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    Les Passagers de la nuit
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    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 739 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2015
    Un polar original marqué durant sa première partie par l’utilisation de la caméra subjective et interprété par le couple mythique Bacall-Bogart mais au scénario complètement improbable.
    halou
    halou

    101 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2014
    Le scénario bien ficelé de bout en bout (aucun temps mort et de bons rebondissements), les acteurs impeccables et charismatiques (couple Bogart-Bacall crevant l'écran), les décors d'un San Francisco brumeux avec une ambiance lourde et évidemment cet emploi de la caméra subjective dès le début à cette époque en font un classique des années 40.
    mistermyster
    mistermyster

    35 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2021
    Film Moderne au demeurant, puisque l'on ne voit le héros, les yeux dans les yeux bien après le début du film, cela n'a pas contribué au succès du film lors de sa sortie en salle, car voir apparaitre Bogart que 45 minutes après le commencement, c'est culoté.
    Le charme de cette jeune, frêle et énigmatique Lauren Bacall est intact et tient la dragée haute à son homologue masculin.
    L'histoire est à la hauteur de nos attentes, et elle va même au delà, puisque le final est aux antipodes de ce que l'on a l'habitude de voir.
    Même si Delmer Daves n'est pas Howard Hawks, cela reste un bon cinéaste, qui nous offre un grand film noir, sans temps mort avec des personnages hauts en couleurs, même en noir et blanc.
    Plume231
    Plume231

    3 479 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2014
    Un film noir qui est célèbre pour deux raisons : la première c'est un des quatre films avec le duo légendaire et très alchimique Humphrey Bogart-Lauren Bacall, la seconde c'est que le film utilise lors de sa première heure fréquemment la caméra subjective (dont un plan impressionnant où on est du point de vue du personnage dans un baril en train de dévaler une pente !!!) comme outil de narration et qui pousse fortement à l'empathie...
    Il faut bien dire que sans ces deux raisons, le film ne serait pas particulièrement inoubliable. Certes Delmer Daves sait utiliser le cadre de San Francisco et ses rues en pente, se permet une superbe audace technique psychédélique lorsque le personnage de Bogart est anesthésié. Certes le film a le mérite de nous éviter le happy-end habituel peu crédible. Et certes les seconds rôles sont excellents. Mais le scénario contient un grand nombre d'invraisemblances, la seconde moitié ne trouve pas l'originalité de la première et le rythme est parfois inégal ce qui fait qu'après une première partie intrigante on est peu captivé et que cette oeuvre ne mérite guère son statut de grand film noir.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    105 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2019
    Le couple Bacall/Bogart est la principale attraction de ce film dépourvu de scénario et peu crédible dans l'action.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    61 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2018
    Film de Delmer Daves de 1948
    Film noir avec Humphrey Bogart et Lauren Bacall
    Sur un scénario assez rocambolesque, le récit classique de l'homme traqué accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis. Échappé de prison, il est recueilli par une femme qui a des relations avec le vrai coupable. Il est de plus soupçonné de deux autres meurtres... spoiler: Et il réussit à s'enfuir : happy end.

    Bien réalisé techniquement, efficace quant aux actions, des bons décors, des extérieurs bien filmés en noir et blanc, des acteurs de qualité (surtout Lauren Bacall), des dialogues pas trop simplistes, tout cela rend agréable la vision de ce film.
    Néanmoins quelques événements semblent un peu exagérés quant à leur vraisemblance.
    Le début du film en caméra subjective est bien venu. Les motifs du premier meurtre sont un peu vagues...
    cylon86
    cylon86

    2 258 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2012
    Ambitieux, ce film de Delmer Daves l'est certainement. Osé et risqué, il l'est tout autant. Parce que se payer Humphrey Bogart en tête d'affiche et ne pas montrer son visage pendant une bonne partie du film (soit la caméra est subjective soit son visage est toujours dans l'ombre) n'était pas forcément une chose facile à faire accepter au public de l'époque. Aujourd'hui, le problème ne se pose pas. De toute façon, ça n'a jamais été un problème mais une très grande idée à laquelle Bogart a accepté de se soumettre. Déjà ça plus le charme de Lauren Bacall, l'écriture maîtrisée du scénario (les seconds rôles sont excellents) et la mise en scène irréprochable de Daves et ces "Passagers de la nuit" sont une vraie réussite qui a tout du film noir sauf sa fin.
    real-disciple
    real-disciple

    67 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2010
    Excellent film noir avec deux acteurs magnifiques Bogart et Bacall. L'intrigue est bonne et le suspens est aussi présent que dans un bon Hitchcock; le procédé de la caméra subjective au début est originale et sera reprise de nombreuses fois au cinéma par la suite. On ne voit le visage du geniallissime Bogart que 1h plus tard. Les scenes d'amours sont super bien rendues avec le beau noir et blanc. Un classique du film noir bien qu'un peu vieillie dans certaines scènes.
    Dave le nantais
    Dave le nantais

    28 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    Tous les ingrédients sont réunis ici pour faire de ces passagers de la nuit un grand film noir : Humphrey Bogart et son allure débonnaire inégalée, Lauren Bacall, LA femme fatale de l'âge d'or hollywoodien, un scénario alambiqué où rien n'est totalement blanc ou noir, une réalisation inventive de Delmer Daves, plutôt réputé pour ses westerns et une photo sublime. Avis aux amateurs du genre, n'hésitez-pas à visiter ce "dark passage" !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 405 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2021
    Les Passagers de la nuit c'est presqu'un chef-d'œuvre et c'est l'un de films mes préférés avec Bogart. Delmer Davies capture la magie des années 1940 de San Francisco des escaliers en bois qui épousent les collines aux cornes de brume en passant par les ascenseurs de l'atrium enveloppés de lumière et par certains des meilleurs rôles que j'ai jamais vus. Tom D'Andrea et Housely Stephenson sont merveilleux dans le rôle du chauffeur de taxi si intelligent mais si décent et dans celui du chirurgien plasticien à la fin d'une sombre alliance. Agnes Morehead est un ennui persistant qui se transformé en méchanceté absolue. Elle est aussi bonne que des ongles grattés sur un tableau noir et vous ne pouvez pas détacher vos yeux de sa Madge. Lauren Bacall et Humphrey Bogart lient le tout avec une grâce discrète. L'histoire se termine et on a envie de retrouver ce petit café en bord de mer au Pérou...
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2013
    Jamais vu une vision en caméra subjective aussi longue enfin dans un film de cette époque (on s'identifie ainsi beaucoup mieux au héros). Le reste de la réalisation est intelligente. Un scénario astucieux, deux ou trois temps morts, un couple mythique. Bref très bon et archétype du film noir.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2015
    Les Passagers de la nuit marque une nouvelle réunion du couple Bogart/Bacall, qui n'en finissent plus de s'aimer, à la ville comme à l'écran. Ils participent une nouvelle fois à un film policier reprenant quelques codes du film noir. La première scène fait preuve d'une grande efficacité et plonge directement le spectateur dans l'action. Elle s'ouvre sur l'évasion d'un homme de la prison de St-Quentin. Dès ce moment, le réalisateur noue un lien entre le héros et le public : la mise en scène s'attache tellement à cet évadé qu'elle finit par en épouser le point de vue. La caméra en vue subjective propulse le spectateur au cœur de l'action, au côté du condamné à mort. Ils partagent ainsi le même étonnement lorsqu'une femme, qui semble connaître le criminel, lui offre spontanément son aide. Ce début mystérieux est un des atouts du film : des questions soulevées dès le début (quel crime a commis le prisonnier, quelles sont les motivations de la jeune femme...) trouveront leur réponse bien plus tard, à travers des explications livrées au compte-goutte. Par ailleurs, la vue subjective crée une ambiguïté autour de l'identité du prisonnier. Son visage ne sera pas montré avant qu'il ait recourt à la chirurgie esthétique pour changer d'identité. A partir de ce moment là, la mise en scène revient vers quelque chose de plus classique et perd en intensité, ce qui est dommage car le scénario reste intéressant et amène plusieurs petits retournements de situation sympathiques. De plus, quelques scènes véhiculent une certaine émotion grâce aux gros plans sur les yeux des acteurs. Deux restent en tête : le regard très doux de Bogart quand Bacall lui retire ses bandages, et les yeux embués de larmes de la jeune femme après une discussion difficile. On retiendra du film les fulgurances de la première demi-heure, amenées par une réalisation audacieuse, qui se raréfient dans la suite du film. L'enquête se laisse suivre sans déplaisir, mais reste sur un chemin balisé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2009
    Grand classique du 7è Art, ce policier se vaut original même avant-gardiste que ce soit par la réalisation (vue à la première personne en ce qui concerne le personnage principal la moitié du film) ou les sujets traités (chirurgie esthétique).
    Pour le reste l'intrique reste banale mais bien tenue encore que l'histoire de l'escroc Baker (Clifton Young) avec Vincent Parry (Humphrey Bogart) soit quelque peu pas très crédible.

    De plus le happy-end atténue un peu la force de l’œuvre, qui donc fait s’inscrire ce film comme un classique un peu commun.

    Mais on notera comme toujours un Bogart au sommet de son art, charismatique et tout simplement impressionnant, et on sent toute la passion l'animant à Lauren Bacall (sa femme dans la vie) dans les scènes romantiques.
    Olivier G.
    Olivier G.

    3 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 septembre 2021
    Je n'avais pas encore été autant subjugué par ces 2 monstres sacrés que dans ce film de 1947. Et quelle modernité et originalité dans le scénario et la mise en scène.
    Le parcours d'un évadé, dont on ne voit tout d'abord pas le visage, est jalonné par des rencontres dont aucune n'est fortuite. Ce n'est pas sans rappeler la série TV du Prisonnier, quoi qu'il fasse il ne semble pouvoir y échapper ("Bonjour chez vous"). Ces rencontres l'emmènent par étapes à retrouver une identité. Mais avant il éprouvera la solitude, la perfidie, la peur, il croisera la mort plusieurs fois, mais aussi l'espoir, des anges (des hommes, des femmes), l'amitié et pour finir l'amour. Tout cela au sein d'un scénario qui respecte le genre du film noir avec des plans de San Francisco à couper le souffle. Une incongruité totale à découvrir de toute urgence.
    overlook2
    overlook2

    19 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2016
    La première partie est surprenante, d’abord sur le plan formel (caméra subjective pendant 30mn : il fallait oser, surtout à l’époque, d’autant que Daves y trouve des solutions techniques gracieuses et audacieuses), mais aussi sur le plan du questionnement identitaire : ne sommes-nous pas uniquement défini par le regard des autres ? La culpabilité du héros semble en effet dépendre de qui le regarde. Dommage qu’ensuite, le récit s’étire et qu’apparaissent les grosses ficelles de l’histoire (aussi bien dans la résolution poussive de l’enquête que dans la romance guimauve). Un film très inégal de Daves donc, que le cinéaste sauve par la force de sa mise en scène.
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