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    La Vie à l'envers
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    12 critiques spectateurs

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    Caine78
    Caine78

    5 986 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 février 2012
    Production John Hughes peu emballante, « La Vie à l'envers » vaut en définitive uniquement pour la jolie et touchante Mary Stuart Masterson, la seule à donner un peu de corps et de complexité à son personnage. Le reste, sans être non plus déplaisant, s'avère bien fade et en définitive très banal, à l'image de tous ces films pour les ados avec des ados. Et comme en général ce qui leur arrive est rarement intéressant... Bref, malgré quelques petites répliques sympas et deux-trois scènes amusantes, vraiment pas de quoi pavoiser devant une oeuvre aussi limitée que vite oubliée.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 893 abonnés 12 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2019
    On fait toujours du mal à ceux qu'on aime [...] Ecrit et produit par le regrettè John Hughes, "Some Kind of Wonderful" est une chronique adolescente qui doit beaucoup à sa jeune et prometteuse distribution : Eric Stoltz, Mary Stuart Masterson & Lea Thompson! C'est effectivement « l'amour à l'envers » entre ce trio attachant et emballant qui assure toujours ses arrières! L'un est un jeune garagiste qui essaye d'atteindre l'impossible en voulant sortir avec la plus jolie fille du bahut tandis qu'une copine aux airs de garçon manquè, qui lui voue une amitiè profonde, est secrètement amoureuse de lui! Amour secret, indècision, sentiments et èmotion! Tels sont les ingrèdients de ce film bien ancrè dans la jeunesse amèricaine des annèes 80, par son ton, son ambiance et sa nostalgie! Le revoir trente-deux après sa sortie fait un bien fou comme cette leçon du « baiser qui tue » qu'enseigne Masterson à Stoltz...
    Peter Venkman
    Peter Venkman

    32 abonnés 837 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2010
    Un teenage movie simple et touchant.C'est plein de charme et très justement joué.Le scénario signé John Huges fait encore mouche, et touche l'adolescent qui sommeil en nous.
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2016
    Rafraichissant conte romantique de 1987 construit sur l’adolescence et ses turpitudes amoureuses et sociales, aussi sincères et maladroites que l’intégrité de cet âge le permet. Si la satyre sociale et les conflits de classe déclenchent stratégies, courage, fiertés mal placées et malentendus sur l’échiquier du lycée ou des quartiers huppés ou populaires de ce touchant vaudeville, l’essentiel tient dans la sensibilité des romances et les destins croisés qui s’y déroulent, tant rivaux qu’amoureux, où les personnages se jouent, se mesurent, et s’accomplissent, dans leurs approches et leurs liaisons, réalisées, rêvées, suscitées ou frustrées.
    Pas vraiment ma tasse de thé a priori, comme quoi, quand c’est bien mené, raconté et joué, ce surprenant bain de jouvence, de justice et de sentimentalisme romantique fut enchanteur. Avec en plus des figures du cinéma tels qu’Eric Stoltz, Mary Stuart Masterson, Lea Thompson ou Elias Koteas qu’il est marrant de voir s’échauffer il y a 30 ans en tant que minets post-pubères.
    Shawn777
    Shawn777

    456 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 août 2022
    Après "Pretty in Pink", Howard Deutch revient à la réalisation d'un teen movie en 1987, une nouvelle fois écrit par John Hughes, qui n'est pas mal du tout ! Le scénariste sait décidément très bien cerner la personnalité des adolescents de l'époque en livrant une comédie romantique adolescente mettant en scène une sorte de triangle amoureux. En effet, Keith veut absolument sortir avec Amanda, la "plus belle fille du lycée", mais Watts, la meilleure de Keith, est éperdument amoureuse de lui. De plus, Keith veut un peu en profiter pour se servir de la popularité d'Amanda, tandis que cette dernière profite de Keith pour rendre jaloux son copain. Un scénario qui a finalement des airs de ressemblance avec "L'Amour ne s'achète pas", d'ailleurs sorti la même année, puisque nous y retrouvons cette relation où chacun y gagne quelque-chose, de même que cette différence de classe, très marquée au lycée. Et bien oui, nous sommes dans un teen movie relativement classique qui applique donc très bien les codes du genre. Ce n'est malgré tout pas un défaut, bien au contraire, puisque c'est tout d'abord des codes propres au réalisateur, c'est en effet grâce à lui que le teen movie et ses codes se sont popularisés, enfin, il a du moins permis de changer la vision qu'avaient les teen movies de l'adolescence. En effet, si, dans les années 50, les adolescents étaient perçus comme la mauvaise graine, la bête monstrueuse et mutante, John Hughes à enfin pris les problèmes des adolescents au sérieux en les rendant plus humains, tout simplement ! C'est ainsi que l'on se retrouve alors avec une histoire d'amour, tantôt touchante, tantôt drôle mais pas que. En effet, comme dans la plupart des films du réalisateurs (qu'il soit réalisateur ou scénariste), nous retrouvons les problématiques générationnelles entre les parents et les enfants ; ici le père veut absolument que son fils fasse des études au "college", de plus en commerce et non en beaux arts, projetant ainsi ses désirs sur son fils. Alors certes, c'est un peu cliché mais il n'empêche que ça fonctionne ! On retrouvera malgré tout quelques longueurs dans des scènes qui ne sont pas forcément nécessaires et qui ralentissent ainsi le rythme. Concernant les acteurs nous retrouvons principalement Eric Stoltz, Lea Thompson et Mary Stuart Masterson qui jouent très bien. "La Vie à l'envers" est donc un teen movie qui n'est pas bien marquant mais qui reste tout de même très divertissant, malgré ses quelques longueurs.
    Alasky
    Alasky

    282 abonnés 3 071 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2018
    Être ado aux USA dans les années 80. Film assez banal, qui ne vieillit pas super bien, mais très bien interprété cependant, avec une belle BO. Coup de coeur pour les jeunes et jolies Mary Stuart Masterson et Lea Thompson.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 novembre 2014
    En 1987, on s’approche de la fin de la grande période de John Hughes, du Brat Pack et de son empire. Pour cause, Anthony Michael Hall et Molly Ringwald refusaient de tourner à nouveau avec lui pour ne pas s’enfermer dans leurs rôles.

    Some Kind of Wonderful est peut-être le film de trop dans la mesure où celui-ci ressemble plus à une version fantasmée masculine de Pretty in Pink, déjà pas un très grand film. Réalisé par Howard Deutch, le film met donc encore en scène un underdog qui tombe amoureux de la reine du bal en délaissant sa meilleure amie encore plus underdog que lui. Ensemble, ils vont déjouer les lois sociales de l’université/lycée et peut-être s’en sortir. Au bout de plusieurs films similaires, la formule s’étiole et Some Kind of Wonderful n’est donc pas réellement passionnant. De plus, le trio principal n’est pas franchement exempt de tout reproche, manquant cruellement de charisme, surtout chez Eric Stoltz et Lea Thompson. Pour trouver de quoi se mettre sous la dent, il faut encore chercher dans les seconds rôles (comme d’hab chez Hughes), où on trouve Elias Koteas, John Ashton et Craig Sheffer dont on savait déjà qu’ils étaient très bons. Ils sauvent le film de l’oubli total. La bande-son est encore une fois très efficace, avec une superbe reprise de Lick the Tins de Can’t Help Falling in Love.

    Some Kind of Wonderful est répétitif, déjà-vu, cousu de fil blanc et manque de charisme et de caractère. C’est clairement la fin de la période dorée de John Hughes.
    Plume231
    Plume231

    3 459 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2012
    Très typique des productions teenagers style eighties de John Hughes, ce film qui a été juste produit et écrit par lui est nettement plus mélancolique et moins drôle que "Breakfast Club" ou encore "La Folle journée de Ferris Bueller". Malgré une petite touche un peu trop optimiste sur la fin pour convaincre et quelques raccourcis psychologiques qui en émanent, "La Vie à l'envers" est un portrait assez juste de l'adolescence dans lequel on ne peut que se reconnaître. Avec une superbe image qu'on garde en mémoire bien après le film, celle de Mary Stuart Masterson, que contrairement au protagoniste le spectateur remarque tout de suite pour ce qui est d'en tomber amoureux, adorable en garçon manqué surtout quand elle est en uniforme de chauffeur.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 346 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 février 2021
    Eric Stoltz semble être un adolescent heureux et inadapté jusqu'à ce qu'il tombe amoureux de la beauté de la classe (Lea Thompson) une fille populaire en situation précaire et elle n'est pas l'adolescente privilégiée qu'elle semble être. La friandise scénarisée par John Hughes est légère et inoffensive jusqu'au dernier acte où Stoltz se dispute avec son père. Hughes crée des enfants marginaux brillants et attirants et il les aime mais il les place dans la même vieille position sociale. Envieux de la clique populaire ils sont toujours sur le point de traverser jusqu'à ce qu'ils réalisent qu'être à l'extérieur est juste leur place. C'est le fantasme standard du lycéen sans une once de crédibilité avec une fin qui étonne par sa sottise...
    Serpiko77
    Serpiko77

    45 abonnés 1 612 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2024
    John Hughes au scenario, Howard Deutch à la réalisation, on reprend le même duo un an après "Pretty in pink".
    Ce "Some Kind of Wonderful" ressemble d'ailleurs énormément au film précédent, mais les rôles semblent inversés.
    Derrière son intrigue à priori très classique Hughes prouve encore qu'il avait le don pour cerner les problèmes et les malaises d'une partie de la jeunesse de cette époque. C'est inoffensif mais l'ironie est très amère.
    La très jolie et bonne actrice Mary Stuart Masterson crève l'écran.
    Hugues Faroux
    Hugues Faroux

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2023
    Dans la lignée de "La Folle Journée de Ferrys Bueller", une comédie romantique scénarisée par le talentueux John Hugues, toujours à l'aide pour évoquer les émois de l'adolescence, et les années 1980. Eric Stoltz, Lea Thompon et Mary Stuart Masterson offrent des prestations convaincantes, avec parmi les seconds rôles, Elias Koteas et Maddie Corman. Le film rengorge d'une ironie douce amère, et les personnages s'avèrent au final bien moins conventionnels que l'on ne pouvait le craindre. Je mets cinq étoiles sans hésiter à cette pépite, car c'en est une.
    Tegra Myl
    Tegra Myl

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2022
    J'ai trop aimé sincèrement ça m'as motivé dans l'amour , est-ce que de nos jours ce genre d'amour existe encore ? C'est motivant, ça conseille

    Voilà pourquoi dans l'amour faut pas être pressé, quand tu pense que l'amour de ta vie c'est celle que tu Pense et pourtant ton amour est juste devant toi et tout les jours mêmes, mais sans s'en rendre compte on ne voit pas , j'aimerais trop vivre ce genre d'amour
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