Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis et détails
Au fond d'une impasse du Faubourg-Saint-Antoine, Leon partage deux pieces avec sa soeur Marie. Dans l'une, il recoit ses clients: il est tailleur. Dans l'autre, Marie recoit les siens: elle est voyante extralucide. Leon se sent pleinement heureux jusqu'au jour ou il apprend ce que Marie lui cachait par affection. Elle se prostitue et Maxime, son pretendu fiance, est son souteneur. Ce jour-la, Leon decouvre aussi l'amour sous les traits d'Arlette, jeune provinciale recueillie par Marie.
Suivre son activité
1074 abonnés
Lire ses 4 025 critiques
1,5
Publiée le 8 septembre 2016
Je poursuis mes incursions dans les raretés du cinéma français avec L’amour c’est gai, l’amour c’est triste, signé du cinéaste assez expérimental et indépendant, Jean-Daniel Pollet.
Bon, et bien ça reste fort moyen. En fait on ne sait pas ce que Pollet veut faire. Est-ce un film expérimental justement, est-ce réellement un film avec un scénario, mais, dans ce cas-là, pourquoi a-t-on le sentiment que c’est aussi long, aussi ...
Lire plus
mazou31
Suivre son activité
42 abonnés
Lire ses 1 030 critiques
4,0
Publiée le 22 août 2014
Joli film, mélange de poésie à la Queneau, de cinéma populiste d'avant-guerre et de Nouvelle vague. Comme le dit le titre, l'amour c'est triste mais dit avec des mots drôles. On est dans la mélancolie, le lunaire mais aussi l'émotion, délicate et tendre. Claude Melki reste égal dans son immense talent de clown triste, plein de finesse, Bernadette Lafont toujours aussi gouailleuse, Jean-Pierre Marielle toujours tagada boum boum ; la ...
Lire plus
tylerdurden
Suivre son activité
28 abonnés
Lire ses 219 critiques
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Une comédie très drôle (sur un sujet qui l'est moins)et touchante grace notamment à l'interprétation de Gilbert Melki et de Jean-Pierre Marielle, très bon en brute épaisse.
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 mai 2009
Malgré un jeu excellent des acteurs, Melki en tête, je ne suis jamais rentré dans ce film, le scénario a trop de mal à émerger.