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Synopsis
Àla veille du 1er novembre 1938, la nuit s’est abattue sur Cuernavaca et l’animation est déjà vive dans les rues où l’on prépare le Jour des morts. Geoffrey Firmin, ex-consul britannique, erre parmi la foule, ivre mort, pour oublier le départ de sa femme Yvonne. Imbibé de mezcal et rongé par le passé, il est devenu une figure tragique notoire. Mais, au petit matin, Yvonne réapparaît sans crier gare, prête à commencer une nouvelle vie auprès de son mari...
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2 538 abonnés
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3,0
Publiée le 2 août 2012
Je n'ai pas lu le roman réputé inadaptable de Malcolm Lowry mais qui ne l'était pas totalement puisque John Huston, peut-être le cinéaste a avoir le plus adapté de grandes oeuvres littéraires au cinéma, y est parvenu. Peut-être peut-on reprocher un symbolisme de la mort mis en scène de manière un peu trop lourde comme si le spectateur n'était pas suffisamment intelligent pour comprendre qu'elle est ici très prégnante de toute ...
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benoitparis
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82 abonnés
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5,0
Publiée le 8 mai 2009
John Huston est un formidable adaptateur de grandes oeuvres littéraires à l'écran. J'ai lu le roman il y a déjà pas mal d'années. On peut dire schématiquement qu'il joue sur trois registres : l'intime, un couple qui se défait sans rémission, l'Histoire, la montée des fascisme et la proximité de la guerre, et puis toute une construction du récit et un symbolisme ésotériques sous jacent. On pourrait dire que l'alcoolisme lie le les ...
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Henrico
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0,5
Publiée le 12 mai 2010
Pour les honnêtes cinéphiles, la maestria de John Huston n’enlève rien au côté brise burnes d’un film qui s’éternise dans un embrouillamini de circonvolutions scénaristiques un peu vaines et de dialogues tantôt vasouillards tantôt grandiloquents. En outre, devant le jeu superfétatoire d’alcoolique d’Albert Finney, les mêmes cinéphiles se rappellent avec amertume le même type de performance outrancière que l’acteur ...
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Loïck G.
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218 abonnés
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3,0
Publiée le 8 octobre 2020
On aimerait s’arrêter un peu plus sur le roman, son adaptation et la vision du cinéaste qui très vite fuit la ligne du scénario pour mettre en scène avec grandiloquence un grand acteur qui en fait beaucoup trop. Albert Finney dans la démesure de son personnage alcoolique, ex-consul britannique au Mexique, délaissé par sa femme, à la veille de la seconde guerre mondiale. On la pressent dans ce film où la mort rôde à chaque plan ...
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