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Synopsis
Un concert gigantesque déchaîne les passions sur une planète très éloignée de la Terre. Un groupe d'hommes armés et masqués, qui guettait dans les coulisses, l'interrompt brutalement. Le commando fait irruption sur scène et enlève les quatre musiciens. Les idoles des jeunes cosmiques sont secrètement envoyés sur Terre, à la merci d'un influent producteur de musique. Leur mémoire est effacée. Leur apparence physique transformée et c'est sous une nouvelle identité que le groupe s'impose bientôt comme l'une des formations vedettes de la scène électronique. Un pilote de l'espace, amoureux de la chanteuse, entend ne pas en rester là. Un projet ambitieux réunissant la musique de Daft Punk et le talent plastique de Leiji Matsumoto, Prix du manga K dansha en 1972.
La sélection de la Quinzaine des réalisateurs, section parallèle du Festival de Cannes, vient d'être rendue publiques. Vingt-cinq…
vendredi 25 avril 2003
Critique Presse
Les Inrockuptibles
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un album généreux, servit avec une long métrage animé par le créateur d'Albator. Les musiques match très bien avec les "clips" et donnent encore plus d'intensité aux scènes, un classique à voir si on est fan des daft punk, d'Albator et de bonne expérience audiovisuelle
Vinz1
214 abonnés
2 583 critiques
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4,0
Publiée le 25 janvier 2020
« Interstella 5555 » est un film-concept muet avec comme bande originale le superbe album Discovery de Daft Punk. L’histoire, si elle peut paraître simpliste de prime abord, n’en sera pas moins métaphorique quant à la créativité musicale et l’appât du gain éternel par les imprésarios et autres producteurs en tous genres. Et puis la fin est tellement bien trouvée qu’on n’a qu’une envie : le revoir !
Eowyn Cwper
140 abonnés
2 040 critiques
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4,0
Publiée le 21 novembre 2016
Le résumé n'est pas accrocheur : cet anime musical et muet raconte l'histoire interstellaire d'un groupe de musique extraterrestre kidnappé par un mégalomane terrien. L'intrigue fait bien penser aux complots énormes et extravagants que les Nippons aiment mettre en image. Pourtant, si discutable l'animation soit-elle, et bien que le rythme d'images soit nettement trop élevé, on peut beaucoup parler positivement du reste : et d'un, ...
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Ydxbemxs llik
8 abonnés
32 critiques
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5,0
Publiée le 4 avril 2021
Toute une heure à écouter le meilleur album de Daft punk devant les dessins de Leiji Matsumoto...qu’est ce qu’il vous faut de plus? Il est peut être vrai que le film plaira surtout aux fans du groupe mais bon....qui n’aime pas Daft punk?
Daft Punk & Leiji Matsumoto's Interstella 5555 est un projet ambitieux de film d'animation réunissant les talents du groupe électronique français Daft Punk et du légendaire dessinateur japonais Leiji Matsumoto. Le premier est devenu en seulement deux albums le fer de lance d'une musique techno ludique et festive. Quant au second, il est l'une des légendes de l'animation japonaise, avec à son actif la création du personnage d'Albator, le célèbre C
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Un film, un album, une collaboration...
Le manga Daft Punk & Leiji Matsumoto's Interstella 5555 est un long métrage d'animation accompagné musicalement par les quatorze chansons de Discovery, dernier album en date du groupe Daft Punk, paru en 2001. Ce film d'animation marque la seconde collaboration des musiciens français avec le maître du manga japonais Leiji Matsumoto, qui avait déjà signé quatre clips de leur album (One More Time, Aerodynamic, Digital Love et Harder, Better, Faster,
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Un musicien aux anges
Thomas Bangalter, l'un des deux membres fondateurs du groupe Daft Punk, ne cache pas son enthousiasme au sujet de Daft Punk & Leiji Matsumoto's Interstella 5555, déclarant que le film d'animation constitue "la rencontre entre deux générations et deux cultures". Concernant la collaboration avec le maître du manga japonais Leiji Matsumoto, le musicien déclare : "Il nous a fait rêver quand on était petits. Nous dessinions Albator sur nos tables d'éc
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