Avis : The Grudge 2 - Page 3

Après le succès du remake américain qui a fait des bénéfices dès son premier week-end d'exploitation, une suite a rapidement et logiquement été mise en production. Une suite toujours réalisée par Takashi Shimizu, mais qui n'est pas fidèle à "The Grudge 2" sorti en 2003. En fait, comme dans le précédent film, le réalisateur pioche des idées dans ses précédents films avec ici la sous-intrigue sur trois lycéennes qui existait dans le film de 2002. S'il ne s'agit pas d'un remake du numéro 2 japonais, le film reste tout de même une suite du précédent. On retrouve Aubrey, la sœur de Karen qui était l'héroïne du premier, alors qu'elle se rend au Japon pour aider sa sœur qui est accusée d'avoir tué son petit-ami. Une fois de plus, il y a plusieurs histoires en parallèle avec donc celle-ci, celle des lycéennes qui se rendent dans la maison, et une intrigue aux Etats-Unis avec une famille qui va faire la connaissance de cette malédiction. Plusieurs histoires, mais pas dans la même temporalité. Le récit est fluide et les trois histoires s'emboitent bien, mais pour ce qui est de l'angoisse, on repassera. Le film fait très américain, ce n'est pas forcément une critique, mais il perd clairement de son charme. Ce n'est pas un mauvais film, il n'est pas déplaisant à voir, mais je n'ai pas retrouvé ce que j'avais aimé dans les premiers et même dans le remake. Takashi Shimizu a un peu dénaturé son film, je trouve. En somme, c'est moyen. PS: avis qui porte sur la version Unrated director's cut qui dure près d'un quart d'heure de plus.

The Grudge 2 a tout de la mauvaise suite bâclée, sans imagination qui va perpétuer une franchise lucrative sans jamais se fouler l'esprit et replonger dans son intrigue quelques éléments importants du premier film. C'est ici Sarah Michelle Gellar qui sert de pont entre les deux oeuvres, elle qui pourtant terminait le premier épisode d'une manière particulière pas spécifiquement propice pour développer encore son personnage dans une éventuelle suite.

Passée pour faire coucou et rappeler que les moyens sont toujours présents pour engager de grosses têtes (enfin, relativement), elle dégage rapidement de l'intrigue comme Liev Schrieber dans Scream 3, Adrienne King dans Le Tueur du Vendredi et les deux survivants qu'on ne nommera pas dans Alien 3, engageant cette sequel(le) dans la lignée des suites en série b souffrant de la comparaison avec le premier (ou le précédent) épisode, au point qu'il ne lui reste plus rien d'autre à faire que virer son ancienne figure de héros pour pouvoir repartir sur d'autres bases.

Sauf que les bases restant les mêmes, ce deuxième volet ne réinvente rien et plonge encore plus en avant dans les travers clipesques et série b fauchée du premier, une floppée de morts en plus : l'excès de meurtres, la stupidité contagieuse du comportement de ces personnages complètement illogiques et la maigreur de son scénario peu trépidant constituent une redite inutile d'un remake américain déjà au stade de 5ème épisode d'une franchise qui donnera jusqu'ici un peu plus d'une dizaine de films.

Les flashs intempestifs couplés à une mise en scène ayant perdu la majeure partie de son imagination enterrent ce qui faisait la sève du travail de Takashi Shimizu, dont on ne reconnaît presque jamais le style. C'est qu'il filme désormais sans aucune passion, et cadre sans grande recherche : banal, le visuel déçoit énormément tant il peine à convaincre d'un point de vue esthétique et ne parvient jamais à faire frissonner.

Ses effets horrifiques, prévisibles la plupart du temps, entrent dans une esthétique encore plus années 2000 et suivant des codes trop précis, reproduisent nombre de situations d'autres films d'épouvante américains sans y apporter le grain de sel indispensable à toute volonté de surprendre et d'effrayer. Loin de vouloir sortir des sentiers battus, The Grudge 2 se contente de faire toujours plus dans le kitsch et le gratuit en fusillant de l'écran la plupart des personnages ayant une importance relative à l'écran, multipliant au moins par deux le nombre de morts qu'on pouvait trouver dans les oeuvres précédentes.

Cet excès se retrouve autant dans le nombre de décès à l'écran que dans les dialogues stupides, le comportement irréfléchi de ces mêmes protagonistes qui en mourront, l'intrigue qui part dans tous les sens en tentant de compléter les révélations du premier épisode, apportant principalement à cet univers très sombre de nouvelles pistes horrifiques brouillonnes, peu claires, loin d'être aussi bien explicitées que le flashback final du remake précédent.

Il n'y aura plus non plus de questionnement sur une possible réflexion portée sur la présence américaine, le long-métrage se résumant à un divertissement de série b plutôt mauvais, banal et cliché, attendu et sans aucune autre surprise possible que celle de se dire que Sarah Michelle Gellar n'aurait jamais du revenir dans un film qui participa, c'est certain, à détruire entièrement sa carrière puis à faire disparaître son nom des salles de cinéma populaires.

Le cinéma d'horreur Japonnais a depuis longtemps démontré sa capacité à « déboussoler » les pauvres spectateurs européens que nous sommes. Avec des titres comme « Ring » ou « The grudge » nous tentons de pénétrer au cœur du folklore de cet empire particulièrement attaché à ses légendes... et donc à ses fantômes. Le problème, car problème il y a, vient du choc des cultures qui s'amuse inévitablement à brouiller les pistes. Il est indiscutable que les réalisateurs asiatiques sont très forts pour instaurer un climat d'angoisse, mais ils le font à leur manière, sans respecter un seul instant les codes que nous tentons d'instaurer en occident. (ce qui est très malpoli !) Du coup, on se retrouve souvent perdu dans des scénarios alambiqués que les méandres de notre cerveau cartésien peine à comprendre réellement. « The grudge 2 » ne fait pas exception à la règle... on se laisse facilement embarquer par l'ambiance sombre et angoissante qui s'en dégage mais on ne comprend rien à cette histoire de vengeance bien trop « tirée par les cheveux » à mon goût. Au résultat, certains passages m'ont fait frissonner et j'ai l'impression d'avoir passé un bon moment, tout en ayant bien conscience de ne pas avoir saisi toutes les subtilités de cette œuvre étrange et hypnotique.

Peu d épouvante et une réalisation hachée faites de fondu à répétition ne permettent pas à la saga the grudge de devenir un classique du cinéma horrifique. On assiste à trois histoires parallèles maladroitement imbriquées qui nous captivent assez peu...

To be continued, et la malédiction s’abat dans ce remake made in Japan produced in USA, juste un Ring bis, dark water, le même fantôme, la même femme folklorique japonaise, une sorcière, c’est l’exorciste japonais.
En plus d’un enfant malicieux damné, il aurait vu et n’aura échappé à la tragédie fait divers, la technologie moderne, vidéo numérique usée à la corde, rembobinez-nous tout ceci, pour qu’on comprenne votre histoire à dormir debout sans saveur.

Nul nul nul, rien n’y fait, The Grudge Ju-On sort pas du lot, laisse ton passé coupable, ta rage, colère, rancune assassinée combien de fois, films japonais original et remakes américains, sans compter avec tes mondes parallèles.
Parce qu’il y a irrationnel invisibilité, s’en prendre aux personnes qu’elle croise, bloqué à jamais pour l’éternité dans cette maison hantée les lieux du tournage, non le confinement ne toucher à ça..... et spacieux, les acteurs aussi.

Des chanteurs populaires seuls à regarder les vidéos surveillances, l’enquêteur investigateur policier, non........ elle apparaît arrêt sur image, elle apparaît pour bondir, ramper, pénétrer, Sarah Michelle Gellar qu’est-ce qu’elle devient dans cette suite re-suite inutile......
spoiler: Spoiler oui je vous ai bien eu, hhaha
........... attention....... jusque chez eux, vous avez été au contact de cette rancunière esprit malade, un fléau qui part dans tous les sens, on a comprend rien à rien, à apprendre : quand il a intrigue à raconter.

Accouche pleines d’histoires à rallonger la durée, c’est une question de calcul mental, de la mathématique horrifique épouvantable, allez terminer avec ces navets, la conclusion américaine et japonaise multi trilogie, et ne pensez que s’arrête immédiatement au stop.

Tout comme "Le cercle - The ring" qui s'est offert une suite sans pour autant être le remake de "Ring 2", ce deuxième volet de "The grudge" suit exactement la même initiative, à savoir qu'il ne proposera pas le même scénario que "Ju-on 2" (vous suivez ?). Cette suite nous en apprend donc un peu plus sur cette malédiction, mais aura tendance à légèrement s'égarer dans tous les sens, au point de livrer un récit quelque peu brouillon. Beaucoup de personnages, des histoires qui se croisent, des époques qui se mélangent, "The grudge 2" pousse le vice bien plus loin, mais risquera de nous perdre en cours de route tant le récit convoite plusieurs directions sans vraiment prendre le temps de les exploiter.

"Celui qui meurt dans un état de rage intense, déclenche une malédiction à l'endroit même de sa mort. Ceux qui y sont confrontés seront anéantit par sa fureur." Tel est le préambule d'un nouveau massacre. Voici donc le remake de la suite du même nom (Ju-on 2 en version japonaise). Une suite légitime où la malédiction de la rage prend toute son ampleur. Une fureur destructrice qui s'étend désormais au-delà de la maison. Ce deuxième volet est la parfaite continuité aux évènements du premier, mais il s'avère plus terrifiant encore. Le râle d'agonie de Kayato est plus présent, émergeant du fond d'un placard, d'une baignoire, d'un évier, ou même d'une photo. Son despotisme vengeur est omniprésent pour les malchanceux qui l'auraient provoqué. Divers scénarii s'entremêlent avant le recoupement final. To be continued... 4/5

De nombreuses excellentes jeunes actrices dont la toujours remarquable, talentueuse et superbe Teresa Palmer mais un film d'horreur au scénario très alambiqué multipliant les lieux, temporalités, continents, histoires détachées les unes des autres même si au final on finira par relier le tout et surtout presque trop de personnages avec multitudes de seconds rôles au final sans que l'on ait totalement un ou plusieurs premiers rôles qui se dégagent. Du coup c'est très confus, le fantôme japonais incarné par une jeune actrice est très bien rendue mais son rôle et ses intentions assez peu évidentes d'autant que parfois elle est secondée par un jeune garçon qui est une représentation d'une partie d'elle même. On n'a pas vraiment le temps de s'attacher à quelques personnages tant ils disparaissent vite du paysage et parfois de façon inexpliquée par la continuité narrative. Un final du même tonneau avec une dernière scène d'épouvante sans sens supplémentaire que les précédentes. Le réalisateur japonais conduit lui même l'adaptation et la suite de son film originel avec cette fois des acteurs américains, européens, australiens pour une portée plus internationale mais semble parfois être le seul à maîtriser le sens et le sujet du film ,embarqué dans son monde et ses représentations en oubliant un peu de donner plus de sens et d'indices au spectateur. A saluer la beauté esthétique des plans et des images mais un film trop hermétique et qui reste soft dans l'horreur ,les effets étant répétitifs.

Le premier The Grudge était super mais The Grudge 2 laisse le spectateur sur sa fin. Le film ne fait pas peur mais l'ambiance est quand même assez sombre et malsaine. Pour le casting, les acteurs sont bons (surtout Amber Tamblyn) mais il y a une chose que je trouve dommage : spoiler: c'est le fait que Sarah Michelle Gellar revienne uniquement pour faire mourir son personnage
; en effet si l'actrice avait retrouvée le rôle principal et joué au côté de Tamblyn spoiler: qui incarne la sœur du personnage de la jolie blonde
, l'histoire aurait peut être été plus attirante. Un film d'épouvante à voir si on veut connaître la suite de la mystérieuse fin du premier long-métrage.

Un peu moins bien que son épisode précédent, ce second volet n'en est pas moins terrifiant. Il nous surprend avec ces apparitions du fantôme mais aussi avec son scénario offrant quelques rebondissements à des révélations cohérentes qui viennent expliquer l'histoire. Une bonne suite.

Après avoir réalisé les opus japonais, le réalisateur Takashi Shimizu a accepté de diriger les remakes US dont voici le second opus qui reprend juste après les évènements du premier. Le scénario est assez classique pour ce genre de film et la fin n'est pas surprenante. En revanche les sursauts sont assez présents tout au long et Shimizu joue sur les gros plans et les musiques macabres, l'ambiance est à tirer au couteau. Le gros point noir du film c'est le casting, quasiment 100 % féminin, il est totalement raté, on dirai vraiment des midinettes ridicules et incapables de réagir face au danger. La réalisation est plutôt bonne, mais manque parfois de punch nécessaire quand on travaille sur ce genre de film. L'histoire doit se passer aux États-Unis Unis mais le film a été tourné au Japon et cela se voit, les décors ne font pas naturels. De plus Takashi Shimizu ne parlait pas un mot d'anglais, ce qui a rendu le tournage très difficile. Au final un film vraiment très moyen avec de bonnes intentions et quelques coups de frousse mais les actrices nous font plutôt rire que frissonner. Le premier opus (le remake) lui était bien supérieur...

Ton film était vraiment très cool je l'ai adoré je l'ai meme regarder plus de 3 fois dans la meme journée tellement qui l'était cool mais j'aime bien aussi the grudge 3 meme si tu ni joue que au début du film, tès vraiment un bon acteur meme moi a force d'en regarder des film sa me donne vraiment envie d'etre un acteur en plus sais mon reve depuis longtemps mais je sais très bien que se n'ai rien qu'un reve et que je ne le deviendrais sans doute jamais et je ne sais meme pas pourquoi je t'en parle d'ailleur. bon bref bonne journée ou bonne soiré a toi.

Après un premier épisode plutôt sympa dans le genre fantastique, il n y a plus grand chose à retirer de cette suite sans inspiration où il n y a plus la moindre trace de tension. J ai eu l impression de voir un film d horreur pour pré ado bien fade. À oublier.

Ceux qui ont aimés le premier aimeront ce second opus qui sens rapproche beaucoup. Il est donc destiné aux amateurs de la première heure. Personnellement je le trouve aussi bien que le premier et le montage est bien meilleur. Le réalisateur est toujours aussi douer pour susciter des sursauts et l'ensemble ce laisse regarder avec beaucoup de plaisir. Pas révolutionnaire mais le metteur en scène connaît ses codes et les exploites parfaitement. Pour les amateurs du genre.

Une suite sans réél intérêt car il faut avouer qu'aucun effort n'a été fait pour supprendre à nouveau.