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Yetcha
772 abonnés
4 292 critiques
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3,5
Publiée le 12 mai 2020
Bon... Après tant d'années je m'attendais au pire.... Et bien avouons le, ce n'est pas la catastrophe à laquelle je m'attendais. Si certains studios et costumes font parfois très "cheap", que certaines scènes et dialogues sont théâtrales, le genre est ce qu'il est, un film de cape et d'épée traditionnel et efficace. On ne s'ennuie pas, les acteurs sont excellents et on prend plaisir à revoir ce succès du box-office du début des années 90.
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3,5
Publiée le 16 mars 2020
Le retour du cinèma d'aventures! Après Douglas Fairbanks et Errol Flynn, c'est au tour du beau Kevin Costner d'endosser l'habit du proscrit lègendaire de la forêt de Sherwood! En prince des voleurs, Costner manie admirablement l'arc face à l'infâme shèrif de Nottingham, incarnè par le très regrettè Alan Rickman qui cabotine et s'agite comme un beau petit diable! Avec un savoir faire certain, Kevin Reynolds signe une version très spectaculaire, revue et corrigèe façon 90's! Les règlements de comptes dans la forêt de Sherwood ne manquent pas et les exploits du brigand au grand coeur se comptent par dizaine! Aucun dètail n'est laissè au hasard et on reconnaîtra même la citè de Carcassonne qui a servie de dècor! Avec la chanson mythique de Brian Adams, « (Everything I Do) I Do It for You » , pour enrober le tout, qui rende l'histoire d'amour ente Robin et Dame Marianne èternelle! Et la cerise sur le gâteau pour la fin spoiler: : Richard Coeur de Lion alias Sean Connery qui fait une brève mais mèmorable apparition...
J'en gardais un souvenir très mitigé, et finalement quel bon film ! Il faut du temps pour accepter Kevin Costner en Robin des bois (forcément il n'a pas le mème physique que Russell Crowe), mais une fois ce détail passé, c'est un film qui fait du bien. Certes il reste assez gentil voir un peu niai, mais tous les acteurs tiennent très bien leur rôle respectif, surtout Alan Rickman à mis chemin entre Rogue et Hans Gruber. Quelques batailles sympathiques, sans oubliez le plan mythique de la fléche Gros plus pour le caméo final spoiler: (le roi)
Star incontournable de l’année 1991, Kevin Costner porte incontestablement le film sur son seul nom. A défaut d’être fidèle à la légende, cette version, dirigée par Kevin Reynolds, a au moins l’avantage d’être l’une des plus divertissantes autour de Robin de Longsley. Du rythme, de l’action, une musique qui accroche autant que le charismatique des personnages et, cerise sur le gâteau, un méchant d’envergure délectablement joué par Alan Rickman. Pour ma part, « Robin des Bois, Prince des Voleurs » revêt une petite particularité : il est le premier film que j’ai vu au cinéma en compagnie d’une belle demoiselle devenue depuis, ma chère et tendre épouse...
Robin des Bois fait partie des figures iconiques ayant connu de nombreuses adaptations au cinéma. Parmi celles-ci, ma préférence va à la version de Kevin Reynolds avec Kevin Costner dans le rôle titre. Si le long métrage n'est pas parfait, il possède néanmoins de nombreux atouts avec en tête un excellent casting, une bande musicale du tonnerre et une ambiance sombre appréciable. Bref, un très bon film d'aventure, épique à souhait comme on les aime.
Ce film est hors du commun pour la première fois je suis scotché a un film de 1991 et pour le coup tout y est un acteur incroyable de l'amour une superbe histoire un méchant impressionnant. Et des scènes d'action exeptionel pour 1991 juste incroyable il reste même en 2019 le meilleur robin des bois de tout les temps
bien mais esce utile de faire durer cette histoire aussi longtemps car certains passage sont clairement inutile . Une histoire revisiter de Robin des bois qui la se passe avant quil connaissent ses amis de la forêt de sherwood et petit Jean et nous fait découvrir plus en profondeur certains de ses amis . la il fait équipe avec alsim un valeureux guerrier jouer par Morgan Freeman. mais esce nécessaire de faire venir Sean Connery pour si peux de temps ?
On dira ce qu'on voudra, mais à mes yeux, cela reste le meilleur film de Robin des Bois. Bien mieux que celui de Ridley Scott, et que le clone de Kingsman, façon Robin du XXIème siècle, avec cocktails molotov et tenues SuperDry
On compte parmi les adaptations de Robin des Bois une profusion de caricatures et autres navets, mais il y en a une sort du lot : celle de Kevin Reynolds. Sans doute parce que cette version est la plus fidèle. Du moins, elle rend toute ses lettres de noblesse au roi des voleurs. Un expert en tir à l’arc, mué par le sarcasme, le panache et le courage. Kevin Costner est dans la place, et il incarne le rôle jusqu’au bout des ongles. Ca lui colle à la peau. Cette roublardise, cette nonchalance et ce dévouement, c’est tout lui. Une révolte contre l’oppression des riches débute au cœur de la mystérieuse forêt de Sherwood, celle qui effraye la population par ses légendes. Face à une horde de villageois, le terrible Shérif de Nottingham, vicieux et rusé, derrière lequel on retrouve Alan Rickman. Le mélange aventures/humour fonctionne à merveille. C’est le ton donné à cette parenthèse moyenâgeuse, où les pauvres étaient asservit par les nobles comme des sous-hommes. Robin de Locksley est là pour inverser la tendance, et il le fait très bien puisqu’il redonne l’espoir à ceux qui n’en avaient plus. Cette version de 1991 a tout de même vieilli. C’est plus gentillet que spectaculaire, et le dénouement des rebondissements est souvent très convenu. Cela reste un excellent divertissement devenu culte. 4/5
La mise en scène de Kevin Reynolds un peu erratique et brouillonne. J'ajouterai une imagination du niveau d'une BD enfantine (avec son ambiance musicale ...soupire ....). Je n'ai pas été séduit. Il y a un manque de consistance psychologique qui affadit pesamment l'histoire que l'on veut nous conter. Bref, film occupationnel.
La version américaine du célèbre conte chevaleresque des luttes idéologiques et combats universels à travers Robin des bois, prince des voleurs organisés s’approprient aux riches pour les redistribuer aux pauvres, joué par Kevin Costner qui est pas mal dans le développement du héros bandit. C’est marrant comme film d’aventure aves ses vilains caricaturaux, la sorcière et ses potions, le shérif de Nottingham ne manque pas de tact rustique pour accélérer la demande en mariage avec la noble dame qui se retrouve abrupte en attendant l’arrivée de la cavalerie salutaire venant de son véritable amour. L’action est surréaliste, à la précision minutieuse, comme l’avait prédit Cary Elwes, refusant poliment le rôle, ça reste une super production hollywoodienne, que le spectacle s’anime même pendant la période du moyen âge anglo-saxonne. La croisade se termine avec la bénédiction de Richard au cœur de lion, la guest star d’acteur écossais au mariage de festivité, la belle chanson romantique comme bande son originale.
Adaptation prestigieuse des années 1990, Robin des Bois prince des voleurs se veut plus sombre qu’à l’accoutumée, avec une certaine tension et parfois même de la violence dans l’action. Brillamment incarné par Kevin Kostner (Les Incorruptibles, Danse avec les loups), Robin est ici considéré selon une version moins habituelle de la légende, où il est décrit comme un brigand. Le film commence d’ailleurs alors qu’il se trouve en prison quelque part au Moyen-Orient pendant les croisades.
Après son retour en Angleterre avec un codétenu musulman dénommé Azeem et joué par Morgan Freeman (Seven, Le Collectionneur, Le masque de l’araignée), il va découvrir son château ravagé et va être amené à se racheter afin de déjouer le complot du shérif de Nottingham, interprété par Alan Rickman (Piège de cristal, la saga Harry Potter, Le Parfum), secondé par le charismatique Guy de Gisbourne sous les traits de Michael Wincott (The Crow, Alien la resurrection, Seraphim Falls).
Le film subit quelques longueurs du haut de ses deux heures passées et on peut regretter que Guy de Gisbourne spoiler: meure si vite , que le shérif n’ait pas plus de charisme que ça et que le combat final ne soit pas aussi claquant que celui de l’adaptation de 1938. Il se laisse cependant regarder pour le scénario qu’il propose, avec de sympathiques scènes comme le combat contre Petit Jean, les pièges tendus en forêt par les amis de Robin et sa timide romance avec Marian, jouée par Mary Elizabeth Mastrantonio (Scarface, Abyss). Un classique de l’aventure !
Film culte qui a certes vieilli sur de nombreux points mais qui reste majoritairement agréable à regarder. A la fin du XIIe siècle, la croisade de Richard Cœur de Lion fait rage au Moyen-Orient. Robin de Locksley, un soldat britannique, parvient à s'échapper de Jérusalem en compagnie d'un Maure appelé Azeem. Ils débarquent sur les côtes anglaises pour découvrir ses terres vivre dans la misère et la peur à cause du shérif de Nottingham. Pour rétablir l'ordre et la loi, Locksley va devoir devenir un bandit... La réalisation est fluide: le cadrage et les prises de vues sont réussis, les mouvements sont bons, la profondeur de champ parfois un peu faible et la mise en scène pas trop mauvaise. Le scénario de Pen Densham et de John Watson est assez bon, il y a de bonnes scènes d'action et le rythme est assez soutenu. On retrouve certains éléments très caractéristiques des films d'aventures des années 90 qui aujourd'hui ont mal vieilli, ce qui est accentué par des incohérences et des clichés; mais le scénario reste agréable et prenant. Les acteurs ont tendance à surjouer mais cela ne devient trop exagéré. Les personnages sont bons, même si certains sont inutiles. Les dialogues sont bien écrits et souvent drôles. La photographie a une bonne lumière et de jolies couleurs. Le montage est fluide et efficace, surtout dans les scènes de combats. Les décors sont réussis, les costumes très crédibles et la musique est bonne. "Robin des Bois, prince des voleurs" reste un film culte qui est à voir.
Furieusement romanesque, cette adaptation de la légende de Robin des bois brille parce qu’elle assume pleinement sa part de fiction et de rocambolesque au sein d’une peinture somme toute pittoresque du Moyen Âge central. Déformations outrancières à grand renfort de vilaines trognes et de manichéisme prononcé pourtant assez justes dans la restitution d’un imaginaire médiéval et dans la revendication politique menée au nom des opprimés; c’est tout un monde – certes artificiel, et on le sait – qui prend vie sous nos yeux, aidé par une magnifique composition musicale signée Michael Kamen qui sera d’ailleurs tout bonnement plagiée par Éric Lévy pour Les Visiteurs quelques années plus tard. Notons au passage que la mise en scène proposée par Kevin Reynolds inspirera très fortement Jean-Marie Poiré pour ce même film à tel point que celui-ci reproduira à l’identique l’esthétique déformante de certains plans volontairement proches des visages ou celle visant à capter en contre-plongée les cavaliers montés, ainsi que la caméra embarquée sur une flèche en plein vol. Parlons de références pour éviter toute connotation pourtant suspecte... Œuvre référentielle dans le paysage cinématographique, Robin des bois, prince des voleurs fourmille d’idées audacieuses au risque peut-être de ternir la cohérence d’ensemble. Les acteurs s’en donnent à cœur joie et contribuent au plaisir d’ensemble qui emporte le spectateur. Une belle et flamboyante fresque.