Derniers Avis sur La Maison au bout du monde

C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux garçons qui évolue en une relation amoureuse. Les acteurs jouent avec un beau naturel et arrivent à nous toucher par-delà les conventions. Le scénario tout en finesse, repose sur les sentiments qui s’en dégagent, entre vulnérabilité, fragilité et équilibre amoureux. On ne peut rester insensible à cette famille atypique (le bi et sa compagne hétéro avec leur bébé et l’ami gay). Les situations tendres ou angoissantes sont des grands moments autour de la tolérance dans cette libéralisation des mœurs qui peut interpeler. Au final, « La maison du bout du monde » est un film tout à fait réussi.

quel beau récit, le genre de film qui donne une sourire béat! une chronique à la liberté de ton qui colle aux années 70 et 80 mais tout cet amour et cette harmonie auront forcément un prix à payer. le trio C. Farrell-S. Spacek-R. Wright est formidable, la relation entre Bobby et Jonathan d'une puissance rare. presque trop court, on ne peut qu'être ému par ce drame humain tout simplement.

Film un peu long à se mettre en place mais qui s'avère au final très touchant et émouvant ! Une belle histoire d'amour entre 3 êtres, complexe, belle et triste ! La maladie qui s'ajoute à tout cela rajoute une touche poignante au scénario ! Un peu cliché mais efficace tout de même ! A voir...

J'ai regardé La Maison au bout du monde, pleine d'espoir et bien je n'ai pas été déçue du tout!
Ce film raconte une histoire magnifique, touchante, émouvante...
C'est un hymne à la tolérance, interprété par des acteurs talentueux (mention spéciale à Colin Farrell, c'est déjà un acteur que j'apprécie mais j'avoue que la il m'a bluffée!).
Voilà, ce film est petit bijou et c'est d'autant plus regrettable qu'il ne soit pas plus connu... :)

Un très beau film! De très bons acteurs, de belles musiques et beaucoup d'émotion. Un scénario original qui met en scène des personnages déjantés et attachants, singuliers et touchants.

Un très bon film, très touchant. Je ne sais pas trop quoi en dire, j'ai beaucoup aimé le thème de l'histoire: la complexité des sentiments et l'idée qu'une personne ne peut être parfaite, alors qu'on peut créer un être parfait avec un peu de chaque personne. Enfin je ne sais pas trop comment dire, parce que la perfection est subjective et du moment qu'on considère que les défauts permettent de complêter la personne, alors oui, on peut tout aimer chez une seule personne, il peut y avoir osmose. Bon je m'arrête là pour mes divagations pseudo-phylosophiques. Les acteurs sont très bons, je ne suis pas fan de Colin Farrell mais je l'ai trouvé très bon, très crédible. Un très bon film qui donne envie de lire le livre dont il est tiré.

Rien de réellement innovant mais on se laisse porter par la poésie, la tendresse et la complicité du trio amoureux. Des longueurs, des maladresses qui atténuent malheureusement trop fortement l'intensité que ce film aurait mérité pour atteindre une dimension plus forte. Mais aussi beaucoup de naturel et de sensibilité (voir de naïveté utopique) qui contrastent avec un background dramatique mais pudique et font du film un plaisir à découvrir. Sissy Spacek toujours aussi merveilleuse mais impossible de trancher quant au fait que Farrell joue étonnamment bien ou faux...surement du fait qu'on est trop coutumier de ses rôles de macho.

Il faut être un fan assidu du réalisateur ou de l’un des acteurs pour parvenir à trouver le titre, évidemment trop long, de la Maison au bout du monde qui porte de ce fait très bien son nom. Passé donc totalement inaperçu, ce film de Michael Mayer souffre en effet de quelque carence. Outre sa renommée inexistante, il manque quelques scènes, quelques musiques, pour donner à l’aspect bouleversant du film toute sa dimension. La complexité des relations, elle, est exploitée à merveille, mais parvient à s’essouffler au détour de quelques scènes cette fois-ci de trop. Comme d’autres actrices ayant interprété des rôles extravagants, Robin Wright Penn agace parfois le spectateur, sans toutefois jamais la fâcher. Affaibli par ces quelques fausses notes, La Maison au bout du monde demeure tout de même un film imprégné d’une certaine beauté, d’une langoureuse complexité.

Un film qui joue sur le côté amusant , et triste . En tout cas, ce film très peu connu a un certain niveau , qui fait qu'on ne regrette pas de l'avoir vu . Entre une histoire d'homosexuels et d'hétéros , La Maison au bout du monde s'avère efficace , avec notamment Colin Farell et Robin Wright Penn . En tout cas, ce film n'est pas trop surprenant , mais l'histoire , malgré quelques détails négatives , est prenant . Au contraire de film un peu trop monotone , et vachement ennuyeux . En tout cas , ce film est une petite surprise , vu que ce n'est pas connu , en tout cas , c'est un beau film sur la vie et les amours.

Un scénario simple pour une histoire qui ne l'est pas vraiment. Fan de Colin Farrell, c'est toujours avec plaisir que je découvre sa filmographie et ses rôles variés. Le film se contente se faire un portrait de ses personnages un peu égaré, sans chercher à apporter une fin particulière. Chaque scène est pleine d'émotions et jamais clichée.

Un film très émouvant et merveilleusement interpreté. La relation entre les acteurs principaux peut parfois déranger mais il faut dépasser ces préjugés et apprécier...

Je retiendrai de ce film un grand sentiment de liberté. Voir ces jeunes vivre un ménage à trois, sans complexe, sans peur, et découvrir le monde grâce à leurs expériences, c'est le gros point fort de ce film. L'amitié sincère et l'amour qui les unit sont beaux à voir. Colin Farrell trouve là un rôle comme on lui en voit peu souvent. Les autres acteurs sont également très bons. Et il est étrangement captivant de voir la douce Sissy Spacek fumer un pétard...

Colin Farrell m'a supris dans ce film. Il joue le rôle d'un homme docile, vulnérable. Tellement différent de ses autres rôles. Un film d'une intensité rare, les dialogues sont profonds. A découvrir !

quelle claque !!! totalement délirant ce film, Robin Wright est excellente en déjantée, et Collin Farell touchant au possible.
Un film peu connu qui surpasse les 3/4 de tous les films sans âme et sans émotion.

Bon film, Colin a ses débuts...