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Scénario fourre-tout, louchant sans vergogne du côté à la fois de Mankiewicz, pour "The Ghost and Mrs Muir" (avec son fantôme de.... capitaine dans la marine), mais sans poésie, et de Hitchcock ("Psycho" - l'époux défunt remplaçant la mère ; la maison "gothique"..), mais sans même l'ombre du génie de Sir Alfred - avec embranchements divers côté ambiance grand-guignolesque et films d'horreur, entre giallo transalpin et différentes ...
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Sterwerze
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2,5
Publiée le 5 septembre 2020
Le film part d'une bonne idée, avec de bons acteurs et de bonnes scènes flippante... mais j'ai l’impression qu'au fur et a mesure que l'on avance dans le film l'histoire s'essouffle jusqu'à faire de nombreux clichés et à devenir incompréhensible à sa fin.
cinono1
194 abonnés
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1,0
Publiée le 9 août 2021
C'est raté. Le réalisateur avait pourtant réussi à instaurer une ambiance étrange au début. Le duo d'actrice était bien installé. Hélas le mystère fait peu à peu place au grand guignolesque. La mise en scène est si plate qu'on finit par rire des situations. Et puis entendre la si classieuse Jacqueline Bisset balancer des vulgarité, dur de s'en remettre
Ciné-13
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2,0
Publiée le 29 octobre 2021
Poussiéreux téléfilm avec abus de zooms sur des détails futiles masquant l'absence de budget.
Jacqueline Bisset joue la folle d'une manière très amateur.
Cette idée de faire vivre ce mannequin est un peu glauque. Pourquoi cette jeune et belle aide-soignante est contaminée par cette vieille tarée?
La musique est terrifiante quand les 2 femmes s'affrontent dans l'escalier.
Mais la folie s'accompagne de faits invraisemblables (bouquet de ...
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C’est après avoir été confronté à un deuil que le scénariste Ollivier Briand a eu l’idée de Messe Basse : « ça me faisait du bien de conserver des objets liés à cette personne, et même de lui parler. Pourtant je ne crois ni à l’au-delà, ni aux fantômes, mais force est de constater qu'une disparition n'interrompt pas complètement une relation. C’est ainsi que j’ai eu l’idée d’une veuve qui irait jusqu’à fabriquer un artefact de son mari pour conti
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Relever un défi
Messe Basse est le premier long-métrage de Baptiste Drapeau. Il porte à l’écran le scénario d’Ollivier Briand. Réaliser ce huis clos à petit budget était un défi pour lui car il s'agit d' « un exercice de style qui exige beaucoup d’inventivité et où tout passe par la mise en scène. Un huis clos appelle une grande rigueur dans l’articulation du récit : il y a peu d’actions, de décors et de costumes, et l’espace doit être réinventé par le découpage
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La maison
La maison apparaît comme le troisième personnage du film. Comme il n’était pas possible de construire tout le décor en studio, il a fallu trouver la bonne maison. Le réalisateur souhaitait un décor qui « rappelle symboliquement le cliché de la maison des films d’horreur comme celle de Psychose. Une grande maison, relativement isolée, avec du cachet, pour mieux détourner le cliché ensuite ». L’équipe a jeté son dévolu sur une demeure située dans l
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