Avis : La Maison au bout du monde - Page 2

Un scénario simple pour une histoire qui ne l'est pas vraiment. Fan de Colin Farrell, c'est toujours avec plaisir que je découvre sa filmographie et ses rôles variés. Le film se contente se faire un portrait de ses personnages un peu égaré, sans chercher à apporter une fin particulière. Chaque scène est pleine d'émotions et jamais clichée.

Un film très émouvant et merveilleusement interpreté. La relation entre les acteurs principaux peut parfois déranger mais il faut dépasser ces préjugés et apprécier...

quel beau récit, le genre de film qui donne une sourire béat! une chronique à la liberté de ton qui colle aux années 70 et 80 mais tout cet amour et cette harmonie auront forcément un prix à payer. le trio C. Farrell-S. Spacek-R. Wright est formidable, la relation entre Bobby et Jonathan d'une puissance rare. presque trop court, on ne peut qu'être ému par ce drame humain tout simplement.

C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux garçons qui évolue en une relation amoureuse. Les acteurs jouent avec un beau naturel et arrivent à nous toucher par-delà les conventions. Le scénario tout en finesse, repose sur les sentiments qui s’en dégagent, entre vulnérabilité, fragilité et équilibre amoureux. On ne peut rester insensible à cette famille atypique (le bi et sa compagne hétéro avec leur bébé et l’ami gay). Les situations tendres ou angoissantes sont des grands moments autour de la tolérance dans cette libéralisation des mœurs qui peut interpeler. Au final, « La maison du bout du monde » est un film tout à fait réussi.

Ce film est tiré du roman de Michael Cunningham du même titre qui fut d’ailleurs très apprécie à sa parution …L’ histoire émouvante et pudique de deux jeunes gens très proches dans leur période ado qui se retrouvent après des années de séparation …L’un, Jonathan (Dallas Roberts) , est devenu un homo mal dans sa peau pendant que l’autre personnage, Bobby (Colin Farrell), sensible et craintif cherche encore sa voie …Ils connaîtront l’amour, la tendresse, le bonheur et le désarrois en compagnie de Clare ( Robin Wright Penn) , une jeune femme extravagante bien décidée a avoir un enfant avec ses deux compagnons …Cette vie à trois nous entraîne dans des situations tendres et angoissantes mais pleines d’amour et de complicité …Un beau poème à l’amour et le respect de l’autre ...

Magnifique film sur l'amour, la famille, l'amitié, la tolérance. Très bon scénario tiré d'une nouvelle de Michael Cunnigham.
Les acteurs sont excellents, colin Farrell (superbe en bisexuel, aux antipodes de ses rôles "dur" ou de héros macho), Robin Wright Penn, Sissy Spacek.
Vraiment beau !

Film un peu long à se mettre en place mais qui s'avère au final très touchant et émouvant ! Une belle histoire d'amour entre 3 êtres, complexe, belle et triste ! La maladie qui s'ajoute à tout cela rajoute une touche poignante au scénario ! Un peu cliché mais efficace tout de même ! A voir...

Tres tres bonne surprise, je dirai même un coup de foudre. En premier lieu je me suis dis, Collin farrell dans un melo ca risque de ne pas le faire car j'avais l'habitude de le voir dans ds roles de dur ou de macho. Eh bien, je me suius trompée en beaute. Collin est géniale dans ce film, il est doux, tendre, touchant, vulnérable. Les autres acteurs sont également trés bien et l'histoire est bien ficellée.Je n'ai paslu le livre dont le film est tiré donc je ne peux pas donner mon avis en ce qui l'adaptation du film par rapport au livre. PS pour les personnes qui ont aimé Brockeback Mountain vous aimerz surement ce film.

Simple mais bouleversant. On pensait pas que l'on pourrait croire à l'histoire, mais si. Les acteurs naturels et touchants, le scénario toute en finesse.
Un film qui aurait eu largement le mérite de sortir au cinéma !

Rarement un réalisateur a montré une histoire d'amitié amoureuse masculine si particulière, qui transcende le sexe et les conventions, et il la filme de manière pudique, originale et belle. Colin Farell, métamorphosé, est troublant en adulte fragile et presque asexué, profondément amoureux de son ami d'enfance.

Très bon film. Avec un trio d'acteur remarquable dont un Colin Farel bleuffant.

Rien de réellement innovant mais on se laisse porter par la poésie, la tendresse et la complicité du trio amoureux. Des longueurs, des maladresses qui atténuent malheureusement trop fortement l'intensité que ce film aurait mérité pour atteindre une dimension plus forte. Mais aussi beaucoup de naturel et de sensibilité (voir de naïveté utopique) qui contrastent avec un background dramatique mais pudique et font du film un plaisir à découvrir. Sissy Spacek toujours aussi merveilleuse mais impossible de trancher quant au fait que Farrell joue étonnamment bien ou faux...surement du fait qu'on est trop coutumier de ses rôles de macho.

La production du film (décor, costume, photographie) est tellement laide que l'on est tenté de fermer les yeux lors de la projection, la mise en scène sans aucune idée. L'histoire est cependant formidable, mais pour ça, autant lire le roman...

Je ne dirais pas que ce film n'est pas bien mais plutôt que ce n'est pas mon style de film ; je n'ai pas destesté mais je n'ai pas accroché non plus ; les thèmes abordés sont particuliers : homosexualité, bisexualité, ménage à trois... mais subtilement traités

Vivre sa vie comme on le souhaites... Voilà ce que nous fais voir ce film sous un fond de vie libertine et homosexuel dans les années 70-80. Même si le scénario mets un peu de temps à se lancer et que le jeu des acteurs n'est pas exeptionnel, ce film a le mérite d'offrir un regard compréhensif sur la famille comme on ne l'imagines pas...