cinéma de l apocalypse dans une dimension "surnaturelle... juste avant". Évidemment les effets spéciaux ne sont pas vraiment là mais ce film est marquant, il sera copié plus tard. Il passe encore aujourd'hui pas si mal question scénario et gestion d intrigue avec un climat bien installé, on notera la bande son qui accompagne assez bien.
Thierry Schalck
Thierry Schalck

23 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 décembre 2022
J'ai vu ce film à sa sortie au cinéma, vers mes 15 ans. Evidemment, j'ai amé. Puis je suis devenu "cinéphil", j'ai avalu du Felline, du Godard, du Abbas Kiarostami, etc..., et j'avais donc toutes mes raisons de me méfier d'un film d'horreur de Richard Donner des années 70.
Et alors ? Et alors voilà un film très fréquentable. Rien de génial, mais un bon scénario, un bon suspense, une mise en scène solide. C'est rythmé, troublant, bien fichu. La fin est délicieusement tragique et nous secoue durablement. On est assurément au-dessus du simple film de divertissement.
Un chouette bon film, comme on aime en voir à 15 ans, et comme on aime en revoir à 60.
Fred E
Fred E

10 abonnés 326 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 août 2022
Grand classique du cinéma d'épouvante qui n'a rien à envier aux blockbusters d'aujourd'hui. Scénario intriguant, mise en scène angoissante, Grégory Peck époustouflant. Le tout avec très peu d'effets spéciaux compte tenu de l'époque du film.
Adam67
Adam67

4 abonnés 505 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 7 avril 2022
The omen ou la malédiction en français est un film d’horreur sorti en 1976.

Pas mal de qualité pour ce film qui explore plusieurs endroits permettant d’avoir des décors très divers. L’ambiance est très malsaine que ce soit à travers l’origine de l’enfant ou de part ce qu’il est réellement.

L’histoire est plutôt sympathique, mais n’est pas exceptionnelle. Le plan final par contre est très flippant.
Alasky

385 abonnés 3 748 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 12 juillet 2021
Ce film d'épouvante est une oeuvre de qualité, très bien menée, et très bien jouée. Certaines scènes font froid dans le dos, le suspense est efficace et la musique contribue à une délicieuse ambiance angoissante qui raviront les fans du genre. Alors il faut bien sûre remettre le film dans le contexte des années 70, période prolifique pour les films d'épouvante/horreur, et donc je peux comprendre les avis qui disent que ce film a mal vieilli, c'est sûr les codes du genre ont bien changé depuis, toutefois je trouve "The Omen" très regardable en 2021.
Napoléon
Napoléon

156 abonnés 1 581 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 17 mai 2021
Un film très vieillissant. L'histoire qui manque de rythme reste très basique mais garde le mérite d'être un des premiers du genre. Après la bande son est excellente et les acteurs charismatiques.
Audrey L

690 abonnés 2 693 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 mai 2021
Faites des gosses, qu'ils disaient... La Malédiction est un film d'épouvante culte des années 70, avec Gregory Peck et au scénario qui lorgne du côté de L'Exorciste (de trois ans son prédécesseur). Un autre sale gosse démoniaque qui veut tuer papa-maman (et la Terre entière, au passage). Disons-le de suite : le film a pris un petit coup de vieux (très mal fait, surtout spoiler: la tête décapitée par la vitre
), et ne fait pas vraiment peur aujourd'hui. Mais étrangement, ce côté désuet et ce calme horrifique forment un charme certain, et nous concentrent davantage sur l'enquête pour connaître les origines de ce Mal mystérieux qui touche l'enfant et comment s'en débarrasser. On s'amuse à penser aux futurs Destination Finale (où le personnage sait à peu près comment il décèdera, ce qui augmente la tension) car ici on trouve déjà les photos du polaroid qui montrent la forme que prendra la mort imminente d'une personne. Le jeune acteur qui joue Damien (Harvey Stephens) est convaincant (il minimise les indices qui nous prouveraient qu'il est bien un Démon, ce qui nous met le doute). Si vous en avez l'occasion, on vous conseille l'édition collector du DVD, qui compte deux documentaires passionnants sur le tournage du film. Si vous n'avez pas pu trouver pareille édition, voici ce qu'ils contiennent : le premier se concentre sur la conception du film. On apprend ainsi que le petit Harvey Stephens a été retenu au casting car il a détruit l'entrejambe du réalisateur en "jouant la colère" de façon démentielle - parfait pour le rôle -, que la scène de la chute sur le parquet s'est faite à l'horizontale (ils ont clouté le parquet sur un mur et ont poussé l'actrice sur un chariot roulant) avec des sardines peintes en rouge, les scènes avec les babouins ont nécessité de mettre le "chef de la bande" à l'arrière de la Ford pour rendre maboules les congénères, que la fin a été retournée pour "sauver" l'enfant (dont le sourire n'était pas prévu, qui a finalement été gardé et est devenu l'image-clé du film)... Le second documentaire nous a donné des sueurs froides, étant la liste des catastrophes arrivées sur le tournage, réputé "maudit" : deux voyages en avions de l'équipe qui ont été foudroyés, un troisième qu'ils ont décommandé car "plus de places" et qui finalement s'est écrasé en fin de piste de décollage, des séquences au zoo avec des lions où le gardien s'est fait dévorer par ses bêtes (les séquences des lions n'ont pas été gardées dans le film, par respect), le truquiste en charge de la décapitation du film qui perd sa petite amie juste après le tournage dans un accident de voiture...par décapitation (et, selon le réalisateur, au niveau d'un panneau "66,6 km"... On ne sait pas si c'est vrai, mais son histoire est bonne pour le feu de camp avec des copains). Ce petit docu nous a fait tirer sur notre col quelques fois. Quant au film, on suit l'enquête avec plaisir, à défaut d'avoir peur, La Malédiction parvient donc à s'extirper du simple copier-coller de L'Exorciste pour créer sa propre histoire de gamin démoniaque (Damienaque, oui).
Maquisard 21
Maquisard 21

3 abonnés 120 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 avril 2021
Même s’il est moins connu que l’Exorciste, il demeure pour moi un grand classique des films d’épouvante des années 70, et malgré les années, le film reste toujours aussi efficace. C’est donc l’histoire de l’ambassadeur des Etats unis qui va apprendre spoiler: par un prêtre
que l’enfant qu’il a adopté à la naissance n’est autre que la réincarnation de l’Antéchrist, au début, il refuse d’y croire, mais une série d’évènements va le faire changer d’avis. La réalisation du film symbolise à merveille, l’esthétisme des films de cette même époque avec des décors et personnages sobres et élégants, la dimension religieuse y est très présente. Pas d’effets spéciaux ni d’hémoglobine à outrance, mais des scènes et situations bien angoissantes, spoiler: les gros plans sur le visage de l’enfant y sont pour beaucoup, en particulier lors de la scène du zoo où le sourire à priori innocent laisse entrevoir la facette diabolique
, l’ensemble accompagné d’une musique adéquate. On ressent totalement le désarroi du père qui au fur et à mesure se rend à l’évidence de la véritable identité de son « fils » et se résout spoiler: à devoir accomplir le rituel à l’aide de poignards mais est à la fois désemparé à l’idée de s’en prendre à un enfant
. Le film eu droit à un remake navrant en 2006.
soniadidierkmurgia

1 282 abonnés 4 232 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 11 décembre 2020
En 1976, la carrière de Richard Donner est plutôt encalminée. A 46 ans, après avoir principalement œuvré pour la télévision, le futur réalisateur de « Superman » et de la saga « Arme fatale » vient d’essuyer deux échecs pour ses débuts sur grand écran. Le choc que fut en 1973 « L’exorciste » de William Friedkin arrivé après le non moins célèbre « Rosemary’s Baby » (1968) de Roman Polanski déclenche un enthousiasme des producteurs pour tout ce qui touche au surnaturel et au satanisme notamment concernant de jeunes enfants. L’idée du producteur Harvey Bernard de tourner un film autour du thème de l’Antéchrist soufflée par son ami Bob Munger n’a donc guère eu de mal à convaincre la Fox d’entrer dans la partie. C’est David Seltzer qui se voit confier l’écriture du scénario. L’ambassadeur des Etats-Unis à Rome et sa femme vont être victimes d’une manipulation lors de l’accouchement de cette dernière qui leur verra se voir confier le fils de Satan. Rien que ça ! C’est Gregory Peck alors sur le déclin qui endosse le rôle de l’ambassadeur après que William Holden, Charlton Heston et Roy Scheider se soient désistés. Son infortunée épouse est interprété par la trop sous-estimée Lee Remick. Les producteurs jouent sur du velours, les spectateurs étant à l’époque en demande pour aller frissonner dans les salles obscures. Pourtant, le film qui ne sort pas beaucoup des jalons posés par les films phares cités plus haut souffre grandement de la comparaison avec ses deux prestigieux aînés. Là où Polanski et Friedkin dans des styles très différents avaient su distiller une ambiance claustrophobe et malsaine pour l’un, terrifiante et mystique pour l’autre, Richard Donner frôle assez souvent le grotesque. Le jeune Harvey Stephens incarnant Damien inonde l’écran de grimaces outrancières qui donnent plutôt l’envie au spectateur de lui botter les fesses là où l’inoubliable Linda Blair (« L’exorciste ») faisait de la petite Regan une victime tout à la fois repoussante par ses outrances ordurières et bouleversante par son combat désespéré contre une force qui la submerge. Gregory Peck qui semble plutôt mal à l’aise dans un domaine que visiblement, il n’arrive pas à investir, paraît soudain vieilli et sans grande conviction. Heureusement David Warner solide acteur anglais qui interprète le journaliste cherchant à comprendre les événements morbides déclenchés par Damien et surtout Bille Whitelaw qui joue sa nourrice diabolique, viennent très avantageusement combler les manques d’une intrigue n’ayant pas vraiment d’ossature. Richard Donner à la caméra un peu flottante se contente de filmer assez platement les quelques moments forts constitués par les morts violentes qui jalonnent le film. A sa sortie « La malédiction » a recueilli un énorme succès sans aucun doute dû à l’appétit frustré du public qui n’avait pas eu grand-chose à se mettre sous la dent depuis la sortie de « L’exorciste » en 1973. Les années qui ont passé sont malheureusement impitoyable. Le film de Friedkin somptueux est devenu culte alors que l’on ne parle presque plus de « La Malédiction » qui se regarde désormais comme une petite série B sympathique mais sans âme.
Alex Padoly
Alex Padoly

22 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 juin 2020
Un bon film mettant en scène la lutte du bien contre le mal. Mais ce n'est pas une lutte du bien contre le mal classique, il s'agit pour le mal de conquérir le pouvoir pour asservir les hommes.
Les acteurs sont crédibles, l'ensemble est correctement filmé avec une excellente musique de film.
Une scène me parait longue et inutile, il s'agit de la scène dans le cimetière.
Michael
Michael

21 abonnés 476 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 15 mai 2020
La malédiction reste une pépite du cinéma d horreur. Une atmosphère oppressante tout le long du film des sursauts, un mélange de réel et de paranormal, une mise en scène au service de l histoire et des acteurs qui jouent très justes. Et une fin tout bonnement horrifique. Bref tout ce qu il faut pour faire un grand film qui restera dans les annales du cinéma. Seul point négatif la musique qui par moment casserai les effets de surprise.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 3 décembre 2019
Sans une once d’hésitation, voilà le chef-d’œuvre dévoilé de cette réalisation proche de l’étoile de la perfection, par ce nom qui maîtrise les scènes revient de droit vers la lumière de Superman, en souvenir de sa phrase d’anthologie, « il est interdit de modifier le cours du temps de cette histoire sur le triple 666 ».
L’antéchrist est l’apocalypse selon Abraham au nom du Père, du fils et du saint esprit, amenet que le seigneur loue le ciel descendre sur la terre faite de contrariété si imparfaite aux hommes et femmes tourmentés, divisés, impuissants, complètement en transe total.

Figés par le mal terrestre divin, pourtant ce ne sera l’enfer, sa porte n’a jamais été ouverte, on n’a pas peur une seule seconde et c’est un film ma-gni-fique
L’enfant a le mal en lui a souvent été imité par la suite médiocrement avec beaucoup de sentiments mitigés, mauvais et ridicule, c’est clair, inimitable, celui-ci est un film encore plus fascinant, lent, il y en a des obstacles à surmonter afin de comprendre tout le sens.

La fin s’annonce à grand pas, une réponse immédiate à la proportionnalité éventuelle, un moyen nécessaire d’interrompre une action réelle, simultanée, injustifiée dans le lieu le plus sacré de la religion, où se trouvera des lois à oser défier.
Du moins quand on est du côté defensive envers l’Eglise, son ennemi juré ne l’entend pas de cette oreille, au sourire diabolique sous un visage d’ange enfantin, pas de tête d’enterrement comme cliché final, juste spectateur de cette fiction d’horreur.
pierrre s.

479 abonnés 3 346 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 2 décembre 2019
Davantage connu pour ses blockbusters, Richard Donner a tout de même fait un détour par la case horreur. Un détour plutôt réussi d'ailleurs. Le film a certes vieilli mais il conserve une ambiance gênante et angoissante.
Chaill
Chaill

20 abonnés 397 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 23 novembre 2019
A voir pour la culture cinématographique... Dommage que ce classique de l'épouvante n'ait eu droit qu'à un remake bancal, car son scénario béton mériterait une relecture digne de sa qualité avec les moyens de mise en scène actuels. Un ambassadeur s'aperçoit que son fils (qui n'est pas le sien comme on l'apprend au début) est ni plus ni moins que l'antechrist. Plutôt que d'enchaîner les scènes-chocs via l'enfant et son effrayante nounou, l'histoire devient une investigation du père (G.Peck, 60 ans mais tout de même remuant, et quelque peu inhabitué aux films horrifiques, et ça se voit...) aidé d'un photographe pour percer jusqu'au bout le mystère de cet enfant maléfique. L'ambiance générale est tendue et pesante, aidée en cela par la musique glauque de J. Goldsmith et ses chœurs; quelques scènes sont à couper le souffle, notamment les mises à mort. En fait le seul défaut du métrage est sa quarantaine bien tapée...
Les meilleurs films de tous les temps
  • Meilleurs films
  • Meilleurs films selon la presse