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    Une Femme dont on parle
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    3,6
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    909 abonnés 4 833 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2021
    « Vivre c’est souffrir ».
    Et en vérité l’amour est une souffrance. Et c’est ce qui va rapprocher les femmes. Elle ne va pas remplacer sa mère par pitié mais par l’acceptation de la vie heureuse qu’elle a menée malgré tout. Contrairement à la pauvre fille. « Quand donc les gens ne viendront-ils plus voir des filles comme nous? »
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 387 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Un film dont l'action se situe dans le Japon d'après-guerre. On reste pantois devant la qualité de la mise en scène. Les acteurs sont excellents. Une seule petite réserve, en début de seconde partie, il y a un manque de rythme qui justifie selon moi, de ne pas mettre les cinq étoiles. Mizoguchi montre une fois encore la maîtrise de son talent. A voir sans réserve.
    Brol le chat
    Brol le chat

    8 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2022
    Tourné l'année suivant "Les musiciens de Gion", ce film en reprend quelques éléments, comme la fille d'une défunte geisha, qui souhaite apprendre le métier à son tour, n'arrivant plus à soigner son père. Mais l'essentiel de l'histoire tourne autour d'un jeune médecin arriviste, qui après avoir séduit la mère, séduit la fille. C'est un peu plus convenue et plat.
    Romain Z
    Romain Z

    10 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2022
    Mizoguchi installe encore son film dans une maison de Geishas, mais moins pour en reveler la condition que pour en faire la toile de fonds d'un triangle amoureux dont la mère et de la fille constitueraient les cotés opposés avec comme enjeu de conquête un jeune médecin. Tout l'art du cinéaste consistant a brouiller et meme inverser les lignes de force et les polarités de ce ménage à trois.
    Yves G.
    Yves G.

    1 275 abonnés 3 284 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2020
    Une veuve dirige à Kyoto un "okiya", une maison de plaisirs. Sa fille, partie vivre à Tokyo, est obligée d’en revenir après un chagrin d’amour. Un conflit de génération oppose les deux femmes qui tomberont sans le savoir amoureuse d’un même homme, le jeune médecin de l’okiya.

    Kenki Mizoguchi est surtout connu pour ses films historiques : "Les Contes de la lune vague après la pluie", "L’Intendant Sansho", "Les Amants crucifiés"… Mais une partie de sa prolifique filmographie a pour cadre le Japon contemporain.
    Il a souvent filmé les geishas. Elles sont pour lui le symbole intemporel de la condition féminine. Mais elles sont en même le temps les actrices d’un Japon qui change.

    Cette ambiguïté est à l’oeuvre dans "Une femme dont on parle" qui met face à face une mère et sa fille. Abandonnée à elle même à la mort de son mari, la mère a dû se résigner à diriger un établissement pour survivre et éduquer sa famille. La fille réprouve cette profession qu’elle juge dégradante. Les deux femmes, obligées de cohabiter, feront le constat de leur désaccord et découvriront le moyen de les dépasser.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2023
    Sans être le plus accompli des mélodrames féministes de son auteur, "Une femme dont on parle" est le portrait magnifique d'une mère dévouée, qui accepte de s'effacer devant les desseins sentimentaux de sa fille. Kinuyo Tanaka incarne avec sobriété ce personnage traditionnel du cinéma japonais des années 50, proche de celui qu'elle incarnait dans le beau "Fard de Ginza" de Naruse. Une musique acidulée forme un parfait contrepoint aux images réalistes de ce long-métrage.
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