Avis : Ichi the killer - Page 2

J'ai réussit a regarder ce film alors qu'en général les scènes semi slasher me débecte, en effet ils ont pas lésiné sur la grenadine !!! Mais bon l'histoire est pas mal entre fantastique et mafia japonaise, la plupart des personnage sont bien joué particulièrement "Kakihara" qui est juste fantastique.

Il n'est pas donné à tout le monde de savoir faire des films controversés et géniaux. Visiblement Takashi Miike n'en fait pas partie. Pourtant tout commence plutôt bien : la première moitié du film installe une atmosphère sado-machiste/burlesque assez plaisante, avec des acteurs plutôt bons et une mise en scène efficace. Mais tout se gâte passé la première heure de film : quand les scènes avec Ichi se multiplient, le long-métrage devient vite inintéressant, voire même affligeant vers le dernier quart. Je ne sais pas ce qu'avait en tête Miike en engageant l'interprète d'Ichi mais en tout cas ça a flingué le film. D'habitude je ne m'en prends pas aux acteurs mais là il faut avouer que ce type est un acteur mièvre, tête à claque, risible et d'une nullité sidérante (il faudrait que quelqu'un lui dise d'arrêter le cinéma). Si l'on ajoute à cela l'inutilité de la moitié des scènes gores et des effets visuels (les égorgements sonnent faux), on obtient une fin de film ridicule et navrante. Un navet de première.

Un film creux dans lequel il ne se passe pas grand-chose de passionnant. Le cinéma japonais regorge de films ayant pour thème le plaisir dans la souffrance, la recherche extrême du plaisir des sens, "Ichi the killer" ne fait malheureusement pas partie des intéressants.

Takashi Miike, c'est vraiment l'emblème des petits cinéphiles pro-Asiatiques, branchés et déjantés qui aiment se donner un genre en se déclarant ultra-indépendants. Comme tout objet de culte, il a suscité de véritables admirations et entraîné bon nombre de moutons dans sa roue, se constituant avec les années un public de fidèles plus ou moins sincères bien qu'élargi avec le temps (enfin, tout est relatif). Si son long-métrage le plus célèbre, le bien-nommé "Audition" mérite quelques éloges, cet "Ichi the killer" réalisé en 2001 m'a laissé autrement plus sceptique malgré son concept attirant. Ne faisant guère dans la dentelle, Miike assume dès les premières minutes un parti pris évident, celui de l'excès dans des scènes de torture omniprésentes et de quasi-sacralisation d'une violence (dans son contexte, c'est-à-dire au dixième degré) très crue qui risque d'en rebuter quelques-uns. Plutôt courageux de sa part, tant les séries B décalées et extrêmes engendrent généralement des appréciations assassines et primaires chez tout public un minimum conditionné. Disons que je lui reconnais une marque de fabrique personnelle ainsi qu'une inventivité dans le sadisme tout à fait remarquable. De la même manière, je cautionne une fausse misogynie faisant dans l'auto-dérision ou bien encore un voyeurisme cynique dans des séquences sanglantes plus que réjouissant de par le recul qu'il prend sur les images (on n'est pas tellement dans la complaisance). Néanmoins, j'avoue m'être assez vite ennuyé à cause de la redondance des situations et de la banalisation de la violence justement qui apparaît progressivement de plus en plus plate et dépourvue d'intérêt. L'intrigue est inexistante, les personnages peu charismatiques, les dialogues creux : bref, l'écriture est catastrophique. Quant à la mise en scène, elle tente de faire surface grâce à quelques effets de style pas malvenus mais qui ne masquent pas la nature réelle du film : un produit pour vidéos-clubs d'asiafans underground.

Entre ceux qui n'ont pas compris le film et ceux qui confondent faux raccord et erreurs scénaristique,je ne sais plus quoi penser des inscrits à allocine.
Mais venons en au fait,ce film est excellent.Car dans un style décalé et humoristique,comme peuvent en témoigner les sacs à vomi à l'effigie du film en avant première,Miike,dont c'est le premier film que je vois,dépeint une psychologie de ses personnages tout à fait intéressante,amenée par des idées de mise en scène et de caméra original et bien travaillé.Le plaisirs de la violences est inassouvis,c'est du moins le point final du film,et la désillusion ambiante nous arrache un petite pensée émotive après tant de délire sanguin.Chapeau bas au blond scarifiés qui a tout le charisme nécessaire au bon déroulement de la séance.
A bonne entendeur...

Ce film de Takashi Miike, adapté d'un manga, est pour le moins surprenant, c'est le moins que l'on puisse dire! Certaines scènes sont d'une violence atroce, on est direct mis dans le bain par une des premières scènes de meurtre où la pièce est remplie de sang sur le sol, les murs, il dégouline même du sang du plafond! Dans le gore il est difficile de faire pire, D'autres passages sont de la torture sadomaso, la scène où Suzuki est suspendu par de multiples hameçons plantés dans le dos est atroce à regarder. Le génie du réalisateur réside dans sa capacité à faire rire malgré des scènes malsaines et ultra violentes, l'homme torturé avec sa tête mise dans une tv fait vraiment rire. Bien sûr, Takashi Miike rajoute des scènes de viol combinées à de la brutalité pour en rajouter une petite couche dans l'abominable. "Ichi the killer" est un film comme il n'en existe pas, son seul défaut est son scénario un peu tiré par les cheveux et sa fin totalement inintelligible.

La trame principale n'est pas inintéressante loin de là. Des acteurs très bons et le monde des yakuzas avait de quoi plaire... Mais Miike est le réalisateur de l'extrème, du poussif et de l'extravagance. Le montage est parfois bizarre insérant des scènes aussi inutiles que dérisoires (trois hommes qui courrent après un homme nu ?!). Mais le pire reste la violence qui se partage entre deux eaux ; la violence extrème et gore, juste là pour choquer... Et la violence gratuite voir burlesque car inouïe et inconcevalble (un homme entièrement coupé en deux avec une lame de seulement5cm ?!)... Bref on ne pense qu'à une chose : n'importe quoi !!! Ce n'est même pas cartoonesque (aucun humour)... Takashi MIike est sans aucun doute un pervers sadique frustré qui réalise des films pour lui et son fan club dont je ne suis pas.

Interdit moins de 16, ce Miike à de quoi mettre le coeur à l'envers. Du massacre, du gore sous un mix SM. C'est long et interminable. L'utilité d'une histoire bafoué par la gratuité. Je retiendrais de positif que le personnage avec sa mâchoire recousue interprété par l'acteur Tadanobu Asano.

Affirmer que Takashi Miike est complètement marteau et qu'il ne fait que ce qu'il lui plaît n'est pas mensonger. cet "Ichi the killer"(2001)m'a marqué négativement,tant il fait dans la violence gratuite,exagérée,insoutenable au milieu de plages burlesques sans aucun sens. Sans aucun doute,j'ai été hermétique à tout cela,pour un film qui n'est sûrement pas si mauvais que ça,mais qui semble avoir du mauvais goût choquant,sa maxime préférée...

On m'avait toujours présenté "Ichi the killer" comme un film génial et ultra violent, donc je l'ai regardé. La musique est géniale, il y a énormément de scènes crades, mais qu'est-ce que c'est long! Pour moi c'est le principal problème du film, il y a trop de scènes de dialogues, on attend toujours de l'action. Cependant, la scène finale est génial au niveau de la mise en scène. Assez décevant dans l'ensemble.

Un manga adapté par le toujours aussi délirant et provocateur Takeshi Miike, ça vaut le coup d'oeil! Je pense qu'il faut être accoutumé à ses films pour aller au bout de celui-ci tant il s'est laché sur la violence physique: on a droit à un viol très brutal dés la 2ème minute! Je suis loin d'avoir vu toute sa filmographie car j'ai déjà été déçu mais je le trouve plutôt axé dans le psychologique d'habitude. Là, la 1ère heure est particulièrement pénible où en plus de nous imposer une structure narrative décousue avec des dialogues considérablement appauvris, il alterne scènes de violence et scènes gore décadentes pour nous déstabiliser sans vraiment nous intriguer. La réalisation est outrancière en bombardant des couleurs criardes à tout va, des éclairages improbables et une musique de psychopathe sous acide. C'est sur la 2ème heure que l'histoire, assez simple en réalité, prend forme au milieu de ces nombreuses séquences lynchiennes totalement loufoques qui brouillent un peu les pistes mais au final servent très bien à la compréhension du personnage de Ichi. Les décors deviennnent plus sobres, la photo devient grisonnante, moins d'effets de style et plus d'attention au récit jusqu'à l'affrontement final qui m'a un peu déçu mais tout cet ensemble fait de "Ichi the killer", une oeuvre ultra violente, décalée et très bizarre digne de Miike qui tient tout de même une place importante dans le cinéma japonais...

Interdit aux moins de 16 ans et souvent décrié comme faisant parti des films les plus violents existants, Ichi The Killer est un thriller japonais opposant un tueur psychopathe masochiste à un serial killer sadique, où la traque est parsemée de meurtres sanglants et barbares, où le sang gicle comme dans Kill Bill : Vol. 1, de Tarantino. Un film inconstant comprenant autant de très bons passages que de mauvais, en partie la fin, incompréhensible et gâchant un château de cartes relativement solide jusque là. C'est Tadanobu Asano, le psychopathe masochiste, qui ressort définitivement du récit, lui qui orne la jaquette du DVD et dont le visage continue encore de terrifier ses victimes.

Cette violence du cinéma Japonais qui ne s’est jamais vu auparavant, c’est incroyable ! Qu’on se le dise, c’est quoi tout ce déchaînement entre gros durs sado-maso Yakusa......! Ça gicle de partout et il y a même des scènes insoutenables qu’on s’efforce de rester concentré tant l’intensité est limite de l’insupportable.
Bien sûr que c’est basé sur un manga hardcore, le ridicule des scènes de type série BZ frôle l’excellence, une illumination sur cette culture japonaiserie et son histoire ensanglantée frappe fort, ces clans descendent des samouraïs.

Ces seigneurs ont code d’honneur bushido féodalisme, des enfants de cœur terribles, les vieux démons du Japon ressurgissent après-guerre, mise en scène en œuvre dans cette fiction, devenus les gangsters tatoués citadins dans leurs mégalopoles.
Yakusa fait sa loi à coup de katana, ouille ouille que ça leurs piquent, brûlent et bien frits, whaou ! Interdiction au moins de 17 ans, s’il vous plaît.... vouloir toujours chercher à excusez cet acharnement meurtrier subi par le poids individuel.

A peser équitablement dans la balance étiquetée société nipponne, la perfection, la sécurité, le mode de vie, paisiblement, les émotifs s’avèrent être des bombes à retardement, c’est Ichi The Killer qui entre en scene d'opérette culturelle, l’histoire du théâtral s’inscrit dans la lignée virulente virtuose virtuelle.
Yes is a funny games for crazy men... sous hypnose couvert d’hypocrisie aveuglante, c’est bon bon bon ni ni ni comme film sans hésitation, le message est clair et faisons-le passé, on a affaire à un pré-Battle Royale littéraire, le post chef-d’œuvre cinématographique.

Les mangas sont sordides, toute sorte de sexe description, glauque et de l’intelligence sort, ne rend pas violent nous même, par précaution éducative encadrée que c’est en vente libre librairie au pays des samouraïs Yakusa, on rigole un bon coup, puis choc pour les plus jeunes traumatisés, un peu de larme dure à supporter les tortures séquences.
Sur cette image posée objectif façonnée du Joker japonais est hypnotique, l’homme qui rit s’auto-mutilé ? Et c’est dingue !! Un sadique et masochiste élégant kitch sapé looser, et le final fait clap🎬 danse escalier croit voler s’écrase, l’arbre perché est suspendu, un phénomène des sociétés.

Par le réalisateur qui a notamment fait crows zero, ichi the killer est un très bon film, à condition d'aimer le cinéma asiatique, ses excès, et ses moments très gore.
À partir de la, ichi nous vend un somptueux mélange entre folie, humour et perversion le tout enveloppé dans un jolie paquet yakuza, au réalisme souvent très réussi spirituellement, et parfois visuellement. 3.5

Ichi the killer (2001) est un film complètement timbré, à l’histoire rocambolesque et aux personnages très particuliers ! Entre les règlement de compte, les viols, les meurtres et les tortures, Takashi Miike ne nous épargne rien et surtout il ne lésine pas sur l’hémoglobine, des hectolitres déversés devant l’objectif de la caméra au gré des nombreuses mises à mort. Après sa trilogie mafieuse (Dead or Alive), Takashi Miike nous prouve son bon goût pour le mauvais goût, avec une œuvre à ne surtout pas laisser entre toutes les mains et à réserver à un public averti !