ce n'est pas la première fois que je vois ce film et à chaque fois je le regarde de manière différente;
c'est le genre de film qui rend intelligent, tout y est parfait, le jeu des acteurs(trices), les dialogues ciselés, jamais un mot de trop ou mal placé. ces soeurs carmélites vues comme des "contre-révolutionnaires" et menées à l'échafaud est très émouvant; à une époque où le religieux reprend une place importante
dans la vie ...
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weihnachtsmann
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551 abonnés
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3,5
Publiée le 29 janvier 2021
C’est « l’intrusion intolérable de la Terreur du monde dans le monde pieux et doux de la religion » qui est au cœur du récit. On y sent cette peur dans la scène où les soldats défilent. Les yeux des femmes paniquent sans savoir. L’incompréhension est aussi dans les recoins où les sœurs se cachent. La nuit peut leur être une alliée. Le monde résiste mais la révolution est avide de destruction Beau film
Un visiteur
4,5
Publiée le 3 janvier 2017
Le Dialogue de Carmélites est librement inspiré du destin tragique des religieuses de Compiègne . Très sobre , cette œuvre cinématographique nous plonge dans l'univers des couvents . Nous découvrons la dignité et le courage des sœurs face à la révolution . Victimes , mais victimes d'amour .
marc sillard
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1 abonné
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4,5
Publiée le 27 décembre 2022
Très sobre, très beau. Pas de lourdeurs : quand les carmélites dialoguent ou quand elles chantent cela ne dure pas des heures et les séquences s'enchaînent sans traîner. Beaucoup de retenue : on ne montre pas les têtes coupées à la guillotine. On voit que le RP Bruckberger, dominicain, a dirigé tout cela de main de maître. Du travail de pro. Les actrices-carmélites et leur aumônier-acteur Georges Wilson ont parfaitement assimilé ...
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tres beau film, et tres beaux dialogues!un bel angagement aussi, pris en toute liberté. 2 moments particuliers: quand le comissaire perquisitionne le couvent, la clarté des propos de la soeur (mère Marie) et le procès avec Fouquier-Tinville: les chefs d'accusation délirants... la terreur, comme dans toute dictature, qui a besoin de victimes et qui a surtout besoin de se justifier par des parodies de proces.