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Synopsis
Lil’ Buck, jeune prodige de la street dance de Memphis baptisée « jookin’ » est rapidement devenu l’un des meilleurs danseurs de la ville avant de décider de prendre des cours de ballet. De cette alchimie va naître un mythe, celui d’un virtuose défiant la gravité, réconciliant deux styles et s’imposant comme une référence pour des artistes comme Yo-Yo Ma, Benjamin Millepied, Spike Jonze ou encore Madonna.
Anecdotes de tournage, notes d'intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties…
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Quelle trouvaille!! Encore un pseudo documentaire sur un chorégraphe américain! Le film est lourd et se traine lamentablement. On a deja vu ça cent fois cette année. Une réalisation molle qui surligne sans talent, sans rythme ni ferveur et qui ne nous apprend rien que nous ne sachions déjà sur ce jeune prodige.
Yves G.
976 abonnés
2 916 critiques
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2,0
Publiée le 15 novembre 2020
Lil Buck – né Charles Riley – est devenu une icône de la danse contemporaine. Il a grandi à Memphis et y a pratiqué très jeune le "jookin", une danse urbaine cousine du "gangsta-walk". Il complète sa formation au "New Ensemble Ballet" de Memphis avant de partir poursuivre sa carrière en Californie. En 2011, le réalisateur Spike Jonze filme sur son téléphone portable son interprétation du "Cygne" de Camille Saint-Saëns accompagné ...
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Loïck G.
223 abonnés
1 485 critiques
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3,5
Publiée le 19 décembre 2020
L’histoire pourrait être classique, traditionnelle en forme de conte de fée, mais il n’en est rien . Tout petit Charles Riley dansait comme il le sentait. Comme il pensait pouvoir s’exprimer. Aujourd’hui il s’appelle Lil’Buck et rayonne sur la planète de la danse entre jookin et hip-hop, mâtinés de gestes classiques appris au New Ballet Ensemble de Memphis, ville où il a grandi à l’écart des gangs et des mauvaises ...
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Joyeux
79 abonnés
90 critiques
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2,5
Publiée le 15 août 2020
Suivant le parcours de Lil Buck du "Ghetto de Memphis aux étoiles de la danse classique", ce film rempli ses promesses avec une esthétique à couper le souffle. Mais cela s'arrête là. Si le milieu du jookin est interrogé pour son côté expressif et "gangsta", celui du classique n'est jamais sorti de son pied d'estale, renforçant ainsi la distinction entre une sous-culture noire d'un côté et une culture légitime de l'autre. Comment ne ...
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Après des études de philosophie et de musicologie à l’EHESS, Louis Wallecan travaille comme assistant du producteur François Duplat chez Bel Air Media pendant deux ans. Il parcourt les salles d’opéra à travers le monde : Bolchoï, Scala, New York City Ballet entre autres, un univers qui le passionne et le forge au contact des artistes et des tournages de captations. Il réalise ensuite deux documentaires en Inde et à La Réunion pour France Tél
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L'idée du film
Louis Wallecan a rencontré Lil Buck quand il travaillait sur mon documentaire sur Benjamin Millepied à Los Angeles. "Je suis rentré en studio un jour où ils répétaient tous les deux. Lil Buck était en train de danser sur une musique de Nick Brittel, un arrangement de Jean-Sébastien Bach. Millepied chorégraphiait un mouvement avec Lil Buck et deux autres danseurs, Ron Miles et Kaviar. J’ai été ému dès la première seconde où je l’ai vu da
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Filmer la danse
Louis Wallecan utilise beaucoup de plans larges dans les scènes de danse. "J’avais envie de filmer la danse sans découper par bout. Pour voir l’environnement dans lequel elle se produisait et l’ancrer dans ce décor urbain naturel. J’avais envie de raconter des histoires à chaque danse. On a travaillé comme ça avec les danseurs. Et puis Lil Buck vient du classique, et le classique se filme en plan large. Donc il doit y avoir cette volont
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