Derniers Avis : Transformers - Page 6

Wahou !!! On s'en prend plein les yeux très beaux effets spéciaux l'action est au top aussi vraiment bien

D'incroyable il n'y a que les effets spéciaux, le reste Michael Bay le traîne comme un boulet durant 2 longues heures.

Transformers étant l'oeuvre d'un réalisateur au style décadent, impérialiste, propagandiste et profondément clipesque, il était tout naturel d'y déceler ces mêmes effets et détails profondément gerbants. Reflet de la société américaine de ce début de 21ème siècle, il a tout du grand film historique : culte pour toute une génération, il posait les bases, en 2007, de ce qui serait le divertissement d'action ultra-spectaculaire moderne, bourrin, stupide, croulant encore plus derrière l'humour que des effets spéciaux envahissants.

Drôle de film proche d'un produit de consommation immense, Transformers commence sur un très beau travail de son, pour partir directement dans l'énonciation des clichés les plus gras de la culture américaine : courage des soldats, amour de la femme, de la patrie exacerbé, discours sur ce que l'on fera après la guerre, comme pour signifier qu'il va se passer une catastrophe, plans héroïques, icônisation du soldat, pub gigantesque pour la marine américaine sur fond de soleil couchant des mauvais western hollywoodiens classiques, tout est tellement gros, évident qu'on pourrait penser, tant c'est un délire beauf, que Transformers n'est qu'un troll d'un réalisateur proche de l'auteur.

Un film si beauf qu'en plus de sexualiser Megan Fox (c'est sûr que Bay a du talent pour mettre la femme en valeur de bout de viande), et de multiplier les sous-entendus pendant qu'elle répare la voiture de son futur compagnon (le fantasme de la femme mécanicienne ramené plusieurs fois dans le film, un bonheur nanardesque), il ne lui donne qu'un mince rôle, celui de la bimbo qu'on pensait idiote mais qui devient plus intéressante quand on sait qu'elle s'occupe gratuitement des courroies d'échappement.

Shia LaBeouf serait donc comme tout adolescent qui a ses chances avec une femme populaire : ébloui par les artifices, il en oublie le caractère originel de sa donzelle qui, désireuse de repentir, tente de nous faire croire qu'elle n'aimait pas traîner avec les hommes populaires de son âge. S'y ajoute une critique sociale terrible, où Megan Fox devient le pont entre deux mondes : séparée de son bel aryen fils de bourgeois, voilà qu'elle se met avec un modeste étudiant pas même aidé par son nom (sujet de multiples blagues sauvées par le surjeu fantastique de John Turturro).

A Michael Bay de mettre en image ce personnage de frontière sociale, fille populaire issue d'un milieu modeste presque forcée, à l'entendre, de traîner avec ces tristes richards. Et Shia LaBeouf de compléter la bêtise de l'analyse par l'humour que son personnage impose à la franchise, majoritairement salvateur; outre le fait que Transformers soit un film extrêmement référencé (au point de faire de l'auto-branlette avec Armageddon), il prend souvent au dépourvu par le burlesque de son humour, que Turturro, déchaîné comme un Kong dans un studio Hollywoodien, surjoue avec joie.

Un film si référencé qu'il calque l'introduction de Bumblebee sur une version beauf et légère du Christine de Carpenter, le talent et la finesse en moins (cela va de soi), tandis qu'il multiplie les hommages à la culture pop (citer Freddy Krueger et Wolverine en deux secondes était un tour de force). Désireux de titiller les "connaissances" cinématographiques de son spectateur, Michael Bay se complet dans son name-dropping (de noms d'artistes et de citations de films) au point de partir dans un film d'action mué en publicité pour voiture.

La mythique scène de la Camaro dans le tunnel l'est pour les mauvaises raisons : n'ayant plus rien d'un film, elle prend des allures de vente de voiture, tant au niveau de l'éclairage que de la mise en scène. C'est ainsi le principal défaut, à mon sens, de Transformers : comment l'apprécier en tant que film si son but premier n'est pas d'être un film? C'est plutôt compliqué. Surtout quand on s'intéresse au travail de Bay.

Clipesque, épileptique dans son montage, bordélique à souhait, bourré de lens flare reprenant sans vergogne Spielberg, la seule véritable proposition de mise en scène correspond à la manière de filmer l'action, à échelle d'homme, également gâchée par ses limites : les CGI manquant de précision durant les combats, Autobots et Decepticons ne sont jamais filmés avec assez de détails, de pose pour, sinon les iconiser, qu'on comprenne au moins ce qu'il se passe à l'écran, et qu'on mesure un centième de leur taille et de leur puissance.

Plus proche de l'homme que de ses véritables points d'originalité, Michael Bay fait de ses personnages humains ses personnages principaux, quand on voulait voir les Transformers en héros. Raconter l'histoire de leur planète ne suffisant pas à les approfondir, le film passe à côté de son concept et nous livre une nouvelle invasion d'alien certes dynamique et très spectaculaire, explosive et détente, mais clipesque, complètement idiote, maladroite, stéréotypée (filmer huit fois des pilotes décoller d'un porte-avion sur fond du même soleil couchant), porteuse d'une morale naïve que Disney n'aurait pas refusé (l'acceptation de l'autre par l'intérêt qu'on lui porte, exprimé avec des mots affligeants : "On a perdu un ami pour en gagner d'autres"), en somme, abrutissante.

Et même si c'est un plaisir coupable, il faut reconnaître que c'est plutôt mauvais. Mais d'un côté, n'est-ce pas parce qu'il est mauvais que je l'apprécie tant? Plus qu'un film ultra spectaculaire, Transformers est l'un des nanars indispensables de sa génération.

Merci Michael Bay.

lourdingue, poussif, fouilli, tonitruant, télécommandé, longuet, parfois marrant, surfant sur des gros clichés, mêlant malhabilement action et comédie et finalement tellement américain �

1er volet d’une énorme saga de la fin des années 2000, je me souviendrais toujours le jour ou j’en ai découverts la bande-annonce et grâce à mon père qui tombé par hasard dessus me l’aura montré. Ça aura été pour moi une révélation, je sais car légèrement exagérer comme discours mais bon venons en aux faits. spoiler: Pour commencer, ce film démarre parfaitement bien avec le tous premier discours d’Optimus, s’en suivit d’une magnifique prise de vue sur ce saura le All Spark, un design assez énorme pour 2007, ou le digital fut loin de celui de 2017.
La musique accompagnante fut juste grandiose spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film.
Ensuite, la base avec les militaires spoiler: ne fut pas suffisamment montrée au niveau des bâtiments et des véhicules, c'est bien dommage pour un début qui fut magique
.

Mais rattrapage avec la première grande scène d’action culte, avec Blackout en premier Décepticon de la saga à apparaître. spoiler: Je me souviendrais toujours par la suite de la première scène comique au lycée de Sam, entre lui-même, son prof, et ses camarades. Surtout la phrase culte : « Vous avez tentez, de refourguer le fourbi de votre pépé !!! …. »,
une phrase qui m’à très longtemps bien fait marrer tellement est fut bien placée et bien dite. Je me suis aussi rendu compte, que la V.O. est tous simplement pourrie. L’anglais qui est la langue d’origine du film n’est mais absolument pas bonne dans l’interprétation. Un grand écart bien radical entre la version française et la version d’origine.

Ensuite, première scène culte entre Sam et Mickaela. Mickaela ou devrais-je dire Mégane… Sex symbole de toute une génération au physique ponctué d’un visage parfait. Une vrai beauté avant sa transformation visuelle avec du boxe bien des années plus tard. Quel gâchis. Donc, cette scène culte spoiler: dans la Camaro version 60/70 est une petite perle mêlant parfaitement le comique à la parfaite situation adolescente de l'instant.
Autre scène culte, spoiler: la prise de vue sur cette dernière lorsque notre seconde héroïne examine l’intérieur du capot. La prise ne fut pas raté et respectueuse du mental d'un ado.
Bien avant pour une autre scène culte, spoiler: là ou Sam montre l’intérieur de sa voiture.


Pour être franc, j’ai mis quelques mois et années avant de la comprendre… spoiler: Mais là ou je voulais en venir, c’est que cette scène est mal faite en arrière plan car on voit clairement le fond blanc du studio ou ils tournent.
. Je me dis officiellement que la v.f. est 4 fois mieux que la v.o. car cette dernière est très mauvaise interprétation, mauvaise réaction verbale, très pourrie. spoiler: Puis la scène entre Scorponok et les soldats américains avec prises de vue très bonnes sur l’armée de l’air plus très bonne incursion dans cette dernière.
Cette scène montrera qu’ils n’utilisaient à l’époque et fort heureusement pas d’explosifs pyrotechnique mais de vrai explosions lors du tournage. spoiler: Le quotidien de Sam en tant qu’ado fut très bien montrer, sa chambre (très gros ...), très bien mis en scène.


Plus j’avance dans les scènes, et plus je me dis que le scénario mais dans le sens histoire fut bien mieux fait que ses grands frères. Puis, moment fatidique. L’arrivée des Autobots. Musique culte « Arrival to earth » ponctuée de prises de vue saisissantes. Puis, la toute première transformation d’Optimus, Bumblebe, Ironhide, Rachet et Jazz, tous les principaux soldats de la franchise animée réunis au même endroit. spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 0
Puis autre grands moments avec spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 1


Puis on apprend que spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 2
Et premier fait historique de la franchisse, spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 3
Petite anecdote, spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 4
Sur cette même scène, on entend parfaitement pour la 2ème fois après celle de Blackout, le petit effet sonore caractéristique des dessins animés Transformers des années 80. Un vrai bel hommage. Scène culte encore, celle de l'autoroute entre Prime et Bonecrusher mais cette dernière fut un peu courte, dommage. Son visuel tout comme le reste n’à pris de ride bien loin de là.

Enfin, les scènes à Mission City, ou plutôt Los Angeles sont franchement bonnes. Le visuel, l’audio et prises de vues furent géniales. Je vais pas non plus tous détailler mais cette séquence était franchement bien, spoiler: et la formation du titre, très respectueuse de l’univers du film. 5
Pour finir, cette grande relation humains/robots géants est forte lors des remerciements de Prime. Et Bee retrouvant sa voix d’origine est cool aussi. Puis, et c’est réellement la fin, le premier message de Prime aux Autobots de l’espace, culte tous simplement. Ce premier volet fut réellement une toute première grande réussite. Une vrai révélation cinéma pour moi.

Surenchère d'effets spéciaux, patriotisme américain à outrance, américanocentrisme, humour au rabais, avalanche de clichés. Et dire qu'ils ont fait quatre suites à ce navet.

Le premier film d'une franchise où l'action et les effets spéciaux sont supérieurs au scénario. Un des meilleurs, il garde une différence avec certain des autres épisodes oubliables. Un film un peu pour ados ! Bon film à tous.

un film de qualité, certe pas très intelligent mais personne n'est aller le voir pour ça, c'est avec grand plaisir que j'ai découvert ce film et que je l'ai adoré, de plus les effets spéciaux et surtout les incrustations font parties des meilleurs que j'ai vu de toute ma vie, et la bande son de Steve Jablonsky est un chef d'oeuvre, merci à Bay,Spielberg, Jablonsky et aux monteurs, acteurs et a toute les autres personnes qui ont travaillé pour ce film

Transformers c'est du Michael Bay pur jus : une caricature du gros blockbuster américain bête et pas méchant, explosif, spectaculaire et bourrin : le geek fade qui va se taper la bombe du lycée, les explosions en cascade, une débauche d'effets spéciaux, la musique épique à souhait, ça défouraille de partout, les gros militaires écervelés, les dialogues enfantins et ridicules ("C'est une criminelle...une criminelle sexy" ou encore "Peu importe ce qu'il va se passer, je me félicite d'être montée dans ta voiture" CQFD), l'histoire capillotractée, les méchants contre les gentils, les méchants qui gagnent au début puis finissent par perdre après une âpre bataille. C'est tellement long à n'en plus finir (2h30) qu'on finit par légèrement décrocher.
C'est pas mauvais en soi, cela se regarde, sans plus, avec un certain plaisir. Les acteurs sont au niveau du film : ça va.
Le visuel et notamment les scènes de combat où les robots mouvent et se transforment tout en canardant est assez fou et pleinement réussi. C'est le point fort de la franchise !

4 etoiles parce que au moment de sa sortie je n'avais pas le meme age et un film sur les transformers c'etait le top. Apres plus de recul c'est sure que ca parait tres juvenil mais le divertissement et les effets speciaux sont la. Et puis j'adore Shia LaBeoeuf.

De la science-fiction théâtrale de confettis pour le plus brillant des effets spéciaux, l’intrigue du commencement de la saga ne se prend pas la tête, le couple Shia LaBeouf/Megan Fox représente le sex appeal non du symbolise de la performance d’acteurs, rien que pour leurs présences méritent une reconnaissance, l’actrice quittera les plateaux au bout du troisième épisode et son partenaire la suivante pour des divergences avec le réalisateur. Son scénario peu développé se résume à attirer par de belles caisses au parfum d’eucalyptus, les mouches volantes, le ton était donné avec ce début mystifiant, le cube céleste de l’univers infini. La machinerie contorsionniste infernal et la séquence du désert où apparaissent des robots vertébrés, des inspirations qui ne sont pas seul détenteur de l’originalité, comme un air de déjà-vu emprunté aux B-movies de la fin du millénaire et la bénédiction du coproducteur Steven Spielberg, un générique de fin qui rend nostalgique dédié à titre posthume au regretté chanteur.

Sans aucun doute le meilleur film de la franchise, un vrai chef d'oeuvre de par bien des aspects : Sur une planète lointaine de la Terre, deux races de robots extraterrestres se livrent une guerre sans merci : les Autobots et les Decepticons. Ceux-ci débarquent un jour sur Terre. Sam Witwicky, jeune adolescent, est mêlé à cette guerre lorsqu'il découvre que sa voiture est un Autobot. Mais alors que les Autobots deviennent réels aux yeux du monde entier, les Decepticons sont sur le point de reveiller leur chef, Megatron. Les humains se retrouvent alors mêlés à cette guerre malgré eux, avec comme enjeux leur survie...
De l'excellent travail sur bien des points : les acteurs sont très bons, les effets spéciaux bluffants, la BO mémorable et le scénario très intéressant. Bref, un excellent divertissement !

Ce film réalisé par Michael Bay, sorti en 2007 et qui est adapté de la série animée homonyme n'est vraiment pas mal. C'est en gros l'histoire de deux races de robots extraterrestres : les Autobots et les Decepticons et les Autobots doivent empêcher les Decepticons de prendre le contrôle de la Terre grâce à un cube qui se trouve sur cette dernière. Bon, je ne connais pas du tout l'univers Transformers à part ce film et je ne peut donc pas en comparer la fidélité par rapport aux dessin-animés mais nous avons en tout cas ici un scénario très simpliste. C'est connu, le réalisateur ne fait pas des films aux scénarios très recherchés donc ça ne dérange au final pas plus car lorsque l'on va voir un film comme celui-ci, on s'attend à du pur divertissement et de ce côté-là, le film est réussi. La trame est très clichée, déjà de par le personnage principal qui est au début du film un mec raté mais qui devient héros malgré lui spoiler: et finit par sauver la race humaine
et puis on connait la fin par cœur. Dans les clichés agaçants, nous avons aussi, entre autre, la scène lorsque Mikaela soulève le capot de la voiture qui est très sexualisé avec des blagues graveleuses par dessus. Malgré tout, si on réussi à faire abstraction à ces éléments, on réussi à apprécier le film car il est très divertissant et les scènes d'action sont très réussies, de même que pour les effets spéciaux. Il suffit en fait d'apprécier les explosions, les voitures et les robots et le tour est joué, ça ne va pas spécialement chercher plus loin. La bataille finale est quant à elle un peu longue et sonne trop "eh regardez, spoiler: on détruit la ville
!" mais sinon, on ne s'ennuie pas. le film possède également quelques petites touches d'humour assez sympa, notamment lorsque tous les Autobots sont dans le jardin de Sam qui est très bonne. Je ne sais pas si c'est le cas de la V.O. mais la V.F. insiste trop sur les voix graves des robots notamment celles de Optimus Prime et de Mégatron qui en deviennent au bout d'un moment presque ridicules tellement elles sont forcées. Pour ce qui est des acteurs, nous avons principalement Shia LaBeouf et Megan Fox qui interprètent très bien leur personnage et il en est de même en ce qui concerne le reste du casting. "Transformers" est donc un blockbuster qui n'a pas d'autres intentions que de divertir, ce qu'il arrive à faire très bien.

Cet saga et tout simplement splendide !tout les épisode enfin les 4 premier sont super le 5 je lai pas encore vue .le film est drôle et rempli daction ,de scénes spectaculaires et deffet spéciaux bluffant !!cet saga et celon moi l'une des meilleur ou la meilleur au monde 5 étoile sans hésiter !

Action et castagne à chaque minute forment la trame du film. Et ce n'est pas les quelques scènes d'émotion entre les 2 jeunes qui sauvent d'un ennui total.
Néanmoins, un bravo pour la prouesse technique.