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    La Cité des enfants perdus
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    3,8
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    219 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 mai 2013
    une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
    MC4815162342
    MC4815162342

    366 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Ron Perlman excellent et Dominique Pinon toujours aussi génial dans ce Jeunet/Caro, un excellent film, avec un scénario déjanté et une réalisation génial, seul point négatif: les pleurs de gosses et les cries insupportable !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 avril 2013
    La cité des enfants perdus est un conte noir pour toute la famille. Ron perlman est magistral dans le rôle de one. Ce film reste l'un de mes préféré, d'une beauté rare! A voir et à revoir absolument!
    Shephard69
    Shephard69

    280 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2013
    Jeunet dessine ici un univers sombre et dérangeant. Excellent scénario, très bonne mise en scène. Histoire pleine de poésie, difficile d'accès. Ron Perlman et Daniel Emilfork sont extraordinaires. Un OVNI inclassable.
    bsalvert
    bsalvert

    319 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2013
    Ce qui est génial avec Jean-Pierre Jeunet c'est qu'on est toujours plongé dans SON univers qu'il soit citadin, ou sur une terre inconnue, le monde réel n'existe plus.
    PLV : le cinéma c'est aussi un voyage
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 décembre 2012
    Non pas que le film soit mauvais mais j'ai été complètement hermétique à l'univers proposé par Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro. Il y a une vraie recherche artistique et une envie de proposer un récit gothico-punko-poético-bizarre assez sympathique mais la sauce ne prend pas complètement (avec moi du moins). La faute peut-être à un côté trop brouillon, dès le début du film, qui empêche réellement de poser les cadres de son décor et de son univers. Les réalisateurs y jettent le spectateur sans se soucier de réellement construire ce qu'ils ont à proposer.
    Si on n'adhère pas à l'univers, c'est difficile après d'apprécier le film tant il repose sur celui-ci. J'ai trouvé quand même certaines choses assez réussies, il y a quand même quelque chose et des idées, notamment sur certains personnages, comme celui des deux diaboliques siamoises avec des idées de mise en scène pour montrer leur côté très arachnide. Mais la quête ne m'a pas intéressé, je ne suis pas un grand fan de Ron Perlman et le film est quand même assez brouillon par moment. Bref, la cité des enfants perdus n'est pas un mauvais film, mais je n'ai pas adhéré.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 novembre 2012
    Je n'ai pas réussi à rentrer dedans. Un ennui mortel
    Teardrop
    Teardrop

    3 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2012
    Un conte fantastique peuplé de rêves et de cauchemars, dans lequel les enfants et les montres tiennent le premier rôle. Film parfois sombre et grinçant, mais reprenant les figures et le déroulement d'un conte merveilleux traditionnel. Des bonnes trouvailles et de bons acteurs.
    JeffPage
    JeffPage

    33 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Avec ce second long métrage, Jeunet et Caro poursuivent le travail commencer avec Delicatessen et nous livre un film à l'univers visuel très travaillé et à l'univers sombre. L'histoire de son coté est aussi plus complexe et développé ce qui permet au 2 cinéastes de créer un monde plus complet et plus étrange, rempli de personnages tous plus singuliers les uns que les autres. Visuellement, on retrouve le style "verdâtre" de Delicatessen, qui donne à cet univers steampunk un coté vraiment étranges et sombre. Une vraie réussite qui confirme, en 1995, le talent de ces deux réalisateurs et qui marque la fin de la collaboration Jeunet-Caro.
    Dargor-
    Dargor-

    19 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juin 2017
    Je met 5 étoiles. Et je met rarement 5 étoiles, car je suis difficile.
    Ce film est a mes yeux la quintessence du cinéma Français. Un compte de fées brassant à la fois l'émerveillement et atmosphère lugubre, dans une ville portuaire comportant un aspect à la fois "ère industriel" et steampunk ancré dans la réalité, qui jure avec cette inquiétante marée verte et brumeuse, presque éthérée et omniprésente, l'esthétique de ce film fait preuve d'une créativité immersive nous plongeant dans cet univers fantasmagorique. Le casting est littéralement irréprochable, avec des personnages absolument fascinant, l'inquiétant Daniel Emilfork en scientifique cruel et désespéré recherchant pathétiquement le bonheur dans les rêves des enfants qu'il pille sans vergogne, un personnage dont l'on prend rapidement pitié lorsqu'on comprend que jamais il n'atteindra sa quête pour s'affranchir de sa monstruosité. Dominique Pinon, plus en forme que jamais dans ces rôles de clones pathétiques et enfantins, et que dire du couple improbable entre Ron Perlan et Judith Vittet, dont l'inversion atypique de la maturité (Miette est une jeune adulte dans le corps d'une jeune fille de 9 ans là ou One est un enfant dans un corps de géant) a quelque chose d'aussi poétique que troublant ? La cité des enfants perdu, un film a la fois très sombre et très léger, mariant sans cesse les oppositions improbables, un compte de fée pour adulte, riche en noirceur et en espoir. La musique est également partie prenante de cet univers, avec des thèmes tout droit sortit d'un rêve d'enfance ou d'une fête foraine, et des thèmes sombres et oppressant qui font se serrer le cœur et se soulever l'estomac tant ils sont imprégnés d'une aura malsaine. Ce film ne vous laissera jamais indifférent, il n'est pas a mettre dans toutes les sensibilités et s'apprécie davantage avec une certaine culture cinématographique, et Jeunet & Caro prouvent qu'ils peuvent surpasser la créativité d'un Tim Burton au zénith de sa carrière.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 septembre 2012
    vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvrttttttttttttttttttttttttttttttttttt
    Machriasi
    Machriasi

    9 abonnés 629 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2012
    Je n'ai vraiment accroché à rien dans ce filml étonnement. J'ai trouvé la direction artistique moche, les acteurs mauvais voire agaçants, l'histoire donc difficile à suivre ( à vrai dire je ne saurais meme pas dire de quoi ça parle).
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Incapable de rêver, le terrible Krank n'a d'autre choix que d'enlever les enfants leur voler leur rêves. En 1993 sort "La Cité des enfants perdus", nouvelle franche réussite pour le duo Jeunet-Caro. Pour orchestrer cette autre fantaisie, les deux cinéastes présentent une réunion de moyens et potentialités tout simplement exceptionnelle. De nouveau de la partie, l'immense Darius Khondji se surpasse pour proposer une photographie verdoyante aux images léchées. Par ailleurs, le film s'offre également les services de Angelo Badalamenti, compositeur attitré de David Lynch. Côté acteurs, les visages de "Delicatessen" devenus habitués sont encore là, et d'autres entrent à leur tour dans cette galerie tels Ron Perlman. Parmi eux se démarque la prestation démente de Daniel Emilfork. "La Cité des enfants perdus" n'est sans doute pas parfait, manque de cohérence par moment, mais demeure une expérience audacieuse et salutaire. Un bijou d'humour noir, défilé de gueules aux instants de poésie parfois éclatants. Jeunet et Caro représentent l'une des rares tentatives récentes d'un cinéma de genre hexagonal de qualité. Dès lors, on ne peut que regretter d'autant plus amèrement que leurs chemins se soient séparés si vite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mai 2012
    Un scénario original, des personnages attachants et une mise en scène lugubre et soignée. Après c'est sûr qu'il faut adhérer à cet esthétisme très noir. Mention spéciale à Ron Perlman avec qui, d'habitude, j'ai beaucoup de mal. Mais là, il est juste parfait.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 avril 2012
    Etrange et fascinant. Les couleurs sont extraordinaires.
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