Il y a dans Le Dernier refuge cette patience, cette empathie, cette tendresse qui ne s’invente pas et qui fait qu’on n’oublie pas ces êtres qui doivent décider s’ils tentent l’aventure. C’est cette écoute de l’entre-deux, de la tension face au danger du voyage vers l’Algérie, du trouble face à sa propre traversée du désert, qui participe de l’intensité ressentie, cette épaisseur humaine qui ravive une conscience fragile ...
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