Chef d'oeuvre du cinéma français qui fait suite à L'instinct de Mort avec réussite. Cette partie est plus centré sur l'action et les faits que son prédécesseur sans en faire trop et un jeu d'acteur et une mise en scène bluffante. Chaques scènes en compagnie de Vincent Cassel est un régal , a ne manquer sous aucun prétexte !!!
Dans la lignée de la première partie, ce film est totalement divertissant et on apprend comment Mesrine a chuté après plusieurs années de cavale, la fin est mise en scène à la perfection. Bref, un bon film de gangster. (cf : voir critique de la première partie)
Second volet du dyptique " mesrine " . Cette 2ème partie raconte la suite du parcours criminel de Jacques mesrine dans les années 70 ou il va devenir l'ennemi public numéro 1 ... Cette 2ème partie du dyptique " mesrine " baptiser " l'ennemi public numéro 1 " est très réussit . Le film est différent du premier car on change d'époque . Fini les années 60 on se retrouve propulser au cœur des années 70 . De plus le personnage de mesrine a évoluer . Il est beaucoup plus sur de lui . Alors que dans le premier volet il se cherchait hésitant entre le crime et une vie honnête la dans ce 2ème film il sait exactement ce qu'il veut . Il est également plus déterminer et assez excentrique tout en étant encore plus dangereux. Le film est également beaucoup plus rythmer . Le premier volet et le second volet se complète parfaitement pour nous offrir une histoire passionnante de 4 h qui couvre près de 20 ans de la vie d'un criminelle avec toute son évolution . L'histoire de ce criminel est toujour aussi passionnante a suivre et nous tient encore une fois en haleine du début a la fin grâce a une histoire passionnante , un très bon suspense , pas mal de tension , de la violence , de bonne scènes d'action réaliste . Comme pour le premier volet rien n'a été censuré ( violence , sexe , injure ) pour nous immerger totalement dans cette histoire . Le film est toujour aussi réaliste pour coller au mieux a la réalité de ce qu'il c'est passer . Le casting est toujour aussi excellent . Vincent cassel est toujour aussi magistral dans le rôle de jaques mesrine . Il nous offre un jaques mesrine différent qui a évoluer .un personnage toujour aussi intéressant . Il est beaucoup plus sur de lui , il sait désormais ce qu'il veut , il est vraiment déterminer mais aussi assez excentrique par moment tout en étant encore plus dangereux , immorale , violent , froid et sans pitier . Son interprétation est toujour aussi impeccable collant au plus près du personnage que se soit dans ses gestes , sa façon de parler etc ... Il donne vraiment tout son talent et son charisme au personnage qui a gagner en épaisseur dans ce 2ème volet. Le reste du casting est excellent avec de nouvelle tête telle que Samuel lebihan , Mathieu almaric ou encore gerard lanvin très bon tous les trois dans le rôle de complice de jaques mesrine . Juste un petit bémol sur l'accent de gerad lanvin pas très crédible . La reconstitution de l'époque , en l'occurrence les années 70 ici , est toujour aussi réussit grâce a de bons costumes et décors et une très bonne mise en scène . L'ambiance est excellente . On est immerger totalement dans un univers sombre de gangsters au cœur des années 70 . Ce film renoue avec les polars noir des années 70 . La bo est toujour très bonne collant a merveille a l'ambiance du film .Le film se conclut magistralement par une scène finale magistralement reconstituer . Une scène finale mémorable remplit de tension et de suspense alors qu'on sait exactement comment cela va se terminer . Ce film conclut magistralement un très bon dyptique ( " Mesrine , l'instinct de mort " et " Mesrine , l'ennemi public numéro 1 " ) vraiment passionnant a suivre .
Dommage d'avoir réussi une première partie pour une seconde qui laisse sur un sentiment mitigé... Entre une moumoute ridicule pour Olivier Gourmet qui incarne un commissaire Broussard bizarrement assez fade (alors que ni le personnage, ni le comédien a-priori ne le sont !!!), un Samuel Le Bihan qui montre toujours une très grande capacité à ne pas être convaincant et un Gérard Lanvin peu crédible dans un accoutrement peu crédible, contrairement au premier film du diptyque qui était prenant du début jusqu'à la fin ici on a le droit à des longueurs. Longueurs en rien arrangées par le fait que le réalisation classique mais très efficace de Richet pour le premier volet laisse une mise en scène technique plate et monotone et la distribution impec de chez impec de ce même premier volet pour les erreurs de casting déjà citées ci-dessus. Reste Vincent Cassel et quelques belles interprétations, dont celle de Mathieu Amalric en François Besse "le Roi de l'évasion", et bien sûr une figure mi-sympathique mi-détestable fascinante. Un diptyque à moitié réussi, qui se fait poser la question de la bouteille à moitié vide, à moitié pleine...
Certainement un des meilleurs polars français de ces dernières années, Richet fait très fort avec ce deuxième volet du diptyque sur le criminel Jacques Mesrine, un poil supérieur au premier. Palpitant, rythmé, fascinant, passionnant, ce film est quasiment parfait, la réalisation est très bonne et l'interprétation de Vincent Cassel phénoménale (d'ailleurs c'est assez incompréhensible de constater à quel point Cassel soit aussi sous-exploité par le cinéma français). Le terme de biopic n'a jamais aussi bien porté son nom, il est très informatif et révèle bien la personnalité sulfureuse de Mesrine ainsi que le contexte de l'époque (très peu d'anachronismes pour une reconstitution). A souligner la séquence finale qui est juste exceptionnelle de tension, vraiment très scotchante et brillante (la musique est également de qualité) . Ce "Ennemi public numéro 1" est vraiment un excellent film, le genre de polar que l'on aimerait voir d'avantage.
Un second volet moins convainquant qui n’atteint pas l’intensité du premier mais sans autant démérité, qui prend le temps de prendre la mesure politique et historique du personnage.
Encore plus palpitant que le premier ! Un si haut degré de maîtrise pour un film policier qui traite sur cette si culte histoire vraie... Pourquoi les films français n'ont pas autant de perles comme ça ? Ce film c'est le premier, donc pas besoin de se répéter. il est juste meilleur dans son contenu, ses scènes d'action, son rythme et sa conclusion.
2 eme et dernière partie des films Mesrine. Toujours très réussie , moins puissant que la 1ere selon moi. Plus factuel , plus elliptique , avec un bon creux de la vague au milieu .. Mais toujours loin au dessus de la majorité des films fr actuel. Mise en scène tjrs cadrée , les acteurs tops surtout Cassel qui dans cette seconde partie donne la pleine mesure de sa performance. Waouh.
Un second volet de très bonne facture, même si je l'ai trouvé moins haletant que le premier. Le film étant sobre et très professionnel quant aux faits décrits, il se peut que ceci explique cela, puisque beaucoup de gens (moi en faisant partie) connaissions les coups d'éclats de Mesrine, qui ont fait de lui l'ennemi public n°1. Le premier volet nous avait quant à lui fait découvrir la face plus cachée du truant. Toujours est-il que c'est un superbe travail, conscencieux et sombre, violent tout en nous laissant ^parfois pousser un petit sourire. Vincent Cassel y est grandiose, comme dans le premier volume. Il vit littérallement au travers de son personnage. Superbe prestation cinématographique !
Cette seconde partie du diptyque sur Mesrine est aussi rythmé et possède un scénario très dense, tout comme la première partie. Il y a cependant une différence sur l'état d'esprit du personnage principal. Dans la première partie, on se concentrait essentiellement des débuts de Mesrine dans le monde du banditisme alors que dans cette seconde partie, on retrouve un personnage beaucoup plus sûr de lui et avec une idéologie politique. Le casting est très bon (même si j'ai une préférence pour celui de la première partie) avec notamment la présence remarquée de Samuel Le Bihan ainsi que Gérard Lanvin et Matthieu Amalric. Vincent Cassel est toujours aussi bon. En conclusion, ce diptyque est une totale réussite et il y a fort à parier que ce film devienne avec le temps, un grand classique du polar français.
Ce second volet, suite et fin, dispose d'un scénario toujours aussi excellent, une reconstitution tout aussi remarquable, une intrigue dense, intense, sans aucun temps mort et est interprété par un brillant Vincent Cassel parmi un éblouissant casting. Une réussite !
Un deuxième volet démarrant peu ou prou de la même manière que le premier, nous rappelant d’entrée quelle sera la fin inéluctable réservée au personnage principal. C’est ici la période 1973-1979, la plus médiatique et célèbre, qui est raconté. Le processus de narration alterne les cycles de continuité et ceux de rupture avec la forme choisie pour la première partie. Effectivement, la caméra est toujours aussi prompte à démarrer sur les chapeaux de roues quand il s’agit d’enchainer un braquage avec un enlèvement, mais heureusement elle sait aussi parfois se poser et offrir des moments intimistes. Ainsi, à l’intérêt relatif des échanges lors du premier épisode succède des conversations plus politisées et contenant des fragments explicatifs sur les motivations du personnage. Les grandes lignes sont retranscrites avec brio, même si l’on peut reprocher à l’évasion de La Santé de manquer d’un rien de ce souffle, cette nervosité qui la rendrait plus crédible. Si les défauts du premier sont renouvelés quant au fait que Vincent Cassel tienne le film sur ses seules épaules, certains écueils ont été évités. La cavale n’est pas présent comme une partie de plaisir, ni « la vie de rêve » d’un Tony Montana, on en perçoit à chaque instant les dangers, situations tendus et problèmes qui lui sont inhérents. Le film ne réserve pas à ce titre une marche triomphale à son protagoniste principal et évite de sanctifier ses actes de manière explicite. Cependant le choix d’axer l’histoire du seul point de vue du truand exclue une certaine nuance. Les faits racontés sont empreint de sa vision. On ne peut s’empêcher dés lors de trouver la police ridicule, car on ne voit jamais son travail de fond, les moyens mis en œuvre pour traquer l’ennemi public numéro un, à l’exception d’une scène de planque qui provoque des frissons salutaires. Aucun doute toutefois sur la supériorité de ce volet sur le précédent, grâce à la prédominance du contenu formel sur la spectacularisation. La fin abrupte abonde en ce sens : nulle interrogation sur l’après-Mesrine ni de focus sur la fascination qu’il a généré sur les masses et les artistes l’ayant évoqués à travers un écrit, une chanson, un dessin. Un choix tranchant, à l’opposé par exemple du finish d’un autre film autour d’un homme controversé, The doors d’Oliver Stone, s’achevant sur le culte voué à Jim Morrison.