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Synopsis
En 1986, la société General Motors annonce la fermeture de ses usines de Flint. 35 000 habitants se retrouvent au chômage. Michael Moore, armé de sa caméra, tente d'attirer l'attention du PDG de la compagnie sur la désertification de la ville qui résulte de cette décision.
Ahurissant. Le culot, le dédain, la condescendance ainsi que l'ignominie avec lesquels les employés de cette usine ont été traité est tout simplement parfois insoutenable. Le pire dans cette histoire, c'est que des drâmes comme celui de Flint arrivent tous les jours dans le monde. C'est véritablement une honte et met en évidence le peu de valeur de "l'outil humain" dans les industries d'aujourd'hui. Un plaidoyer pour le prolétariat et ...
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CeeSnipes
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3,5
Publiée le 19 novembre 2011
Bienvenue dans le monde merveilleux de Michael Moore, un monde où les salauds sont vraiment salauds et les pauvres gens, de pauvres malheureux sans défense.
En effet, chez Michael Moore, on comprend très vite que le trublion américain en a après certaines personnes et qu’il ne lâchera pas tant qu’il n’aura pas vu Roger Smith et qu’il est évident qu’il ne le verra pas, dès les 10 premières minutes, le suspense est ...
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Jérôme H
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5,0
Publiée le 25 juillet 2008
LE documentaire qui fit connaitre le sublime Mickael Moore. Déjà à l'époque le réalisateur usait de sa tenacité et de son humour assez grincant mais diablement efficace. Il a de la répartit et n'ose pas à faire le forcing pour dévoiller les faits plustôt que de les supposé ou de les resortir déjà analysés. Bref du vrai travail de journaliste neutre et impartial. Bravo encore.
lillois
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5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Flint dans le Michigan fut certes le berceau de General Motors mais également celui de Michael Moore. Tout petit déjà, il carburait à l'imagerie de cette entreprise (en gros toute sa famille y travailla sauf lui). Quand le grand patron Roger B. Smith décida que le bénéfice hallucinant de la firme justifiait la fermeture de onze usines sur le territoire américain et l'ouverture d'usines au Mexique, les licenciements se comptèrent par ...
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Quand Michael Moore décide de réaliser un documentaire autour de la fermeture des usines de la General Motors et de ses conséquences dans sa ville natale de Flint, il ne connaît presque rien à l'aspect technique du métier (les mouvements de caméra, l'éclairage, etc...). Il rencontre alors un réalisateur de documentaires à faibles budgets, Kevin Rafferty, qui l'aide pendant le tournage et lui sert de directeur de la photographie.
Un financement pas comme les autres...
Le magazine de San Francisco dans lequel Moore travaille au début de Roger et moi est le Mother Jones. Moore travaillait pour ce magazine en 1985 avant d'être licencié pour avoir mis la photo d'un de ses amis en couverture. Moore a alors attaqué le journal pour rupture de contrat et utilisé le dédomagement touché pour financer en partie Roger et moi. Ce n'est pas uniquement de cette manière que Michael Moore a réussi à financer son film. 50 000 d
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L'ironie de Michael Moore
Dans le générique de fin de Roger et moi, Michael Moore remercie ironiquement Roger B. Smith, le PDG de la General Motors. Par ailleurs, il avait demandé à ce qu'une place lui soit systématiquement réservée lors de toutes les premières projections du documentaire. Celui-ci n'a assisté à aucune d'entre elles.
6 Secrets de tournage
Infos techniques
Nationalité U.S.A.
Distributeur Bis Repetita
Année de production1989
Date de sortie DVD 19/08/2003
Date de sortie Blu-ray-
Date de sortie VOD 19/02/2018
Type de filmLong-métrage
Secrets de tournage 6 anecdotes
Budget160 000 $l
Date de reprise 01/08/2007
Langues
Anglais
Format production
-
CouleurCouleur
Format audio-
Format de projection-
N° de Visa72 939
Commentaires
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Chesterfield39
C'est loin d'être son meilleur documentaire. Il est intéressant mais la réalisation est assez bancale.