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    La Belle Noiseuse
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    MadAngelus
    MadAngelus

    46 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2011
    Après un début un peu difficile, la faute à mon état d'esprit pas encore ajusté à l'oeuvre qui défilait déjà sous mes yeux, la gentille moquerie sur le jeu d'acteur théâtral passée, je demeure encore maintenant, plus d'une heure après la projection, subjugué par la beauté des plans, et la justesse finale des acteurs. En fait, malgré quelques courts moments sur les quatre heures où on se rend compte qu'on regarde un film d'auteur français par les multiples travers du genre, reste un immense miroir de notre réalité. Ce tableau final, dont on ne voit jamais la véritable image, reste pourtant gravé dans mon coeur, comme si ce film etait un nouveau tournant dans ma vie de cinéphile. C'est pour cette raison que je remercie Rivette, pour m'avoir hypnotisé pendant 4h sans qu'à un seul moment je me demande pourquoi. Ce film est une merveille du cinéma français, et à cet instant, surement parceque je suis encore trop proche de sa projection, je ne vois aucun film français capable de se mesurer à lui, telle Emmanuelle Béart au sommet de sa beauté et de son art n'admet aucune rivale. Inoubliable.
    guillebotis
    guillebotis

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2020
    Une catastrophe élimée ! Tous les clichés bobos sont là, encore plus criants vingt ans plus tard. Côté déco, même l'eau de toilette de marque Dyptique dans la petite salle de bain élégamment foutraque n'est pas oubliée. En dehors de la demeure "pétée comme il faut" et vénéneusement éclairée, rien n'est à garder de ce bazar de l'artificialité et de l'inconsistance. Pour se libérer de ce film interminable comme un jour sans pain, et par acquis de conscience cinéphile (!), l'unique solution est de le passer en accéléréx4 et il ne reste qu'un roman-photo lègèrement comique gorgé d'expressions outrancières et de situations au dramatisme disproportionné. Jane Birkin se réfugie dans son "jeu ténu et fragile" avec la même affectation depuis 50 ans. Piccoli s'ennuie et n'y croit guère mais il fait ce qu'on lui demande car c'est un acteur professionnel. La ravissante Mademoiselle Béart offre à la caméra sa plastique de modèle de peintre et ses yeux admirables, seuls souvenirs de ce film au propos clairsemé, qui ne convoque qu'un voyeurisme gratuit.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2020
    Jacques Rivette aimait manifestement beaucoup Balzac. Cette "Belle Noiseuse" est inspirée, de manière lointaine, par "Le Chef-d'oeuvre inconnu". Avant cela, "Out One" était une adaptation de "L'Histoire des Treize". Et plus tard, "La Duchesse de Langeais" donnera la matière de "Ne touchez pas à la hache".
    D'une courte nouvelle ("Le Chef-d'oeuvre inconnu") Rivette a donc tiré un film très long (près de 4 heures), trop long probablement, et malheureusement un peu complaisant dans sa façon de cultiver un mystère intello-artistique. Cela dit, le cinéaste s'est ainsi donné les moyens de creuser l'épaisseur des personnages et de sonder, sous différents angles, l'acte de création picturale. On voit ainsi un artiste au travail, la main du peintre Bernard Dufour suppléant Michel Piccoli lorsqu'il s'agit de manier le stylo-plume, le fusain ou le pinceau. Et surtout, on plonge dans une série de questionnements sur l'art et la recherche de la vérité, l'art et la mise en danger, l'art ou la vie… Tout cela, notamment, à travers un rapport de force entre le peintre et son modèle, qui tient à la fois du "jeu du chat et de l'oiseau", et d'une "vampirisation" conduisant l'artiste à "mettre le sang de son modèle sur la toile", à saisir son âme pour l'exposer crûment et cruellement. La création est ici vécue comme une expérience ultime, une quête d'absolu, qui ne va pas sans une certaine destruction, sans une certaine mort.
    Pour ce canevas de réflexions, le dispositif de narration et de mise en scène est à la fois minimaliste et dense, contemplatif et sous-tendu d'un suspense psychologique. Les dialogues sont concis et souvent puissants. Pas toujours très audibles, hélas (petite faiblesse technique). Par ailleurs, il n'y a pas de musique. Le seul bruit du papier et de la toile, triturés ou caressés, suffit à "habiter" joliment le film.
    Voilà donc une œuvre ambitieuse à défaut d'être parfaite, exigeante, portée par un Michel Piccoli magistral, une Emmanuelle Béart très belle mais qui surjoue un tantinet, une Jane Birkin subtile (dans l'un de ses meilleurs rôles au cinéma).
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2019
    Montrer un artiste et son modèle au travail : c'est l'ambition principale de 'La Belle noiseuse', qui donne lieu à quelques scènes de dessin magnifiques, réhaussées par une prise de son au naturel et par d'intéressantes réflexions sur l'art et la recherche d'absolu de l'artiste.
    Impossible, néanmoins, de feindre d'ignorer l'extrême longeur du film. Quatre heures c'est long, trop long, d'autant plus que bien des scènes impliquant les personnages de Nicolas et Marianne semblent dispensables tant elles sont mal écrites.
    A voir, tout de même. En deux fois.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2020
    Je ne sais quoi dire sur ce film, si ce n'est que ça m'a donné envie de Lire le chef d’œuvre inconnu de Balzac, nouvelle que je dois lire depuis une éternité, sans doute ce film me fera franchir le pas... Quant au reste, c'est compliqué. C'est un film extrêmement long, quasiment quatre heures, quatre heures durant lesquelles il se passe à la fois beaucoup et très peu de choses. Les lieux, les personnages sont extrêmement restreints, Rivette propose des longs plans où l'on voit Piccoli peindre et Béart poser nue, disons qu'il faut être prêt pour regarder un tel film.

    Mais j'apprécie la durée, c'est rare de voir un cinéaste prendre autant de temps pour montrer quelqu'un qui fait quelque chose d'aussi simple qu'une esquisse. On voit donc un tableau se faire, se penser sous nos yeux en même temps que l'on voit deux couples se perdre et voir leur relation perturbée par ce même tableau. Je crois que c'est ce qui m'a plu. Disons que j'ai vraiment adoré le personnage de Jane Birkin qui est ici l'ancienne muse de Piccoli, celle qu'il n'a pas réussi à peindre pour faire le tableau qui donne titre au film (et accessoirement sa femme). Et forcément, il y a un part de jalousie lorsqu'elle le voit reprendre son travail, effacer ce qu'il avait commencé avec elle avec une autre femme, plus jeune, moins marquée par le temps.

    Je vois aussi dans le film une sorte de passage de relais entre Birkin et Béart. Birkin a souvent été nue plus jeune, au cinéma, dans des photos, elle a été la tentatrice dans la Piscine. Et là, maintenant elle est la mère, habillée face à la beauté nue de Béart. J'ai trouvé ça très intéressant.

    Et disons que ça, couplé au côté besogneux de la pose, voir Béart nue souffrir en se tordant pour satisfaire les besoins d'un Piccoli dont le personnage ne semble pas savoir où il veut aller, ne pas savoir ce qu'il veut peindre, comment il veut peindre, ça tranche peut-être avec une certaine vision que l'on peut avoir de l'art où tout est une question de génie brut et divin qui tombe du ciel. Ici tout est une question de recommencements et plus on recommence, plus le climat s'obscurcit, plus les tensions et la jalousie resurgissent.

    Ceci dit c'est un film où je pense que pas mal d'aspects doivent m'échapper, mais c'était intéressant pour ça, la composition du tableau en même temps que les couples se décomposent, mais une décomposition logique, dont on ne sait si les personnages vont réussir à se retrouver.
    ferdinand75
    ferdinand75

    452 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2016
    Un film puissant, unique, envoutant, qui aborde le thème rare, complexe, de la création. Peut-être le film le plus riche, le plus rigoureux sur ce thème, et en tout cas le chef d’œuvre de Jacques Rivette. Il y a tout d’abord le fond , avec ce peintre célèbre qui n’a plus d’inspiration depuis 10 ans , et qui soudain suite à la rencontre avec une jeune fille à la personnalité forte , un peu rebelle, va reprendre goût à son art, il la désire comme modèle.. Il y a alors une sorte de montée en « transes » pour le peintre, les séances sont pour lui des sortes d’illumination, , on est très proche du remarquable document « Le mystère Picasso » de Clouzot. Piccoli est admirable, et tient là probablement son plus beau rôle, il est habité, il est « fou » pour sa peinture, sous extase. Il joue magnifiquement tous les sentiments, toute la profondeur du personnage. Pour le modèle Emmanuelle Béart, qui tient là aussi le meilleur rôle de toute sa carrière, personnage rebelle qu’elle essayera de reprendre dans presque tous ses films, mais qui ne sera jamais aussi juste qu’ici. Pour le modèle, le principe est l’abandon et la soumission. Elle lui dit à un moment : « on dirait un chat qui joue avec une souris »Elle qui était rebelle, se prête à ce jeu , pour apprendre sur elle même, comme une psychanalyse, elle s’abandonne totalement, tout en essayant parfois d’apporter son input à la création. Elle est intellectuelle et intelligente, elle sait qu’elle participe à la création d’un chef d’œuvre et aussi à la résurrection d’un génie. Elle accepte tout, elle se laisse tordre, « briser », « torturer », car il veut capter , capturer l’intérieur de son âme et pas seulement son physique extérieur. Et puis il y a le nu, qui n’est pas sensuel comme habituellement au cinéma dans la plupart des cas, pas sexuel, on est au delà du désir, mais bien dans l’esthétique, comme dans l’essence même de l’art ,de la culture antique. Béart est nue et contorsionnée, comme on le voit rarement au cinéma, c’est tout simplement beau, sublime, émouvant mais choquant aussi, car c’est du nu pour le nu, pas dans l’exercice de l’amour. Et puis il y la forme parfaite, Rivette traitant le thème de la création se doit d’être très bon, et il l’est. L’image est lumineuse, de toute beauté, les cadrages au millimètre, , les plans séquences sont magnifiques. Ce travelling sublime dans le jardin cadrant Birkin et le fiancé et puis au loin , au centre même de l’image on voit apparaître un tout petit point, avançant vers nous , qui deviendra le personnage de Béart, sublime , à couper le souffle. Chaque plan est un petit bijou.Il y a aussi le rôle important joué par le vrai peintre , Bernard Dufour, avec tous les gros plans sur sa main, peignant , qui nous décortique complètement le processus de la création . Et puisil y a l’ « escamotage » final, bluffant, sorte de mise en ellipse, de tout le film : l’art reste un mystère, connait-on les fondements de l‘intelligence humaine, de la création. ? Le film dure 4 heures mais chaque minute est intéressante, il n’y a pas un plan de trop, on se laisse envouter et emporter par ce chef d’œuvre, qui reste intemporel, et n’a pas pris une ride en 2016.
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mai 2011
    Partagé sur ce film de près de quatre heures assez corsées qu'il faut tenir. Alors quand on arrive au bout de cette oeuvre, on peut légitimement se dire que de nombreux coups de ciseau n'auraient pas été de trop. Alors dans l'inutile : ben qu'est qu'on en a à foutre du mari, de la belle-soeur et même de l'épouse du peintre, ils ne servent rien, cassez-vous, on les voit juste parader dans des longues scènes de dialogues inutiles qui n'apportent absolument rien à l'oeuvre si ce n'est des moments bien chiants. Déjà la presque première heure du début aurait dû supprimée... en fait, pour moi, d'après mon opinion bien personnelle, "La Belle Noiseuse" aurait dû se résumer à deux personnages, le peintre et sa modèle, et à un lieu, l'atelier. Car le coeur du film c'est la création artistique. Les seules scènes intéressantes, et qui donc se déroulent dans l'atelier, sont celles qui concernent ce sujet. Des menus détails comme le fait que le peintre a du mal à mettre droite sa table de travail, les relations parfois très houleuses avec son modèle, éventuellement quelques confidences, etc... seraient l'envers du décor de ce thème. Et le fait qu'on le voit hésiter, tâtonner, qu'on ne sache pas où il veut en venir, eh bien c'est ça la création artistique, c'est ça le coeur du film. C'est sur cela et sur l'envers du décor que pour moi Jacques Rivette aurait dû concentrer toute son oeuvre. Point de vue très subjectif mais n'est-ce pas l'art qui en réclame le plus ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    On se prend parfois à relier ce film à deux peintres en particulier : Rubens pour l'envoûtement charnel et la beauté du corps, et Rembrandt, pour l'utilisation froide et clinique de la lumière, et il est vrai que, sans mauvais jeu de mot, "la belle noiseuse" joue sur deux tableaux distincts. Le film est à la fois oeuvre et réflexion sur l'oeuvre. La caméra s'attarde d'un côté sur le modèle, troublante et magnifique Emmanuelle Béart, qui s'offre sans voile aux regards du peintre et du spectateur. Elle s'attache à ce corps nu, comme si elle le caressait, longuement, intimement, et tisse avec lui une sorte de complicité sensuelle dans les jeux d'ombre et de lumière. La pellicule devient alors le support d'un chef d'oeuvre en mouvement, en évolution, une enivrante exposition de tableaux qu'Ingres aurait pu signer...
    Et puis elle révèle, de l'autre côté, le travail du peintre, lent, laborieux, infiniment douloureux car presque assurément voué à l'échec. Le film nous montre enfin la terrifiante condition de l'artiste dans toute sa vérité : isolé devant le gouffre de la feuille blanche qu'il tente vainement de remplir, condamné à créer, à dépasser sans cesse, sadique torturé par sa propre impuissance et devenant le bourreau de son modèle. Le film crée alors une mise en abîme, car le choix des poses du modèle par le peintre rappelle celui du réalisateur vis-à-vis de ses acteurs, illustrant par-là même cette recherche toujours prolongée et jamais aboutie.
    Il y a aussi ce tableau, le véritable chef-d'oeuvre inconnu, qui reste emmuré et que nous ne voyons jamais, et l'autre, pâle copie, présentée comme l'authentique conclusion du travail artistique.
    Il y a enfin le livre de Balzac, modèle de départ, et le film même, très éloigné de l'original, en écho au modèle féminin et à cette mystérieuse toile dissimulée, comme les deux pôles de la création : le maître et l'élève, l'inspirateur et l'oeuvre, la muse et l'artiste.
    Il s'agit d'un film fascinant, parfois difficile, surtout dans sa version longue, mais unique pour sa sublimation du corps féminin, sans concession, sans vulgarité, et pour le véritable reportage qu'il nous donne à vivre sur le travail de l'artiste, car c'est bien de cela qu'il s'agit au final, en peinture comme en cinéma : de l'acte créateur.
    Jacques Rivette est Frenhofer.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2013
    Une œuvre ample et sensuelle sur la création artistique. Rivette décrit avec minutie la relation entre l’artiste et son modèle, la sublime Béart, presque toujours nue.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    249 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2009
    très éloigné du cynisme quotidien, il est certain que ce film reste un formidable témoignage sur le travail d'1 vrai artiste utilisant un matériau simple - loin des aides technologiques actuelles de toute nature - et donc accessible en cela uniquement aux instruits -; quand on omet peut-être, il est vrai, une énaurme longueur & un certain académisme.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2016
    Tournée dans l'atmosphère prestigieuse du château d'Assas près de Montpellier au cours d'un été langoureux, La belle noiseuse est une œuvre magnifique sur le désir, le fantasme de la possession et le mystère de la création, qui sait prendre son temps. Pendant quatre heures, le film décrit l'évolution de la relation entre un célèbre peintre – magistral Michel Piccoli – et son nouveau modèle – sensuelle Emmanuelle Béart – qui va raviver en lui la flamme de la création, dix ans après l'échec d'un projet mené avec son épouse actuelle – Jane Birkin, d'une grande sensibilité. Un (très) long-métrage d'une intelligence rare et d'une délicatesse de tous les instants.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mars 2010
    Belle maison, beaux vetements, belles fesses! dialogues qui tiennent en une demi page et dont le sommet est cette phrase culte:"t'as remplacé ma gueule par une paire de fesses". Etre moderne c'est faire ennuyeux pour avoir l'air profond. Rivette est donc un hypermoderne: 4 heures d'ennui mortel et c'aurait pu etre pire: imaginez le film dans un HLM, avec une actrice sans fesses: la moitié de la salle est sortie au bout de 5 minutes et l'autre moitié dort. Tout cela cela n'a rien à voir avec Balzac !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 septembre 2009
    Un chef-d'oeuvre absolu, un film habité par la grâce qui, 20 après sa réalisation, n'a pas pris une seule ride, là où beaucoup d'autres films de Rivette paraissent aujourd'hui "datés". Le film fait près de 4 heures, mais il pourrait durer plus qu'on ne s'ennuirait pas. Voilà pourquoi la version courte (2h) concoctée pour Arte est à éviter.
    Peichan2
    Peichan2

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2008
    La belle poisseuse, oui ! Quelle poisse ce film ! Non, ne vous en faite pas, j'ai pas perdu 4 heures de ma vie, vu que j'ai pas regardé jusqu'à la fin ! Je crois que si on notait ce film pour la longueur, je lui mettrai 5/4, un film auquel on pourrais enlever 3h, on verrait pas la différence ! à jeter
    Sophie C.
    Sophie C.

    5 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2020
    Ennui mortel. Longues scènes de dialogues insipides tout autant qu'inutiles. Ou bien lente élaboration des croquis, des tableaux, sans que jamais la beauté ni l'émotion ne jaillisse. Tout ça pour montrer finalement quoi ? L'orgueil incommensurable de l'artiste. Et la stupidité des femmes qui, quoique conscientes d'être des objets dans leurs mains, persévèrent...
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