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Synopsis et détails
Interdit aux moins de 16 ans
La reine Élisabeth 1ère est envoyée dans le futur par l'occultiste John Dee. Elle débarque dans l'Angleterre tumultueuse de la fin des années 1970. Elle évolue dans le décor d'une ville en pleine décadence sociale et matérielle, en observant les agissements d'une bande de nihilistes, Amyl Nitrate, Bod, Chaos, Crabs et Mad.
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2101 abonnés
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1,0
Publiée le 17 novembre 2011
La reine vierge (Elizabet Ier) découvre un Royaume-Uni futuriste (pour elle) fasciste ; un film comment dire de style "punk" assez anarchique qui semble vouloir dénoncer l'Angleterre de l'époque (le film a été tourné à la fin des années 70) mais qui est avant tout ennuyeux. Jubilee mise trop sur son approche hors-norme encore faut-il avoir un certain sens artistique, on dirait le délire d'un cinéaste s'amusant en faisant n'importe quoi ...
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benoitparis
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71 abonnés
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2,0
Publiée le 14 août 2011
S’il y a eu un cinéma punk, « Jubilee » en est à coup un représentant notoire. Sa faiblesse essentielle est, que, tout étant imprégné d’idées situationnistes sur le spectacle, il reste un manifeste très discursif, très conceptuel et démonstratif, bref avec les pires travers de l‘art engagé. Reste une esthétique à la fois trash et sophistiquée qui accouche par moment de beaux délires visuels. Et puis c’est tout.
Baron Jack - Le Scarifié - L'Explorateur
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25 abonnés
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4,0
Publiée le 28 novembre 2015
Pour commencer cette critique... Pourquoi **Jubilee** est-il si intéressant?
Tout d'abord, c'est un film à remettre dans son contexte. On est à la fin de la décennie des 1970s, et c'est un petit peu le début d'une petite série de films "punk" qui vont faire un petit phénomène dans un cercle restreint.
Des œuvres assez étranges telles que **Liquid Sky**, **Breaking Blass**, **Dr Caligari** (1989); **Forbidden Zone** se sont ainsi ...
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Tourné en 1977 en Angleterre, en pleine période Punk, Jubilée est très influencé par cette culture. Le film s'illustre notamment par son côté subversif anti-monarchiste. Plusieurs grandes icônes du Punk font une apparition dans le film, de Jordan (protégée de Malcolm McLaren) à Toyah Willcox en passant par Nell Campbell.
Le T-Shirt de la discorde
La styliste britannique Vivienne Westwood a vivement critiqué le film et son réalisateur Derek Jarman, en 1978, arguant que l'oeuvre dénaturait le mouvement Punk. Elle est allée jusqu'à créer un T-Shirt intitulé "Open T-Shirt To Derek Jarman from Vivienne Westwood" avec son avis négatif écrit dessus. Mais ce qu'elle n'attendait pas, c'est que cet étoffe finisse par devenir culte, terminant en exposition au Victoria &...
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Avec les moyens du bord
En raison du budget limité du film, une des actrices principales du film, Jordan, venait sur le plateau en transports en commun et s'occupait elle-même de sa coiffure et de son maquillage chez elle avant de partir.