Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
Pablo, Meca et Sebas vivent de petits coups, qui leur permettent de prendre du bon temps. Maigres profits, mais pour de maigres besoins ; et l'amitié passe avant tout.
Un soir, après un braquage de voiture, ils rencontrent Angela, serveuse dans un bar.
Angela découvre rapidement la vie dangereuse mais indépendante que mène le trio. Elle aime le danger et le luxe. Petit à petit, la bande s'habitue à une vie facile et, de petits larcins en hold-ups, s'enfonce dans le grand banditisme.
Suivre son activité
462 abonnés
Lire ses 3 469 critiques
4,0
Publiée le 9 juillet 2017
Quatre jeunes espagnols, à peine sortis de l'adolescence, gagnent leur vie en multipliant les braquages à mains armées. Si le scénario est plutôt simple, on peut compter sur Carlos Saura pour le mettre en valeur et en tirer toute l'émotion et la passion nécessaires. Un très bon film qui s'appuie en plus sur une excellente bande originale.
scorsesejunior54
Suivre son activité
127 abonnés
Lire ses 694 critiques
2,5
Publiée le 27 mai 2008
Ours d'or à Berlin en 1981, "Vivre vite" est depuis quelque peu tombé dans l'oubli à côté de l'ensemble de la filmographie de Carlos Saura. Pourtant, il mériterait aujourd'hui d'être redécouvert et demeure un bel exemple de film réussi tourné avec trois fois rien... Bricolé en fait, écrit à la va-vite par le cinéaste et ses jeunes comédiens (alors amateurs si je ne m'abuse), ce long-métrage est à l'image de son titre et de son ...
Lire plus
pietro bucca
Suivre son activité
33 abonnés
Lire ses 1 151 critiques
4,0
Publiée le 3 décembre 2012
Un film sur une jeunesse espagnoles paumées.Une sorte de "tueurs nés"de l'epoque,sauf qu'a la difference ce film est interressant.Un couple et leurs amis totalement a la derive,ne reculant devant rien pour vivre en totale liberté s'enfoncant dans un point de non retour.Meme la musique de "los chunguntos" qui accompagne le film est excelente.Je conseille ce film peu connu a tort.
soulman
Suivre son activité
45 abonnés
Lire ses 1 007 critiques
2,5
Publiée le 16 janvier 2015
Une chronique du désœuvrement et de la violence dans l'Espagne du début des années 80. Si l'interprétation rend le film attachant, le scénario, qui tourne en rond et s'achève de manière prévisible, manque d'originalité, tout comme la mise en scène peu inventive. Reste la chanson de Los Chinguitos, "Ay qué dolor", dont les Hots Pants feront une excellente reprise dans leur seul album (pré-Mano Negra).
À sa sortie en 1981, Vivre Vite a été interdit aux mineurs par la Commission de classification. Raison invoquée : la fascination que pouvait exercer ces personnages à la vie dissolue sur le public.
Au centre du monde
Vivre vite se déroule à la Colline des Anges, qui marque le centre géographique de la péninsule ibérique. On devine dans ce choix la recherche d'universalité voulue par le réalisateur Carlos Saura.
Authenticité
Pour tourner Vivre Vite, Carlos Saura a recruté de véritables délinquants. Deux de ces non-professionnels, recrutés sur le terrain, ont même été arrêtés peu après le tournage pour avoir braqué une banque.
"La fureur de vivre" espagnol sur fond de flamenco pendant l'ère franquiste, tendre et violent, rebelle, insoumis, poétique, un film culte...
Nelly M.
Projeté au 21ème festival espagnol de Nantes 2011 avec accueil chaleureux de Carlos Saura (respirant la santé faite homme !), ce film méconnu et qui semble depuis 1981 avoir pourtant inspiré moult réalisateurs du fait d'une actualité transgressive toujours plus exploitable. Qu'importe si on a fait mieux techniquement, parfois en y ajoutant une dimension d'humour noir et du sexe bien brut (je pense au britannique "Rebels whithout a clue" de 2007 entre autres...) les beaux yeux de la jeune barmaid allument suffisamment pour qu'on ait envie de tout savoir sur sa trajectoire de petite frappe convertie. Ils en vivent des audaces et des frayeurs mais ce n'est jamais choquant car plein de cette mansuétude du "il faut que jeunesse se passe" encore de mise dans les eighties, loin du virtuel confondu avec le réel d'aujourd'hui.