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Synopsis
Interdit - 16 ans
Une jeune fille est suspectée du meurtre de son amie, une femme plus âgée avec laquelle elle entretenait une relation pervertie. Placée dans une maison de redressement tenue par des religieuses, elle reçoit la visite d’un magistrat, d’un pasteur, ainsi que d’une jeune avocate qui ressemble étrangement à son amie défunte. Pourvue d’une imagination fertile, la jeune fille mélange ses rêveries d’enfant à une sensualité déjà très consciente, opérant sur les adultes qui l’approchent une modification sournoise de l’esprit comme de la chair…
Nora (Olga Georges-Picot) a été tuée d’un coup de ciseau, son amie Alice (Anicée Alvina) est-elle coupable ? De l’enquête émergent surtout des fantasmes.
Le film a une grande beauté formelle, portée par de magnifiques portraits, de belles images, et une alchimie sonore assez envoutante ; il y a quelque chose de Godard dans la manière de présenter. Malheureusement ceci n’est au service que de fantasmes esthétisants, ne créant ...
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Estonius
2 473 abonnés
5 225 critiques
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4,5
Publiée le 17 novembre 2013
Ce film est une ode à Anicée Alvina, construit pour elle et autour d'elle et c'est tout simplement magnifique, les images sont à la fois troublantes et splendides distillant un érotisme subtil. La narration est déroutante mais c'est volontaire, on sait très bien que ces cellules aux murs blancs immaculés gardées par des religieuses n'existent pas, pas plus que les inquiétants sous-sols. Alors, ce qu'on voit ce sont (peut-être) les ...
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BlindTheseus
249 abonnés
2 566 critiques
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4,0
Publiée le 25 avril 2009
Style particulier pas accessible à tout le monde, l'absurde donne bien souvent naissance à des oeuvres intéressantes et/ou provocatrices - comme en ce cas présent -; et surtout pour des scènes de cachot pas piqués des hannetons, malgré un effilochement singulier de l'histoire.
chrischambers86
11 958 abonnés
12 157 critiques
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0,5
Publiée le 23 juillet 2009
Sur la base d'un film policier, le rèalisateur Alain Robbe-Grillet propose une dèconstruction du rèel, qui livre une certaine idèe de la beautè cachèe derrière l'indicible! Malheureusement ici tout n'est que ennui avec comme toujours un goût pour les intrigues qui se font et de dèfont, les personnages qui se dèdoublent, se multiplient et se confondent! "Glissements progressifs du plaisir" se prèsente donc comme un polar avec des ...
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Avec Glissements progressifs du plaisir, Alain Robbe-Grillet retrouve pour la troisième fois Jean-Louis Trintignant. Leur collaboration remonte à 1967 sur Trans-Europ-Express, puis l’année suivante avec L'Homme qui ment où l’interprète a reçu l’Ours d’argent du meilleur acteur au Festival du film de Berlin. Ils renouvelleront une dernière fois leur association en 1975 avec Le Jeu avec le feu.
On ne change pas une équipe...
En 1975, Alain Robbe-Grillet, le "pape du nouveau roman", réunit une bonne partie de l’équipe de Glissement progressifs du plaisir pour son nouveau film, Le Jeu avec le feu. Dans ce long-métrage, on retrouve notamment Jean-Louis Trintignant, Anicée Alvina et Nathalie Zeiger du côté des comédiens, mais également Yves Lafaye à l'image, Michel Fano à la composition et Luc Béraud en tant qu'assistant réalisateur.
Isabelle Huppert figurante !
Isabelle Huppert a fait ses débuts au cinéma dans Glissements progressifs du plaisir avec un petit rôle de figurante.