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    La Prisonnière du désert
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    189 critiques spectateurs

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    Philippe C
    Philippe C

    84 abonnés 1 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2022
    Un bon western qui a certes un peu vieilli, mais qui fonctionne bien. John Wayne y est a son aise et en fait juste ce qu'il faut. L'image est magnifique et on pardonnera à John Ford de vouloir nous faire croire que les célèbre pics de Moutain Valley se trouvent au Texas. Les personnages sont bien campés, les chevauchées et batailles très bien filmées.
    Il reste une vision typique des années 50, celle un peu surannée, de l'indien forcément fier et inutilement sanguinaire, de la femme restreinte aux taches domestiques, de l'armée disciplinée et salvatrice et du héros solitaire qui sait tout et a toujours raison.
    Le film est sans doute un peu long, mais abstraction faite de notre vision actuelle du monde, beaucoup plus nuancée, c'est quand même un petit bijou
    noizet
    noizet

    4 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2021
    il parait que c'est un film culte.
    pour moi, il a droit à une demie étoiles pour le paysage.
    sinon on a droit à ces clichés des indiens sanguinaires et de blancs héroïques
    à oublier très vite
    sebastien r
    sebastien r

    4 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    Sublime...Pas de meilleur qualificatif. Un chef-d'œuvre que dire de plus! Que la réalisation touche au sublime, au remarquable, que John Wayne a une présence charismatique inoubliable et que Natalie Wood est telle une déesse au centre de l'imaginaire et du réelle? Oui...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2021
    Je ne suis pas fan de western. Vu dans un contexte d’études, je dois avouer que « La Prisonnière du Désert » de John Ford est un excellent western et en même temps un film d’aventure assez intriguant et captivant. Tourner dans de beaux décors pour l’époque, ce film est assez gourmand et lécher dans ses images et sa mise en scène. Le duo formé par John Wayne et Jeffrey Hunter est assez attachant au file du temps. Pourtant, parfois le film semble tourner en rond et on a quand même l’impression qu’il s’ étend en longueur jusqu’au final tant attendue. Un bon classique du genre.
    Charlotte28
    Charlotte28

    100 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2020
    Manifestement passée à côté du sous-texte magistral dont parlent certains, je me suis ennuyée devant cette longue quête malgré les magnifiques paysages américains et le charisme inaltérable de John Wayne. Il faut croire que la personnalité des divers protagonistes, le surjeu de certains et l'invraisemblance absolue du retournement de situation (sans parler du premier affrontement entre les sauvages Indiens et les braves cow-boys) m'ont refroidie! Décidément je peine à me plaire devant ces nationalistes louanges surannées à la grandeur américaine et à la solitude magnifique... Le plus beau western demeure pour moi Rio Bravo.
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2020
    Bon western avec un scénario très bien écrit par l'excellent John Ford. On se lasse jamais de voir les beaux paysages de la Monument Valley.
    Quelques scènes drôles viennent amener de la bonne humeur au milieu de la tragédie.
    Les femmes ont un rôle très important dans le film malgré leurs maigres apparitions à l'écran, par exemple la scène mythique ou deux hommes se battent au mariage pour l'excellente Vera Miles et bien sûr la quête pour retrouver " la prisonnière du désert" Debbie Edwards.
    Puis les scènes de massacre on été épargné par le réalisateur, ce qui est un bon point car c'est rarement le cas. Que dire de John Wayne raciste des indiens qui en fait une quête solitaire, qui est comme d'habitude parfait dans son rôle avec son charisme indéniable.
    Par contre je n'ai pas trop aimé la bande originale.
    Dans l'ensemble c'est un bon western avec un scénario de base correspond aux codes du genre, mais avec de l'originalité, quelques scènes humoristiques bien trouvées et la présence des femmes qui influent sur le film de belle manière.
    velocio
    velocio

    1 216 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Presque toujours la même chose avec John Ford : trop de scènes "forcées", que ce soit au niveau des sentiments, de l'action ou des dialogues. On ne peut pas dire qu'on se passionne pour l'histoire, ce qui est bien embêtant pour un western !
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    369 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    Généralement j’aime les westerns pour leur tension, générer un moment où tu sens que ça peut exploser, ou du moins se décanter, et là il n’y rien de tout ça, c’est ce qui m’a manqué et c’est ce qui me manque dans ce genre de western en particulier, sans doute pour ça que je reste plus ou moins insensible au pendant américain, trop psychologique, trop classique. Le salut vient des personnages, notamment John Wayne tout du long en anti-héros flegmatique ou le couple qui se retrouve vers la fin, disons que la dernière demi heure m’a convaincu parce qu’il n’y a pas vraiment de morale, et réussit toutefois à être percutant, tout en étant remarquablement bien filmé.
    Mitigé.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    93 abonnés 1 655 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2019
    Comme la plupart des western de ce type, il a beaucoup vieilli en termes d’image mais de scénario aussi où le gentil blanc vient à la rescousse de sa famille capturé par les méchants indiens. Le film a beaucoup de cliché, est peu intéressant sur le scénario ou les personnages secondaires. Il se laisse encore suivre mais ça a beaucoup perdu.
    Stephenballade
    Stephenballade

    369 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2019
    "La prisonnière du désert" a beau ne pas être le plus fameux western de John Ford, c’est un réel plaisir de découvrir ou de redécouvrir de vrais westerns. C’est vrai quoi, on a des indiens, des cow-boys, des fusillades et même des courses-poursuites, encore que celles-ci ne sont pas nombreuses (en l’occurrence seulement deux). Ce n’est pas tout : on y retrouve aussi la musique très spécifique qui a contribué au succès du genre, tout comme le genre a contribué à la popularisation de cette musique. En somme, tout ce qui a constitué la matière première de ce qui a fait l’âge d’or du western. Le cap est mis sur le Texas, en l’an 1868. En regardant "La prisonnière du désert", on ne peut nier que John Ford était l’un des maîtres artisans des films du genre. Non seulement il a su transposer un fait réel, mais en plus il a su prendre son temps pour aménager son long métrage de scènes d’action, de moments de tension (en particulier quand la famille se replie à l’intérieur même de leur petite ferme), de moments graves et même dramatiques, tout en développant suffisamment les différents personnages sans trop en faire, le tout saupoudré de quelques petites notes d’humour. Reconnaissons qu’à l’époque, on ne tournait un film que lorsqu’il était prêt, le temps de l’écriture demandant un gros laps de temps considéré aujourd’hui comme un luxe qu’on ne peut plus s’offrir. Et puis il faut dire qu’avec John Wayne (autre figure emblématique du western) dans les rangs, John Ford sait encore mieux que quiconque comment mener son affaire. Ben tiens, c’est que les deux John n’en sont pas à leur première collaboration ! Loin de là ! Mais là où on peut mesurer tout le savoir-faire du réalisateur, c’est lors de la scène d’ouverture : elle se fait sur des paysages mythiques (ceux de la Monument Valley avec ses célèbres tertres rocheux), filmés depuis l’intérieur d’une petite ferme située dans une région aride pour accueillir John Wayne en homme qui vient de quelque part de l’autre côté du désert. Mais le plus étonnant, c’est que les dernières images sont assez similaires à la scène d’ouverture, à la différence près qu’au lieu de voir la porte s’ouvrir, celle-ci se ferme, laissant John Wayne s’évanouir quelque part dans ce grand espace, comme pour signifier qu’une page de l’Histoire du Grand Ouest venait de se tourner. Seulement aujourd’hui, nous sommes au XXIème siècle, aussi il est très possible qu’on voit ce film d’un œil légèrement différent, même si la nostalgie du cinéma d’antan reste présente. Pourquoi je dis ça ? Eh bien parce que vous ne pensez pas que "La prisonnière du désert" pourrait être considéré comme étant un des ancêtres du road-movie ? Après tout, nous suivons nos héros sur des kilomètres et des kilomètres, jusqu’au Nouveau-Mexique ! Malgré la gravité du sujet et quelques actes barbares commis, ce long métrage est très regardable et reste tout public. John Ford a sans doute jugé inutile de montrer les exactions commises, comme par pudeur, laissant du même coup le spectateur avec sa seule imagination. Mais si "La prisonnière du désert" n’est pas retenu comme l’un des films les plus emblématiques du cinéaste, c’est sans doute parce qu’il y a quelques maladresses. Déjà, la Monument Valley ne se situe pas au Texas, mais sur la frontière délimitant l’Arizona avec l’Utah. Mais peut-on en tenir rigueur ? Je serai tenté de répondre par la négative, car les décors superbes ne desservent en rien l’intrigue, bien au contraire. Et puis après tout, en cette année de tournage qu’est 1956, il est (déjà) devenu difficile de trouver des milieux naturels si grandioses à cause des constructions à tout va… Parmi les maladresses, on notera aussi une musique trop présente pendant la prière funéraire. Et puis on notera aussi un jeu parfois un peu trop surfait, un peu trop théâtral. Bien que le cinéma d’antan fut ainsi fait, c’est visible dans les rôles féminins, mais plus encore chez Jeffery Hunter, celui-là même qui a incarné Martin Pawley. Mais cela ne gâche en rien la captivation du spectateur, lequel, à l’instar de John Wayne en Ethan Edwards, veut savoir ce qu’il est advenu de la dernière fille Edwards. Oui j’ai bien dit la dernière fille Edwards. Non je ne spoile pas, il n’y a qu’à regarder le titre de la version française, que je juge un peu maladroit. Très différent du titre original, "The searchers", j’aurai plutôt vu une traduction littérale, et tant pis si ça laissait entendre une histoire sur les orpailleurs. Quoiqu’il en soit,, "La prisonnière du désert" reste un bon film d’autant qu’on a de bonnes notes d’humour, comme je le disais plus tôt : entre le fameux Moïse à qui (là c’est un avis qui n’engage que moi) la voix française ne va pas du tout, et un duel qui commence de façon très singulière, il y a de quoi esquisser un sourire de temps en temps. Mais pour tout dire, je n’ai qu’un seul regret : c’est que le chef indien Eclair, brillamment interprété par Henry Brandon, ne soit pas plus exploité pour renforcer l’attachement du spectateur à la cause de Ethan Edwards et de Martin Pawley.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    73 abonnés 1 680 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2019
    Grand classique du western, j'avais gardé un assez mauvais souvenir de ce film et puis en le revisionnant des années plus tard, j'ai découvert un film aux paysages à couper le souffle, à la mise en scène maîtrisée et à l'histoire pas si bete qu'elle en a l'air. J'ai finalement passé un agréable moment et suis revenu sur ma première et fausse impression. Comme quoi...
    CH1218
    CH1218

    170 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2019
    Bien que je lui préfère d’autres westerns, « La Prisonnière du Desert » n’en demeure pas moins l’un de ses plus dignes représentants. Dès les premières images, le ton est donné tant les majestueux pitons rocheux de Monument Valley lui apportent une dimension épique. Orchestrée par un John Ford en grande forme, l’histoire s’étend sur les 5 années d’une quête pour retrouver une jeune fille enlevée par des Comanches. Le récit permet différents interprétations et est entrecoupé de quelques touches d’humour pas toujours bien utilisées, à l’instar de la séquence du mariage qui arrive, bizarrement, comme un cheveu sur la soupe par rapport aux scènes qui la précède. Figure incontournable du genre, John Wayne incarne un personnage complexe, ambigu et profondément anti-indien. Son racisme s’oppose entre autre au jeune et déterminé métis qui l’accompagne dans ses recherches, campé par un séduisant Jeffrey Hunter. Ward Bond, Vera Miles et Nathalie Wood complètent généreusement la distribution de ce grand moment de cinéma.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    611 abonnés 2 799 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2018
    La Prisonnière du désert est la porte d’un foyer où se conserve une idéologie brutalement ouverte pour laisser entrer autrui, cet autre que soit tantôt recueilli tantôt revenu du front que le sang définit avant tout : John Wayne se mue en mémoire intransigeante et détestable de ce pouvoir par la pureté du sang, porte toute la tradition conservatrice d’une Amérique plongée dans la terreur quotidienne, terrifiée à l’idée de se salir et de se mêler. Car le film narre un long et puissant métissage existentiel au terme duquel notre protagoniste principal aura effectué un travail sur soi au gré des rencontres et des pertes ; l’enfant adopté deviendra son unique héritier, son fils symbolique par conséquent, la fille enlevée retrouvera une place par l’amour qu’elle suscite dans son cœur. Et ce qu’il y a de fort, de très fort, c’est d’assister au récit d’apprentissage d’un homme à qui on apprend apparemment plus rien, à celui qui commande et a de la bouteille, plongé dans un décor immuable, grandiose autant que gorgé de mort, comme rappel constant de la petitesse des hommes ; seul demeurera le courage d’un être qui a ouvert son cœur et tendu la main, seule restera la légende d’un chercheur – d’où le titre original, The Searchers – qui trouve dans le western son absolu, John Wayne.
    Hotinhere
    Hotinhere

    458 abonnés 4 805 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2018
    John Ford réalise un western virtuose, impressionnant par sa beauté visuelle accentuée par le Technicolor, et sa puissance dramatique dans laquelle excelle un John Wayne déterminé à venger sa famille et retrouver sa nièce kidnappée par les indiens. La quintessence du western.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    4 étoiles - La Prisonnière du désert

    Des images superbes, une scénographie très bien maîtrisée et un scénario conçu avec beaucoup d'intelligence. John Ford montre avec talent son sens de la litote ; il a su aussi donner à tous ses personnages une psychologie riche de sens ; enfin, si il y a dans ce film la plupart des stéréotypes traditionnels du western d'aventure, il y a surtout une réflexion subtile sur cette humanité de l'ouest, qui se cherche, qui se retrouve dans l'horreur ou dans une commune vision de la dignité. Bref, un grand film.
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