Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Dans une petite ville balnéaire animée seulement par le carnaval et la période des vacances, cinq jeunes gens mènent une vie de désoeuvrés, d'inutiles, qui leur vaut d'être appelés "Vitteloni", "les grands veaux"...
Une chronique fraîche, attachante mais sans concession d'une certaine jeunesse italienne. Les acteurs sont tous excellents mais mention spéciale tout de même à Franco Fabrizi très convaincant et très humain dans le rôle d'un séducteur impénitent. Ce film, un de ses portraits de groupe que Fellini aimait à réaliser, est le premier chef d'oeuvre de son réalisateur.
Eowyn Cwper
70 abonnés
2 016 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 31 octobre 2017
Il y a déjà peu à dire d'une oeuvre pour laquelle atteindre la perfection ne semble pas si impossible. Mais quand on apprend que c'est une histoire en grande partie autobiographique de Fellini, on est presque sans voix. D'autre part cela explique le réalisme des reconstitutions sociales et familiales à l'écran, le tout composé avec une telle justesse qu'on ne peut même plus en accorder le mérite à son seul talent. En plus, c'est une ...
Lire plus
Maqroll
113 abonnés
1 123 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 9 mai 2010
Le deuxième film à part entière de Fellini et son premier chef-d’œuvre. Satire impitoyable mais sans une once de férocité de la société italienne provinciale des années cinquante avec la description de cette bande de cinq grands enfants, cinq « grands veaux » inutiles et feignant d’être blasés, en fait terrorisés par la vie et faisant tout pour qu’elle leur glisse entre les doigts sans risque de s’y brûler. ...
Lire plus
il_Ricordo
91 abonnés
407 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 7 janvier 2012
Les Vitelloni n'est pas seulement le premier film important de Federico Fellini, c'est surtout le film qui pose les bases de tout l'univers fellinien. Entre scènes oniriques, spectacles de music-hall et carnavals, Fellini laisse libre cours à son imagination visuelle pour composer un tableau tout à la fois enchanteur et mélancolique de sa jeunesse. L'action se passe à Rimini (ville dont Fellini est originaire), au bord de la mer, cette même ...
Lire plus
Depuis son premier long métrage Le Cheik blanc en 1952, Federico Fellini confie la musique de ses films à Nino Rota. Le compositeur travaille ainsi sur quinze films du réalisateur, signant entre autres les mélodies de La Strada, La Dolce Vita, Huit et demi, ou Amarcord. Leur collaboration est interrompue par la mort de Nino Rota en 1979.