Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Au cœur de la dernière contrée sauvage d’Australie, une communauté aborigène, les Goolarabooloo, doit faire face au projet d’implantation de la plus grande usine à gaz au monde soutenu par le gouvernement. Aborigènes et citoyens solidaires décident alors de s'unir pour défendre ce qui n’a pas de prix : une terre, une vision du monde, et plus que tout, un héritage culturel. Commence alors un combat à l’issue inattendue…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un combat pacifiste , universel et éternel contre un libéralisme de profit immédiat. Des protagonistes touchants qui aiment et respectent leur terre et leurs ancêtres et qui ne demandent rien d'autre que de pouvoir continuer Très émouvant.
Critique de Monique Pantel dans Europe 1
58 abonnés
355 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 27 octobre 2014
En Australie, des aborigènes purs et durs et pauvres se révoltent contre la construction de ce qui sera la plus grande usine à gaz de la planète, qui les rendrait riches mais détruirait leur paradis. Pour qu'un tel sujet passionne, il aurait fallu plus de passion, justement.spoiler: Mais c'est très sympa, et vraiment vrai : les aborigènes ont vraiment vaincu les gaziers.
Alors bravo.
Lire plus
Jean-Paul R.
6 abonnés
1 critique
Suivre son activité
5,0
Publiée le 9 octobre 2014
Ce film est stupéfiant de réalisme, il prouve l'intérêt de la spiritualité et la légitimité de la connexion des humains avec la nature. En un mot: Splendide
C'est après lecture du best-seller de Marlo Morgan, "Message des hommes vrais au monde mutant: Une initiation chez les Aborigènes", que l'idée du documentaire vint à l'esprit de la réalisatrice. "J’ai toujours été intriguée par les capacités humaines dites « paranormales", confie-t-elle. "Et ce livre a éveillé une curiosité viscérale : il fallait que j’aille en Australie rencontrer ces Aborigènes. Après 40.000 kms à travers le pays, dans une aven
Lire plus
Un titre audacieux
Eugénie Dumont confie avoir opté pour un titre en anglais, afin de "conserver la notion d’«Heritage», chère aux aborigènes". Elle ajoute : "en anglais, ce terme signifie plus volontiers qu’en français « le patrimoine », ce que l’on se transmet de génération en génération. Les Aborigènes l’utilisent pour désigner le territoire et la responsabilité d’en prendre soin pour assurer le legs à la descendance. C’est donc à la fois une valeur familiale et
Lire plus
Trouver sa place
Eugénie Dumont n'avait que 23 ans lorsqu'elle commença à tourner le documentaire, et son jeune âge s'est révélé un atout, lui permettant de s'intégrer et se faire une place auprès des Goolarabooloos. "Ils m’ont accueillie dans la famille comme une enfant à éduquer. J’ai rencontré timidement chaque membre de la tribu. Ma timidité était engendrée par leur réserve. Les Aborigènes ne donnent pas tout, tout de suite. Ils me racontaient un peu, puis s’
Lire plus