Derniers Avis : Une grande année - Page 10

Un film d'une grande sensibilité dont le seul défaut est sans doute de manquer de rythme !

C'est un très joli film mais sans aucune action.Marion Cotillard joue comme a son habitude très bien (Ainsi que Russel Crowe). Mais c'est un film moyen qui ne laisse pas forcément une empreinte, on oublie vite un film comme celui-là!

C'est pas mal, surtout pour les décors. Mais ca parait un peu fade dans la filmographie de Ridley Scott.

J'aipris ce film dans la dvdthèque de mes parents et ne m'attendais pas du tout a ça (et oui j'avaislu les critique et donc je m'atetndais un film médiocre)!
Premièrement si vous ne l'avez pas vu en Vo il faut que vousle fassiez très vite : entendre Russel Crowe parler francias est vraiment sympathique ^^
J'ai trouvé ce film plein de fraicheur, avec des paysages vraiment beaux .
J'ai vraiment aussi aimé l'humour présent dans le film film, ce n'est pas un film comique mais il y a des détails qui m'ont fait mourir de rire...
Bref je le conseille a tous ceux qui ont envie de passer un bon moment :)

Charmant ce petit film, je ne m'attendais pas à ça...
je ne suis pas fan de Russel Crowe, mais là, j'ai été séduite... un rôle qui change de d'habitude, de même que pour le réalisateur... Et bien sûr, magnifique Marion Cotillard, avec un rôle qui lui colle à la peau et qui lui va à merveille... elle est vraiment très jolie, chaque réplique sonne tellement bien dans sa bouche... très belle interprétation...
J'ai bien aimé, c'est frais, simple, gai, on aimerait que ça dure plus longtemps !

Un bon petit film avec un Russel Crowe à contre emploi de ses biceps. Le soleil et le vin de Provence apportent le petit plus qui me vont au coeur. Un bon petit moment et un bon moyen de se féliciter d'avoir son coin de sud avant que les anglais n'aient tout acheté!

Ridley Scott signe avec ce film, l'une de ses oeuvres les plus dispensable. Passons sur les nombreux clichés qui alourdissent un peu plus "une grande année", pour ne retenir qu'une chose : Mr Scott n'est vraiment pas a l'aise avec la comedie (Russell Crowe non plus, d'ailleurs...). Les gags tombent a l'eau, sont surjoués, et surtout ne font pas rire. La fin du film est un peu plus réussie quand le realisateur se pose un peu, et permet a son scenario d'avancer un peu en le depossedant de drolerie et clichés navrants.

Max Skinner riche banquier anglais cynique et égocentrique (Russel Crow)apprend que son oncle est décédé et hérite de son vignoble en Provence. Là- bas il découvrira le bonheur et l'amour. Ridley Scott a du mal à rendre son film passionnant avec trop de clichés et un grand manque de rythme. La comédie ne marche pas et Russel Crow joue l'homme qui voulait être drôle(pathétique) heureusement que Marion Cotillard sauve les dernières 15 min.

Juste misérable... La réalisation, les clichés sur les français, le scenario... Tout est lamentable.

Dans la série nos amis les insulaires angliches civilisés sauvent le tiers monde...
N'oubliez pas que Dieu lui-même est Anglais avant d'être Dieu. De toutes façons quand on est plus blanc blanc on est transparent...comme ce navet!!!

Ni un grand millésime ni de la piquette, juste un bon cru !
"Une grande année"... mais pas tant que ça, au vu de la filmographie foisonnante du très grand Ridley Scott, dont les points d'orgue sont "Alien", "Blade Runner", "Thelma et Louise" ou "Gladiator". C'est plutôt celle de Max Skinner (Russell Crowe) qui va trouver son double, en la frenchy Fanny Chenal (Marion Cotillard). Orphelin, le jeune Max (Freddie Highmore, le "Charlie" de Tim Burton ou encore le "Arthur" de Luc Besson) passe ses vacances annuelles dans le Vaucluse, dans la propriété viticole de son tonton Henry (Albert "Tom Jones" Finney). Des années boursières plus tard, il se retrouve à la tête d'un empire financier astronomique... en millions d'euro. Jusqu'au jour où il apprend qu'il hérite du bien de son oncle. Moins préoccupé par les vendanges que par les cours de la bourse, du moins c'est ce qu'il croit, sa vie va prendre une tournure pour le moins surprenante... Si le scénario n'apporte rien de nouveau sous le soleil de la Provence, les images (Ridley Scott oblige !) sont superbes. Ridley Scott embellit la pellicule en passant du Londres, aseptisé et terne, au Sud de la France, chaleureux et coloré. Quant à Russell Crowe, froid et calculateur à la City, il devient ardent et loufoque dans le pays de Jacques Tati... Beaucoup d'émotions (ses souvenirs d'enfance), d'humour (le trajet en "Smart" à la recherche de sa nouvelle demeure, la partie de tennis contre le vigneron Didier Bourdon,...)... et d'amour (après le fameux "french kiss" partagé avec la "môme" Marion Cotillard...). Boum quand notre coeur fait boum. Tout avec lui dit boum. Et c'est l'amour qui s'éveille...

Avec une distribution pareille, Ridley Scott aurait du nous sortir le millesime du siecle. Là, à force de clichés sur la Provence, terre de noble culture (même les noms des personnages sont une caricature à ma Provence natale!!), opposé à celle où le fric se fait vite à la City londonienne, on regarde un petit Côte du Rhône, voire un vin de table tout à fait insipide.
C'est dommage. Je retiens la photo, toujours superbe chez Scott, et un gout pour les belles personnes correctement filmées. C'est peu, oui, c'est vrai. Mais on ne rigole pas beaucoup aux tentatives comiques de Russell Crowe (pas vraiment connu d'ailleurs pour son côté rigolo...) et on se contente de la belle plastique de Mlle Cotillard. C'est beau, mais c'est tout. "Un peu court, jeune homme, on aurait pu en faire bien des choses, en somme" pour paraphraser une tirade célèbre...

On peut dire que le film est bien, si on lui ôte le coté on ne peut plus caricatural de la france vu par le réalisateur...franchement, j'ai eu l'impression de regarder un film des années 50...Dommage.

une comedie assez bien menée mais Ridley Scott es quand meme en roue libre et laisse les comediens faire en revanche on retouve quand meme cette amour qu'il porte au sud de la France et aux vignes et on s'y croirais presque.

Si nous, Français, nous résumons à boire du vin, manger des croissants, ne rouler qu’à vélo, écouter Alizée et supporter l’OM, et bien c’est triste Ridley… Misérable !