Mon compte
    TwentyNine Palms
    Note moyenne
    2,3
    245 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur TwentyNine Palms ?

    53 critiques spectateurs

    5
    9 critiques
    4
    5 critiques
    3
    6 critiques
    2
    9 critiques
    1
    7 critiques
    0
    17 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 463 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 février 2024
    Fidèle à son style, à ses partis-pris de lenteur et de silences, voire de contemplation, le réalisateur Bruno Dumont tourne un road-movie américain très personnel, à l'opposé ce que qui se fait habituellement, des balades romantiques et mélodiques de cinéastes amoureux des grands espaces américains. C'est le dénuement qui caractérise le voyage de Dumont, avec son absence de seconds rôles et la rareté des figurants, avec ses invariables paysages de désert et de rocaille, avec ce couple dont on ne sait pas grand'chose si ce n'est que l'Américain David, accompagné de son amie Katia, est un photographe en repérage. Sans doute ne sont-ils ensemble que depuis peu, et leur relation taciturne et morne n'a d'éclat que dans leurs étreintes brutales généralement "imposées" par lui.
    Le sujet qu'ébauche Bruno Dumont est celui du couple et, si l'on interprète bien la sécheresse, le dépouillement de la mise en scène et du décor, celui du couple élevé à l'universalité (une façon d'Adam et Eve?). Le cinéaste semble affirmer l'impossibilité fondamentale de l'union entre la femme et l'homme, qu'elle ne dispose qu'au malentendu (et, déjà, les deux personnages ne partagent pas la même langue). Dumont s'efforce de démontrer qu'à l'affectivité sensible de la femme répond l'instinct sexuel de son compagnon dont l'acte, à en juger par David, est défouloir et animalité. Le thème est présent dans les deux premiers films du réalisateur. Cette sombre vision qui relègue le couple à une simple question de compatibilité sexuelle n'est pas un postulat sans intérêt, même si on a du mal à surmonter le maniérisme austère et rébarbatif du récit.
    Cependant que le dénouement du film, spoiler: rupture aussi inattendue que terrifiante,
    est aussi matière à débat. Sur ce point, spoiler: la sauvagerie soudaine sur laquelle
    conclut Dumont, même à la considérer comme l'aboutissement logique de son propos désabusé, même à la ramener à une dimension métaphorique, n'est pas loin de nous rendre le film détestable. Elle nous conduit aussi à reconnaitre le mérite et l'ambition d'un cinéaste qui trace sa route sans chercher absolument -loin de là- à séduire.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2022
    Le cinéaste de "La Vie de Jésus" continue sa prospection acide des destins de vie cabossés. Ici, mise en scène minimaliste, on s'évade dans le désert californien pour un road-trip à forte consonance pornographique. Il ne s'agit pas de comprendre mais d'observer. On est entre l'état de choc et le dégout. C'est ce que recherche fondamentalement Bruno Dumont : s'indisposer devant l'écran et ne pas rester dans notre zone de confort. Un trip mystique du même ordre que le Brown Bunny de Vincent Gallo, très bizarre mais quelque peu ennuyeux néanmoins.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    Pour son troisième long-métrage sorti en 2003, Bruno Dumont choisit de s’expatrier bien loin de son Nord natal qui imprégnait tant La vie de Jésus et L’humanité, pour tourner au cœur du désert californien. Toujours travaillé par l’expression d’une sexualité triviale et désincarnée, fasciné par l’irruption du mal, il y ajoutait ici un jeu sur les codes du film américain sur les grands espaces, qu’il reprenait à travers l’exercice balisé du road trip d’un couple traversé par des problèmes d’incommunicabilité. Mais Bruno Dumont finit pas détourner le genre en imposant un final d’une violence inouïe, quelque part entre le Zabrisikie Point de Michelangelo Antonioni, le Duel de Steven Spielberg, le Délivrance de John Boorman et le Halloween de John Carpenter. Un long-métrage étonnant qui vaut le détour au moins pour son dernier quart d’heure à l’excès assumé.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 423 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mars 2021
    TwentyNine Palms c'est de la foutaise. À mi-parcours du film je commençais à me demander si Dumont ne faisait pas un commentaire satirique sur ces personnages frivoles prétentieux et inutiles. Comment expliquer autrement qu'il ait pu sentir qu'il pouvait être utile de regarder ces personnages incroyablement ennuyeux. Le film est presque impossible à regarder parce que les personnages sont tellement ennuyeux et que rien ne se passe. Il y a des moments où l'inaction peut être fascinante dans un film mais le fait est que rien ne se passe dans cette histoire. J'ai finalement eu l'impression que Dumont avait le sentiment de communiquer une sorte de grande lutte humaine avec ses personnages. Mais non
    il filme simplement deux personnes stupides jouant des personnages stupides qui agissent comme des enfants. Quand l'action se déclenche après une heure et demie d'ennui total c'est totalement insatisfaisant. On a l'impression que Dumont n'a aucun respect pour les films d'horreur. La première heure et demie est peut-être censée élever les éléments d'horreur au rang de quelque chose de sublime. Mais ce n'est pas une subversion des clichés de l'horreur c'est un film qui enlève toute satisfaction aux éléments de l'horreur. Il y a actuellement un vaste problème dans le fait que les réalisateurs ne voient pas le potentiel des films de genre. De nos jours les films d'horreur sont généralement des déconstructions du genre stupides ou incroyablement prétentieuses...
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2016
    Une grande souffrance ! Je suis plutôt client des deux premiers films de Bruno Dumont, à savoir, La vie de Jésus et L'Humanité mais la je suis totalement resté sur le bas coté. Trop de disputes, de violence, de surenchère en général, pourquoi malmené son sujet de la sorte ? J'ai lu que le réalisateur souhaitait avec Twentynine Palms se rapprocher du cinéma expérimental, c'est manqué ! Certains films de Lynch, de Noé ou encore de Carax pour ne cité qu'eux tente une approche différent des standards mais ne sont jamais ennuyeux, la ce fut le cas ! Je me suis rappelé au mauvais souvenirs de Happy Together du pourtant brillant Wong Kar-Wai qui m'avais sur ce coup la complètement perdu lui aussi. Ce film en tout cas me révulse et ce ne sont pas ces ultimes minutes cauchemardesques qui ont pour le coup fini le travail de sapes qui me feront changer d'avis, le contenu global me sort par les yeux. Ce dernier quart d'heures m'a glacé le sang ...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    362 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2016
    Dumont quitte la Côte d’Opale pour le désert californien, délaissant sa palette de personnages atypiques pour nous intéresser à un couple disons plus ordinaire, bien qu’il soit toujours question d’errance, autant géographique que psychologique. Les deux s’aiment, marchent, baisent, se disputent, se réconcilient, rebaisent, se rediptutent, etc, c’est en quelque sorte la version excessive du couple que l’on a déjà vu dans "La Vie de Jésus", tout du long, ou presque, le cadre qu’instaure Dumont donne réellement l’impression d’une idylle recluse et sauvage dans les grands espaces, peu de place au son si ce n’est leurs cris de jouissance bestiale torturée. Tout aussi intéressant soit-il concernant ses désirs de pérégrination le film peine un peu à révéler ses sentiments, le duo fonctionne mais mis à part la dernière partie le tout reste un peu monocorde et réitératif, ça tire abusivement en longueur pour une sensation déjà assimilée. Après c’est dépaysant, on y est, il y a de l’authenticité au niveau de l’interprétation et de la nature complexe des rapports humains, ça ne manque pas de soleil, juste d’être plus solaire pour finalement lever le voile, il manque également les rencontres.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2016
    Mais qu'est-ce que c'est que cet OVNI encore... Ce film m'a paru être une éternité. Il doit y avoir un message, certainement, mais je ne l'ai absolument pas décrypté, ce qui m'a rendu ces 2 heures éprouvantes... Le désert représente à lui tout seul le film en entier : VIDE. Vide de dialogues, vide de sens, vide de sensation, vide de logique, vide de compréhension ( spoiler: les disputes qui ne partent de rien... le mec en devient violent et on ne sait f*utrement pas pourquoi !
    )... Une chute choquante, certes, mais juste, POURQUOI ! Toute cette incompréhension en devient rageante. Ce pourquoi je ne reverrai pas ce film une seconde fois et ce pourquoi ma mémoire va le rendre très vite lointain dans mes souvenirs...
    Nicothrash
    Nicothrash

    292 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Du cinéma conceptuel ? Certainement, intéressant ? Rien n'est moins sûr ... 1h45 de rien avant un final choquant, voici plus ou moins le résumé de ce métrage de Bruno Dumont, enfin quand je dis rien, si il y a quand même des promenades interminables dans le désert, des scènes de cul immondes et totalement porno, de la misogynie et des dialogues ineptes ne voulant rien dire et ne menant nulle part. Donc après un premier visionnage qui m'a fort déplu, je me suis dit que j'avais dû rater quelque chose, je me renseigne donc sur le sens du film et sur son auteur et, masochiste que je suis, je me le retape une seconde fois ! Autant vous dire que ce sera la dernière, ce n'est ni plus ni moins que de la masturbation intellectuelle avec un final sanglant et dur histoire de réveiller le spectateur en lui assénant en pleine face un questionnement vide de sens. Rien n'y fait, ce film est malsain, ennuyeux au possible et le message porté est tellement ridicule sur le fond et sur la forme qu'il est bien difficile d'y adhérer, d'autant que les acteurs ne sont pas bons et la direction l'est encore moins, comment peut on laisser le type brailler de la sorte pour un oui ou pour un non ? Totalement improbable, c'est vide, creux, violent mais sans tension et surtout ça n'a rien à dire. J'aurais dû m'abstenir de le voir une seconde fois, j'aurais gagner 2h ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 juin 2015
    Film incroyable, étrange, brutal, vide, oppressant dans son immensité. Si bien que je n'ai aucune idée de si j'ai aimé ce film ou non. Mais je ne regrette pas de l'avoir vu.
    Gody G.
    Gody G.

    18 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mars 2014
    Road movie qui ne sert à rien. Scénario vide . On parle d'épouvante, horreur, je vois rien de tel ! il devrait le classer dans le porno vraie perte de temps.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    118 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mai 2013
    Bruno Dumont, ou l'une des nombreuses hontes du cinéma français.
    Maqroll
    Maqroll

    132 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2013
    C’est du cinéma conceptuel, aride, difficile et totalement original. Il nous fait entrer peu à peu dans une histoire à l’aspect linéaire qui conduit un couple en quête de repérage dans le désert californien où il va finalement y vivre l’enfer… C’est un récit presque biblique mettant en jeu un nouvel Adam et une nouvelle Eve qui vont passer de l’ignorance absolue à la connaissance du mal qui les perdra. La caméra de Bruno Dumont s’attarde avec une lancinante complaisance sur les évolutions des deux personnages cheminant de cercle en cercle jusqu’à l’inéluctable dénouement. Le spectateur ne peut jamais rester passif puisqu’il doit sans cesse participer par son imagination à la construction de cet édifice irrespirable et parfois insoutenable. Les scènes de sexe, nombreuses et répétitives, ne sont jamais gratuites et soulignent avec lucidité combien la jouissance n’est pas synonyme de plaisir… Leur écho dans la séquence insoutenable du viol est d’ailleurs hallucinant et prend littéralement aux tripes. C’est finalement par le regard que les destins vont s’accomplir et se nouer dans une sorte de danse macabre aux accents tragiques. Dans cette description d’une humanité glauque et implacable, les paysages prennent une place capitale, dessinant une architecture tourmentée qui va contenir toute la souffrance du monde. C’est un cinéma de visionnaire, éprouvant et halluciné, dont on sort avec de nombreuses questions et un malaise indicible.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    Pour être honnête, ce film est déconcertant. Il laisse une véritable interrogation en suspend. N'est-ce pas là une réelle bouse ? L'interprétation du film reste difficile pour moi. La plupart des films de cet auteur le sont d'ailleurs. J'ai lu une critique de spectateur qui évoquait la dénonciation de l'incommunication. Oui. Et non. Un film particulièrement vide apparemment. Du désert, cailloux, poussière, paysages grotesques de nullité avec ses buissons secs. Une vie de couple aussi vide et sans intérêt que de regarder passer des trains, s'ébahir devant des éoliennes. Houlà, leur profond ennui devient rapidement contagieux car on peine à découvrir un message, un quelconque intérêt à se faire ch ainsi, se faire du mal à loisir. Il y a tellement de meilleurs WE que d'aller s'encroter dans le désert. Les pôvres californiens. Dumont s'est rendu aux USA, il a pas aimé du tout! Il nous décrit ces Redneck, paysans qui vous insultent gratuitement si vous marchez sur LEUR trottoir, vous font chier à vous barrer la route, si vous ne tenez pas compte de leur avertissements. Une amérique totalement vide et insipide, remplie de gros lourdauds qui vous cherchent des ennuis, par ennui. Pourtant en plein coeur d'une Californie montrée (par eux) habituellement en exemple. Au milieu de cela, l'histoire d'un petit Roi, accompagné de son gentil sac à baîser, ou sac à viande ainsi qu'il la considère. Elle, est folle amoureuse de lui. Et jusqu'au bout. Elle devient hystérique parfois, tant il la déconsidère fréquemment. Puis survient (tardivement) l'accident ou le petit Roi se fait gentiment cassé, ôte sa couronne (se scalpe) puis nique tout se qui lui devient insupportable. Auparavant, une simple rayure sur son HUMMER devenait déjà une affaire d'état. Mais là, ce qui lui arrive, lui reste en travers de..enfin en travers. Une critique détournée de l'amérique, montrée sous un angle alternatif, un pays particulièrement vide et triste, remplie de culs-terreux. Le tout, sur un fond de pseudo-romance qui vire au cauchemar. Le vide est si présent, qu'à part baiser ou copuler sur des cailloux, il n'y a pas grand chose à faire pour se sentir exister. La situation de "vide cérébral" des personnages est si intense (hum.), que les dialogues tiennent bien évidemment sur un confetti. Leur frustration devient fatalement la notre. La force de Mr. Dumont, est d'exprimer de façon muette, un torrent d'idées, de paroles, posés sur des vides peuplés de cailloux. Et pourtant, une bande sonore si expressive et si intense, qu'elle en devient à elle seule, rapidement insupportable, voire même agressive, haletante. La démonstration que le cinéma n'existe pas seulement par les images, mais bien par un souffle, des idées à écouter. Encore faut-il accepter de les entendre, je veux dire, s'y préparer par avance. Un film "Dumont" ne se prend jamais à la légère. Au final, un scénario particulièrement audacieux, et singulier surtout. La maîtrise habituel de ce réalisateur qui nous apprend sans cesse à découvrir un sens différent au flot d'images déversées habituellement au cinéma, à nous interroger, à faire l'effort de comprendre. Et fort heureusement, il y a matière à interpréter de mille façons différente ce road movie. Malheureusement, bon nombre de spectateurs n'en sont pas conscient et considèrent, à tort, que ce film est lent. Une réalisation qui laisse pourtant largement le temps de réfléchir, de donner un sens aux situations. Il n'y a donc aucune frustration. Bien au contraire, une richesse intense. La démonstration qu'on peut faire un film 'plein', sur un désert 'vide', et des personnages dans leurs plus mauvais jours et particulièrement en défaut d'intensité, proches du vide total. A découvrir et à apprivoiser dans cet exercice ou le vide appelle le plein. Et où, le spectateur doit prendre les choses en main, réfléchir, agir et participer à remplir le vide laissé délibérément ouvert, montré du doigt. Une opportunité pas si courante, qui peut rebuter les grands consommateurs d'images qui bougent. Pour ma part, je ne peux qu'être reconnaissante de l'effort que réclame ce film. Merci.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2012
    Concentré autour du mythique désert californien Joshua Tree, l'histoire abonde en périples automobiles et en étreintes dont la première, après les larmes, alerte, glace... Le couple n'en reste pas moins familier avec ses sautes d'humeur résultant de la fusion toujours laborieuse pour les caractères affirmés. Curieux duo d'amis-ennemis, ils sont volontairement pieds et poings liés (d'autant que l'actrice Katerina Golubeva, parfaite borderline ici, est morte en août 2011). On arrive à craindre la copulation tant, dans sa sauvagerie, elle jure avec les éoliennes de la première halte. Hommage régulier aux cailloux, chaud, froid, une tendresse fugace, qu'ils sont donc agaçants... Ce chauffard qui insulte, cette voiture blanche qui vrombit, ce sont là billevesées pour ces zombies... Ils ne se droguent pas pourtant, finissent par s'éprouver frontalement. Choisissent-ils la mauvaise direction une fois perdus sur les hauteurs ?... Ce road-movie admirablement agencé, truffé de mises en abymes picturales ou sonores (ces ronflements de moteurs !) laisse un goût de ciguë... L'allusion à la dangerosité des zones désertifiées est certes pertinente, Ô combien d'actualité et pas seulement du fait de la nature. Immensité vide, possible mirage pour l'errant lassé de l'espace urbain, voire... J'ai trouvé un peu "pieds pris dans le tapis" ce couteau brandi plusieurs fois en revanche, et trop inaudible le chuchottis policier. Dommage !
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2012
    'INSIDE', comme un cri au milieu des bulles, la femme en maillot rouge s'échoue, naufrage des deux amants paumés- les flash crépitent sur l'écran intérieur, délicatement, elle pose un peu de vernis sur ses ongles pâles, l'ombre d'elle même dans l'étendue désertique se noie. Des roches, s'élève un souffle humain, "on va brûler", plaisante le demi-Dieu aux cheveux d'or. Un type tout seul qui mange une glace attire la mélancolie dans tous les sens, t'as de la crème glacée au coin des lèvres, je t'aime. NUIT. La danse des furieux commence, faiblement éclairée par des lumières acides, au grand jour la route reprend, mélodie asséchée et pavée d'imprévus, le cul à l'air , les jambes molles, au milieu du désert, qu'est ce qu'on rigole...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top