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Synopsis
1843. Joueur professionnel, Paul Regret tue un homme au cours d'un duel et doit fuir au Texas où il fait la connaissance d'une aventurière nommée Pilar. A Galveston, il est capturé par le capitaine Cutter, des Texas Rangers. Ensemble, les deux hommes devront affronter la bande des Commancheros.
L’ultime réalisation de Michael Curtiz remplit le cahier des charges du western classique : les grands espaces du grand Ouest américain (le Texas), des indiens (les comanches), des hommes blancs affublés de colts et fusils (les Rangers), des hommes qui profitaient de la guerre entre les tribus amérindiennes et les hommes colonisateurs et, bien sûr, des fusillades. Et pourtant, "Les comancheros" ne figure pas parmi les films majeurs du ...
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rogertg2
21 abonnés
762 critiques
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4,0
Publiée le 15 juillet 2008
Un bon western à l'ancienne avec d'excellents acteurs, avec de l'action mais aussi de l'humour.
chrischambers86
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3,5
Publiée le 30 novembre 2011
Inattendu puisque le dèbut de "The Comancheros" commence par un duel à la "Barry Lyndon". Puis, une fois le gènèrique passè, on n'entre dans un western simpliste mais très plaisant avec un fugitif qui se fait capturer par un ranger! Ensemble, ils vont devoir affronter une horde de brigands qui les attaque! Grâce au capitaine des rangers du Texas alias John Wayne l'èternel (il a quasiment la même tenue dans "Rio Bravo" dans les premières ...
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this is my movies
569 abonnés
3 087 critiques
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3,5
Publiée le 15 mai 2019
M. Curtiz signait là son dernier film, décédant peu avant sa sortie. Très malade sur le tournage, il sera supplé par un J. Wayne qui venait de signer son 1er long quelques mois auparavant. Classe et respectueux, Wayne refusera d'être crédité au générique final comme co-réalisateur. Ceci mis à part, que vaut vraiment ce western, plutôt orienté vers l'action et l'aventure que vers la psychologie et le réalisme. Et bien c'est un ...
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Les Comancheros est le dernier film de Michael Curtiz, prolifique réalisateur de la Warner qui signe ici paradoxalement son ultime opus chez la Fox. On lui doit , entre autre, Le Capitaine Blood, La Charge de la Brigade Légère et Les Aventures de Robin des Bois avec Errol Flynn et Olivia de Havilland, son couple phare, qu'il fait d'ailleurs se retrouver dans Les Conquérants et La Piste de Santa Fé qui comptent parmi ses premières incursions dans
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Retrouvailles au sommet
C'est la même année que Les Comancheros, que Lee Marvin et John Wayne se retrouvent dans L' homme qui tua Liberty Valance sous la direction de John Ford. Ce dernier les réunira à nouveau dans La Taverne de l'Irlandais, en 1963.
Une affaire de famille
Sur les plus de 200 films où il est crédité, John Wayne a tourné près de deux tiers de westerns . Archétype du héros frondeur et obstiné, il a été le héros de cinéastes aussi divers que Raoul Walsh, Howard Hawks ouJohn Ford. Pour Les Comancheros, il est entouré de membres de sa famille, en l'occurence l'un de ses fils , Patrick Wayne , et l'une de ses filles, Aissa Wayne, qui l'avaient tous les deux déjà accompagné dans Alamo .
Un western à prendre au second degré tant le nombre d'anachronismes est sidérant. Contrairement à d'autres réalisateurs de l'âge d'or du cinéma, Michael Curtiz ne livre pas ici une sorte de testament pour son dernier long-métrage, mais un aimable divertissement. Qu'à cela ne tienne, it's Showtime...3/5