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Synopsis
Passionné, génial, entier, amoureux de la vie et des femmes, Michel Petrucciani était tout cela à la fois. Mais il a surtout prouvé que l’homme pouvait surmonter la fatalité. Atteint de la maladie des os de verre, qui limita sa croissance, Petrucciani a toujours refusé de se complaire dans la souffrance, porté par un insatiable appétit de vivre et par le jazz qui l’habitait. Grâce à des témoignages drôles et émouvants et à des images d’archives souvent inédites, Michael Radford évoque le parcours d’un artiste hors du commun qui voulait seulement «marcher sur la plage avec une femme à ses côtés»…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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2,5
Publiée le 1 janvier 2012
Passionné, génial, entier, amoureux de la vie et des femmes, Michel Petrucciani était tout cela à la fois. Mais il a surtout prouvé que l’homme pouvait surmonter la fatalité. Atteint de la maladie des os de verre, qui limita sa croissance, Petrucciani a toujours refusé de se complaire dans la souffrance, porté par un insatiable appétit de vivre et par le jazz qui l’habitait. Un documentaire sur un personnage aussi fascinant que ...
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JamesDomb
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68 abonnés
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4,0
Publiée le 29 février 2012
Présenté en séance spéciale au Festival de Cannes 2011, ce documentaire réalisé par Michael Radford (Le Facteur, Le Marchand de Venise) rend un hommage exceptionnel au musicien français Michel Petrucciani (1962-1999), illustré par des images d''archives et d'interviews du pianiste de jazz, de ses anciens collaborateurs et de ses proches, dont son fils atteint comme lui d' ostéogénèse imparfaite. Film de commande - Michael Radford ...
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🎬 RENGER 📼
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3,0
Publiée le 27 août 2011
Que l’on soit un passionné (ou non) de musique, on a tous au moins une fois dans sa vie entendu parler de Michel Petrucciani. Le documentaire que nous livre Michael Radford nous permet d’en savoir d’avantage sur cet homme hors du commun, de sa naissance à ses premières gammes, de ses premières prouesses musicales à son heure de gloire entre Paris & New York (et dans bien d’autres villes du globe). En plus d’avoir été un ...
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Cinephille
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123 abonnés
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4,0
Publiée le 18 août 2011
Bon documentaire sur Petrucciani, sensible, amusant, intelligent, et manifestement assez exhaustif. Si le ton général est plutôt admiratif du personnage il ne masque pas non plus les problèmes de drogue ou la méchanceté de Petrucciani.
Le seul défaut de ce film est le fait qu'on ne sait jamais qui parle. On voit des tas d'interviews, pour certaines personnes on déduit vite de qui il s'agit, pour d'autres on pense que, pour d'autres enfin ...
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L'objectif avoué du réalisateur était de dresser un portrait de l'homme qu'était Michel Petrucciani et non de l'artiste, car c'est selon lui la compréhension de la personnalité de l'homme qui nous donnera les clefs de son œuvre. Aussi, loin de toute rétrospective d'une carrière, Michael Radford a privilégié les connexions émotionnelles à l'ordre chronologique et entremêle la vie de son sujet à celle de ses modèles et sources d'inspiration. Pour l
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Le sens du rythme
S'il est un point sur lequel tous ceux qui ont connu Michel Petrucciani tombent d'accord, c'est son énergie débordante. Condamné par les médecins à une mort précoce (il mourut à l'âge de 36 ans), il voulait avoir le temps de vivre tout ce qu'il voulait vivre. Parce qu'il jugeait ce trait de caractère essentiel pour comprendre la personnalité du musicien, le réalisateur a tenté d'insuffler cette rapidité au montage de son documentaire: "[Sa déterm
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Une découverte
Ce n'est pas la passion qui est à l'origine de ce documentaire. En effet, Michael Radford, qui n'avait pas tourné de documentaire depuis un quart de siècle, s'est vu confier le projet par les producteurs Bruce Marks et Serge Lalou. Il avoue n'avoir jamais entendu parlé de Michel Petrucciani avant de commencer ses recherches. Il est cependant très rapidement fasciné par le personnage.
* * * ~ Que l’on soit un passionné (ou non) de musique, on a tous au moins une fois dans sa vie entendu parler de Michel Petrucciani. Le documentaire que nous livre Michael Radford nous permet d’en savoir d’avantage sur cet homme hors du commun, de sa naissance à ses premières gammes, de ses premières prouesses musicales à son heure de gloire entre Paris & New York (et dans bien d’autres villes du globe). En plus d’avoir été un pianiste de jazz talentueux et de renommée mondiale, Michel Petrucciani était un cas à part, en effet, ce dernier est né avec la maladie des os de verre (appelé aussi "Ostéogenèse imparfaite"), ce qui avait pour conséquences qu’il ne pouvait presque pas marché tout seul ou sans l’aide de béquilles (il était constamment porté par l’un de ses amis lors de ses nombreux déplacements) et il mesurait tout juste un mètre. Handicapé dès la naissance, il ne pouvait donc pas être scolarisé, pire, ses médecins l’avaient condamné à une mort précoce (il mourut à l’âge de 36 ans).Le film de Michael Radford n’est pas avare en anecdotes, des plus utiles aux plus inutiles (on croirait parfois avoir à faire à un magazine people). Les interviews sont nombreuses, de ses collègues, amis, musiciens, connaissances, ex-femmes (ils en a eu plusieurs !) ou même de son fils, ajoutez à cela d’innombrables images d’archives qui nous éclairent et nous en apprend beaucoup sur ce virtuose du jazz. Un biopic touchant, émouvant, sincère et drôle à la fois.
Nelly M.
Excellent documentaire qui replace le personnage de Michel Petrucciani. Le plongeon dans son passé donne à voir ce petit miracle de volonté (alignant plus de 200 concerts quelque temps avant de se résigner à sombrer, à trente et quelques années...). La caméra s'accroche à son jeu des deux mains dont les os plus légers que la normale lui auraient permis ces numéros de haute voltige sur les claviers. Porté comme un enfant, célébré dans le monde entier, le prodige stimulé par les touches du piano qu'il prenait pour des dents rigolardes commettait aussi de petites méchancetés et de sérieux écarts, autant de coups d'accélérateur à son destin. Après le film, ça démange d'écouter son oeuvre de A à Z.