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Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
Confesseur dans un couvent retenant des femmes recluses, un prêtre un peu trop zélé encourage la mère supérieure à leur appliquer les mêmes règles astreignantes d'abstinence que celles imposées aux nonnes. Il découvre alors que certaines de ces soeurs, frustrées par les effets de cette discipline excessive, s'adonnent à des pratiques sexuelles hors normes. Ainsi, au coeur même du couvent, circulent du poison, des objets de luxures, et d'autres turpitudes déclenchant de véritables scandales.
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1 554 abonnés
Lire ses 4 052 critiques
4,0
Publiée le 27 janvier 2017
Intérieur d’un couvent est un Borowczyk assez peu connu, qui souffre peut-être de son caractère nunsploitation, sous genre plutôt décrié et peu valorisé, qui, il est vrai, a produit aussi pas mal de nanar lourdingues !
Ce serait pourtant dommage de passer à côté de ce métrage qui vaut plus que son côté film d’exploitation basique.
D’abord car visuellement la réussite est indéniable. On retrouve le style du réalisateur : ...
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BlindTheseus
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207 abonnés
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5,0
Publiée le 3 mars 2008
Les beaufs de gauche qui s'ahabillent mal exprès me font - de toute façon - rire.
gimliamideselfes
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2 327 abonnés
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2,5
Publiée le 12 avril 2012
Je ne vais pas redire tout mon amour pour la nunsploitation, malgré que je n'ai pas vu tant de bons films dans ce genre que ça. Il faut sauver le génial : le couvent de la bête sacrée et Les Diables de Russel, à mon humble avis.
La question qui me brûlait les lèvres avant de lancer le film, c'est de savoir s'il y aura quelque chose à sauver, parce que bon ça peut aussi être sacrément chiant comme film.
C'est un film sympathique pour ...
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Christian M.
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3,5
Publiée le 24 janvier 2017
Un film d'une grande beauté plastique que l'on peut d'avantage voir comme une ode à la sexualité féminine bafouée que comme une oeuvre blasphématoire.Le réalisateur nous a quitté récemment sans que la presse en fasse beaucoup d'écho. C'est fort dommage car il a signé des oeuvres comme "La bête " "les contes Immoraux" ou l'excellentissime "Dr Jekill et les femmes" qui garderont une place à part entière dans le cinéma indépendant et ...
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