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Synopsis et détails
Malgré son âge avancé, David Kepesh est un professeur de littérature reconnu pour ses critiques littéraires à la radio. Tout va pour le mieux jusqu'à ce qu'il rencontre Consuela Castillo, jeune exilée cubaine d'une vingtaine d'années à la sensualité envoutante. Pris d'une passion dévorante, tous deux vont entretenir une relation charnelle et sulfureuse. L'esprit de David va peu à peu se consumer dans cet amour et devenir fou...
Co-auteur du script du film qui est lui-même inspiré d'un de ses romans, l'écrivain Philip Roth a remporté en 1988 le très prestigieux et disputé Prix Pulitzer pour son ouvrage "American Pastoral". En 2003, son roman La Couleur du mensonge a été adapté au cinéma par le vétéran Robert Benton, avec dans le rôle principal Nicole Kidman. Philip Roth a en outre été nominé en 2005 pour le Prix Nobel de Littérature.
A propos du scénariste
Nicholas Meyer est surtout connu pour sa contribution à l'univers de Star Trek. Il a en effet signé le scénario de Star Trek II : La colère de Khan et réalisé le film, en 1982. Il signe également les scénarios de Star Trek III : A la recherche de Spok réalisé par Leonard Nimoy, qui prête ses traits au célèbre personnage de Spock. Nicholas Meyer contribue enfin au scénario de Star Trek VI : Terre inconnue, qu'il réalise.
Une Espagnole à paris
Isabel Coixet a réalisé le segment consacré au quartier de la Bastille dans Paris, Je T'aime, en dirigeant notamment les acteurs Sergio Castellitto et Emilie Ohana.
Autant "The Secret life of words" d'Isabel Coixet m'a fait vibrer que, et pourtant dans le même style, "Elegy" m'a ennuyé sur les 3/4 du film. "Heureusement" que la fin surprend et que le drame prend place, heureusement. Le déroulé, surtout la mise en place est bien trop longue mais ce n'est pas le pire. Ce qui me dérange, c'est d'être prêt de 2h avec 2 personnages indécryptables ! En analysant leurs pensées et leurs attentes, on reste devant des portes fermées, c'est assez dérangeant. Le scénario en lui même n'est pas mauvais mais 30 mn de trop. Point positif, un Ben Kingsley sacrément efficace. P. Cruz n'éblouit que par sa plastique et ses larmoiements mais aucun investissement dans le personnage, c'est dommage pour l'intensité, elle est bien trop neutre mais ce n'est pas une grande actrice (Casting ? surement !) Un petit 3/5 !!!
melvin02430
Lovers représente tout à fait le genre de drame que je déteste ! Ce type de drame m'agace fortement , le romantisme m'énerve , la mise en scène est banale , le rythme est vraiment trop plat , l'atmosphère soporifique est pesante et la photographie classique mais la dernière partie étant imprévisible mon jugement change . Une dernière partie bouleversante et sulfureuse . Penelope cruz est parfaitement crédible , toujours aussi resplendissante . Globalement , le scénario ne déclare rien de formidable n'y d'original , c'est bien loin d'être un chef d'œuvre malgré des scènes poignantes et poétiques . D'ailleurs c'est dommage car la bande son est relativement larmoyante mais l'ennui prend vite place et c'est pour ma part très dérangeant . C'est pas mauvais , c'est pas révolutionnaire , pour moi c'est une œuvre qui n'apporte rien au genre . Penelope cruz reste très belle , un charme envoutant et en effet elle est nettement bien filmée . Patricia clarkson est également pétillante , une actrice que j'apprécie . Je suis déçu mais je m'y attendais , je suis pas un admirateur de cette « catégorie » de drame même si ça reste mon genre préféré . Je mets donc la moyenne mais je le note pas sur vingt... je suis mitigé , ce film me laisse trop perplexe , à voir pour la prestation de Penelope Cruz . Un dernier point , je trouve la narration est trop vite épuisante . 2.5/ 5
mayvie
Un film plein de beauté, l'une des meilleures romances jamais réalisées. A quand la sortie sur grand écran ?!!
Parfoisjemetais
Je suis, a little bit disappointed, avec Coixet.C’était déjà le cas lors du visionnage de « Carte Des Sons de Tokyo », et voilà que ça recommence avec ce nouvel opus.
Pourtant, le scénario tient bien le coup.C’était intéressant, ce brossage de portraits de deux gâtés de la vie qui ne trouvent rien de mieux à faire avec les privilèges dont la vie les a honorés que de ce réfugier dans un égoïsme parfait, du fait de l’imperfection de la vie.
Or, à force de vouloir éviter les clichés et le sentimentalisme à tout va, Coixet semble s’être parfaitement égarée, et le spectateur, même rebelle, commence à trouver le temps bien long.Toujours cette bande son glaciale mais qui n’évite pas le rébarbatif.
On se retrouve une nouvelle fois entre le film d’auteur indépendant et la production Hollywoodienne, casting oblige, l’on ne peut plus banale.
J’ai l’impression que Coixet est tombée elle-même dans ce vide stérile que ses personnages sont sensés interpréter.
Kingley et Hopper, des grands parmi les grands, s’en sortent grâce à leur talent. Cruz, de son côté, s’en sort une nouvelle fois avec sa plastique.
flexou
je l'ai vu hier, j'ai adoré. Jamais penelope cruz n'a été aussi bien filmé par un realisateur autre que Almodovar
Simon A.
Wahoo! ... que dire apres un si joli film?Bravo
Bouclette73
WHAOU, ce film est magnifiquement touchant! Une histoire d'amour étonnante jouée par de superbes acteurs. J'adore <3