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Synopsis
Novembre 2016 : les États-Unis s’apprêtent à élire leur nouveau président. AMERICA est une plongée vertigineuse au cœur de l’Arizona, à la rencontre des habitants d’une petite ville traversée par la Route 66, les héritiers cabossés du rêve américain qui nous livrent leurs espoirs et leurs craintes.
Anecdotes de tournage, notes d'intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties…
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Quoi de mieux pour comprendre comment Donald Trump est parvenu à la présidence des Etats-Unis qu'une plongée au fin fond de l'Arizona à la rencontre de l'Amérique profonde ? L'idée me paraissait bonne mais "America" ne m'a finalement que moyennement convaincu. Claus Drexel donne la parole aux Américains moyens en abordant les thématiques du port d'armes, de la peine de mort, de la sécurité sociale, de l'immigration pour montrer le ...
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WutheringHeights
91 abonnés
930 critiques
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4,5
Publiée le 20 mars 2018
America dresse le portrait d’un pays complexe, attaché à son port d’armes et nostalgique d’un certain rêve américain, celui des pionniers. Passionnant.
VILLE.G
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1,5
Publiée le 23 mars 2018
Très ennuyeux et prétentieux. Pas vraiment d’intérêt d’interroger les gens les plus paumés d’un bled de l’Arizona (les serveurs des bars ou des retraités pour la plupart) et de filmer les endroits les plus détruits du coin. Ça ne dit rien de la réalité de l’endroit et c’est très ennuyeux. Les quelques beaux paysages ne suffisent pas à sauver l’affaire.
willy holden
2 abonnés
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1,0
Publiée le 24 mars 2018
Un film complètement raté, hormis les images sous influence Stephen Shore. C'est dommage car il y avait matière à faire un grand film, avec les paysages et les habitants de ce bled de l'Arizona dont finalement on n'apprend rien.. Le vide sidéral... Le réalisateur n'a rien compris à cette Amérique un peu white thrash et les raisons pour lesquelles elle a choisi Trump plutôt que Clinton. Le plus consternant ce sont les questions du ...
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Après avoir filmé les sans-abris parisiens dans Au bord du monde, Claus Drexel s'est intéressé aux Etats-Unis, un pays qu'il aime et qui le désespère à la fois. Le metteur en scène explique : "En mai 2016, quand Donald Trump est devenu le candidat officiel du parti républicain, j’ai ressenti une certitude : cette campagne qui s’annonçait entre lui et Hillary Clinton, je voulais la vivre sur place. J’ai appelé Sylvain Leser, mon fidèle directeur p
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Le choix du Far West
Dans America, Claus Drexel a cherché à faire en sorte que le paysage filmé raconte quelque chose de l’intimité des personnes dont il fait le portrait (comme il en était de même que dans Au bord du monde avec la beauté de l'architecture parisienne reflétant la beauté intérieure des clochards). Il développe : "Pour ce nouveau film, où nous allons à la rencontre de "Rednecks", ces Américains profondément attachés à leur pays, il nous fallait un symb
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Le choix du 14 mm
Claus Drexel et son équipe ont réalisé tout le film en 14 mm, une focale très courte permettant d’inscrire les gens dans un cadre qui raconte quelque chose d’eux, un objectif qui place à bonne distance, respectueuse. "Bien sûr, avoir une seule focale n’est pas toujours très pratique, notamment pour filmer les paysages, mais ça oblige à être sûr de son cadre, à être constamment rigoureux. La contrainte est souvent source de créativité", se rappell
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La déconfiture de l'arrogant Yann Barthès lors de l'élection de Trump faisait plaisir à voir ! Il est encore parfois drôle, mais il l'est de moins en moins et est par contre de plus en plus dans la propagande pensée unique . Il est très méprisant pour ceux qui ne partagent pas ses idées = mauvais point. Bref, il est à présent plus dans la politique que dans l'animation à proprement parler. Je ne ratais jamais le Petit Journal de Canal Plus, plus léger, plus dans la satire mais je zappe fréquemment Quotidien. Il s'y prend trop au sérieux.
gaut zila
Je n'ai jamais qualifié les électeurs de Trump de naïfs. C'est sans doute une erreur, pas de soucis.
gaut zila
Je ne vois pas bien en quoi le système a changé avec l'arrivé de Trump, mais peu importe ce n'est pas le lieu pour en discuter. Si vous voulez parler du film, parlons en, mais n'entrons pas dans un débat qui n'a pas lieu d’être
MGM-ranger
Tout à fait. La destruction systématique de l'image de Trump par les médias français n'est pas neutre : le catastrophisme mensonger de sa présidence relève d'une véritable propagande visant à faire passer aux français l'envie de renverser en France le système vaincu par Trump aux États-Unis.
C?venole30
Ce commentaire s'adressait à la personne qui avait évoqué la naïveté des électeurs de Trump car il semblerait bien aujourd'hui que sa rivale ne soit pas vraiment tout à fait celle qu'elle prétend être et qu'eux finalement ne s'y sont pas trompés. Si ce n'est pas vous qui avez employé ce mot, je vous prie de m'excuser de cette erreur. Mais le mot a peut-être disparu ...
nikos182
j'aurais du dire états du sud si tu préfère (Arizona, nouveaux Mexique, texas).Et sinon ne te méprend pas mon propos remettait en cause les médias pas ce documentaire qui a l'air bien fait et qui ne juge pas les gens qu'il filme. Le seul reproche que je pourrais lui faire c'est le choix de son affiche qui tend a faire croire que son propos principal est l'élection de Trump.Je ne suis ni pro ni anti trump, ni pro ni anti obama
gaut zila
Je n'ai porté aucun jugement de valeur, que ce soit sur Trump ou sur Clinton. Et le film non plus d'ailleurs. Je ne vois pas bien ce que votre com fait sous le mien
gaut zila
Oui 'fin là c'est de l'Arizona dont on parle, pas du Texas ! Faut pas tout mélanger...Et puis je ne vois pas où est le problème. Le film ne veut pas parler des déçus d'Obama mais des supporteurs de Trump ! Si tu veux un film anti-Obama regarde le documentaire 2016: Obama's America, qui a pris la tête du box-office des documentaires aux Etats-Unis en 2012
gaut zila
Bon alors déjà la paranoïa on oublis, le président n'a aucun contrôle sur l'industrie audiovisuelle (sinon tu crois pas que des films comme Snowden seraient interdits par exemple ?). De plus qu'ici c'est un film français distribué par une société indépendante (Diaphana Distribution) donc bon ça va, je pense que le Donald ne peut pas grand chose contre eux^^Ensuite, as tu vu le film ?? Non parce que c'est très humain comme documentaire ! On est loin des clichés du pro-Trump raciste et sexiste. Le film présente les pro-Trump comme des gens paisibles, qui veulent défendre leurs libertés, et qui aiment leur pays. Une femme remercie même le réalisateur à un moment de bien vouloir s'intéresser à eux, et à leur vision de l'Amérique. Par moment je me suis même demandé si ce n'était pas pro-Trump justement !
nikos182
C'est pas ceux la que Trump a réveillé, le texas a toujours voté républicain !! Trump a été élu parce que les Latinos ont votés pour lui en Floride et parce que les Etats du Nord, des grand lacs ont voté pour lui Wisconsin, Michigan et Pennsylvanie qui pourtant votaient démocrate auparavant (échec des années Obama et dans ces régions avec désindustrialisation massive). Les médias Français ne veulent pas en parler parce que ca va a l'encontre de leur propagande de la bien pensance et qu'il ne veulent pas parler de la réalité quand celle ci ne va pas dans leur sens.Ils pourraient s'interroger aussi pourquoi les femmes ont voté en majorité pour Trump... Mais non ils nous ressortent comme d'hab les bouseux du fins fond du Texas qu'on connaît par cœur deja tellement ils sont dépeint dans tous les films américains qu'ont voit (comancheria, no country for old men etc la liste est longue)
C?venole30
Ce peuple de l'Amérique profonde a préféré croire, naïvement selon certains, en Trump, le milliardaire qui veut défendre leur vision de l'Amérique qu'ils aiment. Mais quand on voit aujourd'hui que Hillary Clinton tient des propos sexistes dégradants pour les femmes et se félicite, elle, la représentante de la gauche américaine, d'avoir gagné dans les états qui représentent les 2/3 du P.I.B. il y a de quoi se poser des questions sur sa sincérité. Et si le méchant n'était pas si méchant et la gentille n'était pas si gentille ?
qatare
Mais arrête de croire que ce n'est pas un film anti-trump, ils l'ont alléger pour avoir de bon retour, ils savaient que si ils faisaient un doc haineux, les pro trump, qui sont nombreux allait spammer des critiques négatifs. Et puis les producteurs ont peur pour leur avenir, il ne faut pas se facher avec un président qui peut controler l'industrie audiovisuelle.
Le film d'Ariane
@Allociné : ce n'est pas un film américain mais français !
gaut zila
Avant même son arrivée au pouvoir, Donald Trump est accusé d'être coupable de la chienlit dans laquelle les politiciens, les intellectuels, les artistes et les entrepreneurs véreux ont foutu le pays.--> Non le film ne dit rien de tous ça sur Trump, ce n'est pas un film de propagande (voir mon com plus haut)Sans se demander si son élection n'est pas justement une réaction saine à leur ultra incompétence.--> Si, c'est le but du film justement et il le fait très bien.Trump par son parcours incarne bien plus le rêve américain qu'Obama, Clinton et consorts--> Je ne vois pas le rapport, mais non pas vraiment puisque le rêve américain consiste à dire qu'à force de travail on peut arriver à tous, hors Trump était déjà riche à la naissance, là où Obama et Clinton ont dû travailler dur (à l'école notamment) pour réaliser leurs rêves, et ce alors qu'ils partaient avec un handicap non négligeable à l'époque (couleur de peau pour Obama, sexe pour Clinton)Réalisateur allemand. Ils osent encore donner des leçons eux? Vu l'état dans lequel est le pays.--> Il ne donne pas de leçon, il fait un portrait de l'Amérique. Et quand bien même ce serait le cas, pourquoi ne pourrait il pas ? Tu voudrais interdire à tout un pays le droit à la liberté d'expression ?
gaut zila
Je l'ai vu en avant première, et pour ceux qui se posent la question, non ce film n'est pas un film de propagande anti-Trump. Le film est une série d'interview de supportaires du bonhomme, la fameuse majorité silencieuse que Trump a réveillé durant l’élection. Ces gens expliquent en quoi le message de Trump leur est apparu intéressant et expliquent leurs vision du monde qui peut parfois être caricaturée ou incomprise, en France notamment. Niveau mise en scène, le film est lent et mélancolique, sa volonté n'est pas de placer de l'espoir dans le message de Trump mais bien de pointer le désespoir de ses militants. Super portrait d'une Amérique malade.
Docteur_Kino
heu .. oula non.. je voulais mais non ... pas de commentaire (voir ci dessous ) ... wooh ça va être limité la, si je ne peux commenter que les Disney et les films suédois...la raaageee ..
Mario B.
Haha, sacrés propagandistes. Avant même son arrivée au pouvoir, Donald Trump est accusé d'être coupable de la chienlit dans laquelle les politiciens, les intellectuels, les artistes et les entrepreneurs véreux ont foutu le pays. Sans se demander si son élection n'est pas justement une réaction saine à leur ultra incompétence. Trump par son parcours incarne bien plus le rêve américain qu'Obama, Clinton et consorts. Réalisateur allemand. Ils osent encore donner des leçons eux? Vu l'état dans lequel est le pays.