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    La Prisonnière du désert
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    4,0
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    189 critiques spectateurs

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    Nicolas S
    Nicolas S

    40 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2018
    Le film surprend tant par son constant mélange des genres que par son attachement à un héros assez peu recommandable. Si 60 ans plus tard il semble difficile d'acquiescer à la représentation qui est donnée des Indiens, on peut néanmoins noter l'effort de Ford de poser un regard bienveillant sur tous ses personnages. Ce que l'on retient surtout, cependant, ce sont ces superbes paysages et cette scène finale aussi réjouissante que déchirante.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    La Prisonnière du désert étant réputé comme l’un des meilleurs westerns, c'était un bon moyen de voir si j’étais devenu plus réceptif aux histoires de cow-boys et d’indiens. Visiblement non. J’ai aimé le début, les extérieurs tournés en studio, le côté artificiel et mélancolique. Le reste m’a ennuyé, que ce soit l’humour vaudevillesque, certains acteurs qui surjouent, les scènes d’action répétitives ou le scénario, que j’ai trouvé un peu long et bizarrement construit (même s’il y a plusieurs choix narratifs qui ont une certaine modernité, comme les ellipses ou la lettre qui ouvre sur un flashback).
    Olivier M
    Olivier M

    2 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2018
    Le désert est splendide,les scènes d'attaques d'indiens sont parfaites,la musique est bien mis à part ça je préfère Les Dalton le film sortit en 2003.
    Frédéric P
    Frédéric P

    15 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 août 2018
    Les magnifiques images de la Monument Valley servent de toile de fond à ce western où John Wayne campe un cowboy aux préjugés anti-Indiens. Il rejette sa nièce élevée souillée par son enlèvement par une tribu et ne reconnaît pas comme de sa famille un cousin à l'arrière-grand parent indien. Au fil du film il finit par adoucir ses préjugés.
    babidi
    babidi

    4 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2018
    un western de john Ford avec john Wayne

    la base est deja tres solide et en plus une heroine ( nathalie Wood ) qui reste parfaite dans son role

    un scenario classique mais sobre et elegant

    des decors exterieurs filmes de mains de maitres ( comme d habitude

    en bref un western a voir ou a revoir avec grand plaisir
    Serge K
    Serge K

    11 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 décembre 2017
    Très mauvais western, signé J.Ford, mauvais scénario, je me demande même si il y en a un! quelques scénettes incohérentes qu'on aurait voulu coller pour en faire un mauvais film, des longueurs à n'en plus finir, Natalie Wood est inexistante elle joue en tout et pour tout 2 minutes et 14 secondes!! alors qu'elle figure en 2 eme position au générique , juste après J.Wayne. je me suis ennuyé durant ce long métrage qui est pour moi, le plus mauvais western que j'ai vu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 novembre 2017
    Si il y a bien un western à voir absolument c'est La Prisonnière du désert, un film remarquable apprécié pour la performance des acteurs mais aussi pour ses étendues sauvages et paysages absolument fabuleux.

    L'histoire de cette famille massacrée et dont les deux fillettes ont été enlevées par leurs ravisseurs donne du travail à nos deux compères Ethan (John Wayne) et Martin (Jeffrey Hunter) qui se lance à leur poursuite dans une aventure pas sans risque, mouvementée mais aussi très humaniste à travers différents paysages spoiler: désert aride et étendue enneigé que l'on découvre
    et dont on tombe vite sous le charme de cette beauté naturelle.

    On suit donc l'épopée de notre duo très performant avec un John Wayne remarquable à nouveau et sublime dans une mise en scène du réalisateur Ford fabuleuse avec ces plans et photographies maitrisés et ces belles scènes de batailles, d'actions que le réalisateur incorpore au film par moment sans trop nous dégoutés, nous encombrés spoiler: comme celle avec les indiens voulant traverser cette rivièr
    e

    Un film auquel on prend plaisir à visionner, auquel on n'est submergé rapidement avec les thèmes historique, raciste et rédemption qui y sont abordés et auquel le spectateur ressent de l'émotion, de l'amour mais aussi de la colère le tout avec ce côté humoristique spoiler: notamment les combats de ces deux hommes pour une même femme, si drôle

    J'ajouterais la séquence finale absolument touchante spoiler: avec les retrouvailles de cette jeune fille qui retourne aux sources
    mais aussi d'Ethan (John Wayne) spoiler: filmée de dos allant vers ces terres désertiques filmé de l'intérieur
    et marquant le dénouement finale, une scène inoubliable qui conclut cette histoire tragique

    Un film à voir absolument pour son côté humaniste, ces paysages et pour la performance remarquables de ces acteurs
     Kurosawa
    Kurosawa

    530 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2017
    Film d'une force inouïe, "La Prisonnière du désert" puise son émotion dans un désenchantement constant, toutefois contrebalancé par un humour salvateur, présent même quand la résolution d'un enjeu dramatique de taille est proche. Ce qui permet à Ford de sauvegarder une tonalité légère, c'est le choix de moins axer le récit sur un suspense que sur l'étude de deux trajectoires à travers le temps. Le voyage d'Ethan et de Martin comporte l'objectif de retrouver la jeune Debbie Edwards mais il est aussi et surtout traversé par les doutes de deux hommes. Quand Ethan semble de plus en pessimiste dans la quête de retrouver Debbie et rongé par l'appréhension de la mort, Martin risque d'être éloigné à jamais de la femme qu'il aime, se vouant à un but qui n'a peut-être plus de sens. La mélancolie poignante du film tient donc à la conscience d'un temps qui échappe et au pouvoir de jouissance des parenthèses joyeuses – la scène du mariage est d'une drôlerie implacable –, des sentiments contrastés unis dans une dernière séquence à la fois heureuse et déchirante, qui mêle en un seul plan l'union et la solitude, le soulagement présent et l'angoisse crépusculaire future. Sommet du cinéma classique doté de plans ravageurs – la découverte de la ferme brûlée par Martin – "La Prisonnière du désert" est un voyage physique tout près de virer à l'absurde et un parcours mental gagné par la désillusion.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    252 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2017
    L'exemple même du western classique américain, signé John Ford. "La prisonnière du désert" est une des références du genre, puisqu'il réunit l'un des maîtres du genre western à la réalisation, et l'acteur qui en incarne la quintessence en la personne de John Wayne. L'histoire suit la recherche d'une femme enlevée par les indiens, donnant l'occasion à Ford de montrer les magnifiques paysages de l'ouest américain. Un peu trop classique à mon goût, surtout dans les dialogues, mais ça se suit sans déplaisir.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    70 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Il existe de rares films qui sans q'on l'explique s'impose au bout de quelques minutes de visionnage comme de véritables chef d'oeuvre. Je ne suis ni un grand fan de western, ni un grand admirateur de John Ford ou de John Wayne mais je n'ai pas pu me débarrasser de l'impression d’assister à un grand film en voyant "La prisonnière du désert". Loin des westerns manichéens dont le cinéma américain regorge, "La prisonnière du désert" est un film d'un grande finesse que ça soit dans l'écriture de l'intrigue que dans l'écriture des personnages. John Wayne campe un anti-héros magnifique, plongé dans un univers dans John Ford parvient à faire ressortir toute la complexité. A aucun moment le film semble prendre parti et reste dans une constante zone d'ombre qui ait ressortir toutes les nuances de la situation. La mise en scène n'est pas en reste bien au contraire tant l'habileté de John Ford avec une caméra est flagrante. Le réalisateur américain parvient à composer de plans qui s'impriment dans la rétine du spectateur et font ressortir un lyrisme poignant. Au-delà le film est bien rythmé, l'histoire est vraiment prenante ce qui permet au spectateur d’être captivé du début à la fin. Il est rare de voir un film aussi complet et aussi fin que "La prisonnière du désert" que je place sans hésiter au panthéon des plus grands films jamais réalisés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 septembre 2017
    James Stewart pour « Winchester 73 » et « La flèche brisée », Kirk Douglas dans « L’homme qui n’a pas d’étoile », John Wayne dans « La prisonnière du désert », que du beau monde. Et surtout, des gueules du cinéma westernien comme je les aime. Des gueules délavées par la sécheresse et le ‘vent de la plaine’. N’est-ce pas Monsieur Huston ?
    Dans tous les cas, deux John pour le prix d’un, ça, ça vaut tous les shérifs. Qui maintiennent l’ordre, surtout. Et heureusement ! Car en signant et soignant « La prisonnière du désert » tel un vautour dévore sa proie, John Ford lisse et livre un énième western, sans précédent !, qui n’a aucun égal. Nous sommes bien entendu en présence d’un chef d’œuvre et du meilleur western classique (fordien) de tous les temps. John le réalisateur a décoché SA flèche pour atteindre sa cible : notre cœur. Je ne peux qu’approuver. Pour le considérer comme tel, et en savoir plus, lire analyses et critiques à ce sujet.
    Scénario : la maison familiale et le ranch des Edwards sont attaqués et décimés par les Comanches. Instantanément, Ethan part à la poursuite de sa nièce, enlevée par les indiens.
    Scénariste : Frank S. Nugent, auteur du « Massacre de Fort Apache », de « L’homme tranquille », des « Deux cavaliers », … . Vous l’aurez compris, le premier cador que je cite a très bien écrit l’histoire que John Ford voulait mettre en scène. Et John Ford, par sa maîtrise technique, artistique (pourquoi ne pas mentionner l’ouverture et la fermeture de l’histoire qui reflète un drame filmé à la hauteur des personnages, comme au théâtre ? Ca y est, la chose est dite !) et photo-paysagénique arrive à garder un rythme constant et fluide durant toute la durée totale du film. Total respect, Monsieur Ford. Et puisqu’il nous est permis d’en savoir plus sur tous les personnages qui tournent autour d’Ethan le frère vengeur (les seconds rôles sont nombreux), Monsieur le réalisateur appose sa marque de fabrique, tout en restant fidèle à ses idéaux, les paysages filmés en extérieur (sublimissible Monument Valley !!), les chevauchées sous le soleil du Texas, et moments plus intimes. Tout comme la musique de Max Steiner qui nous propose des envolées moriconiennes, lyriques à souhait. Max dégaine sa musique comme Wayne impose son charisme. Merci !!, Monsieur Steiner. Le compositeur de "Gone with the wind" et "Casablanca", c'est lui !!
    Ce n’est pas un réalisateur mais un maître du western qui nous a concocté une virée avec lui, dans son univers qui nous est finalement facile d’accès. Le metteur en scène de « Stagecoach » s’est emparé des meilleurs à tous les niveaux techniques (monteurs, compositeur, décorateurs, acteurs…) pour nous livrer son western classique le plus abouti de tous les temps. Dans son aboutissement, j’ai trouvé le final un poil longuet. Mais il le fallait. Avant que Ford ne referme son tableau de maître comme au théâtre. Et de faire d’Ethan (John Wayne), son anti-héros, comme Hawks l’avait fait dans « La rivière rouge », je trouve. Une mise en scène fluide, qui donne l’ambiance et qui nous permet de rentrer dans le film le plus aisément possible. Merci Monsieur le réalisateur.
    Tourné en Vistavision, « La prisonnière du désert », dédicacé à l’ami de toujours de John Wayne (Harry Carey Sr) est la seizième des vingt-quatre collaborations de John Ford avec John Wayne. On peut compter « Le massacre de Fort Apache », « Rio Grande », « Hatari »… . Harry Carey Jr, fils de, tournera ainsi nombre de films avec John Wayne parmi lesquels « Le fils du désert » et « La charge héroïque ».
    Au casting, donc, John Wayne, Harry Carey Jr, les deux sœurs Wood (Lana et Nathalie), Ward Bond, Vera Miles et Jeffrey Hunter (qui peine à s’imposer).
    Au final, « The searchers » (1956), western de légende produit par l’un des deux réalisateurs de « King Kong » (Merian C. Cooper), reste et restera ce film mythique pour l’aura et la classe indéniable du maître du western John Ford. Chef d’œuvre ultime et absolu du genre.
    Spectateurs, rechargez vos fusils délicatement et prenez le temps d’écouter le bruit de votre chien. Ce soir, la précision est de mise : boum !
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    19 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2017
    Un film fabuleux qui va au dela du Western ! Une traque enivrante tendue vers un seul but, sur une durée qui parait presque infinie. On ne sait pas vraiment après quoi court John Wayne le raciste. Les moments de comédie sont du pur John Ford, qui parachèvent ce joyau !.
    L'instant ou Nathalie Wood apparait après des années est littéralement sidérant ! une image de fin d'anthologie !
    Newstrum
    Newstrum

    34 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2017
    Grand classique aux images magnifiques. Ford raconte l'histoire d'un errant rendu malheureux par l'amour impossible qu'il porte à sa belle-soeur et qui recherche pendant des années sa nièce enlevée par des Comanches. Les images de début et de fin sont parmi les plus belles de l'histoire du cinéma. Voir mon analyse du film sur mon site :
    Wagnar
    Wagnar

    69 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2017
    N'ayons pas peur des superlatifs : la Prisonnière du désert est incontestablement l'un des plus beaux, l'un des plus grands westerns de tout les temps. La réalisation de John Ford est flamboyante, John Wayne dans l'un de ses meilleurs rôles, le reste du casting s'en sort à merveille et le scénario est splendide. Bref, un chef-d'oeuvre intemporel que tout fan de western digne de ce nom se doit de visionner obligatoirement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Chouette histoire au demeurant qui exploite avec à-propos ce qui est sans doute arrivé réellement plus d'une fois : une Blanche enlevée et élevée par une tribu d'Amérindiens... Alors quand ce vieux facho de John Wayne décide de se mettre sur l'affaire, on se dit que ça va voler très bas.

    Pensez donc, son personnage est un militaire coincé du derche, le petit doigt sur la couture et aigri, qui plus est. Il est violent, très autoritaire, paternaliste et même raciste envers les "peaux-rouges" à ce qu'il paraît. Le jeune imbécile qui le suit a beau être un crétin, il ne le suit pas jusqu'au bout, pas tout-à-fait en tout cas et c'est là l'un des rares, très rares moments intéressants du film qui abat alors ses justifications pro-raciales et son nettoyage ethnique en filigrane.

    Notons qu'on est pas du tout dans un Little Big Man (excès inverse sans doute) mais tout de même, il s'agit d'un point de vue digne d'intérêt, aussi caricaturalement représenté par le grand John Wayne, le cow-boy de toute une nation. Et puis quoi, la "morale' est sauve, au moins pour les gentils cow-boys.

    Naturellement il faut supporter Monsieur Wayne, non pas Bruce mais John (son grand-père ?) et cela est difficilement supportable. D'un autre côté, on a un petit vent de fraîcheur avec la jolie Natalie Wood mais franchement c'est anecdotique.

    Le pire finalement n'est pas John Wayne peut-être... le pire est John Wayne dans un film de John Ford et là l'ennui compte triple comme au Scrabble : ça se multiplie, ça s'additionne et ça se démultiplie. Le film, t'as juste l'impression qu'ils sont tous des marionnettes avec la clé dans le dos qu'on a oubliée de remonter.

    Et ce film, t'as aussi l'impression qu'il dure deux ans. T'es planté comme un piquet depuis deux ans devant ta télé. "Alors, ils l'ont trouvée la fille ? -je sais pas, je suis coincé dans un dialogue particulièrement assommant. Je veux soortiiiir !!"

    T'as l'impression d'être tombé dans le coma avec John Wayne. Et des canassons qui courent. Qu'est-ce qu'ils courent ces canassons ! Et le soir au coin du feu, on les bouffe en lasagnes.
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