Homesick

C'est loin d'être le premier film à briser le spoiler: tabou de l'inceste. Déjà en 1966 le suédois Vilgot Sjöman dans "Ma sœur, mon amour"( avec Bini Anderson) s'attaquait au thème avec brio. Mais en ce temps de pudibonderie maladive, revenir sur le sujet n'est pas vain. Alors évidemment on peut s'interroger sur certains axes narratifs et notamment sur ce recours à la violence dont on ne perçoit pas l'évidence. Sinon le ...
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Un scénario auquel on en croit pas trop, un peu grotesque, un peu tiré par les cheveux. ce n'est pas tant le côté "dérangeant" ou" immoral", mais plutôt incohérence du récit et du cadre social. On frôle même parfois le ridicule, et les acteurs sont tout juste correct. Une petite production plus proche d'un TV film.

Vraiment totalement dépourvu de sens d’explication de trame de dialogue …
A la base pas pour me déplaire de réfléchir , mais là il n’y avait pas matière c’était juste bizarre