Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Un été, au Kremlin-Bicêtre, deux histoires se télescopent dans un feu d'artifice tragi-comique. Un réalisateur et ses comédiens, qui n'arrivent pas à terminer le film qu'ils ont commencé et qui a été refusé à l'avance sur recettes, assassinent les membres de la commission. Seul le président en réchappe. D'autre part, un Mandrin moderne et muet, en rollers, vole l'argent des riches pour le donner aux pauvres.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
123 abonnés
Lire ses 627 critiques
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Il y a quelques temps morts, bien morts mais dans l'ensemble c'est un film très amusant. Un hommage à Demy, pour qui Françoise Lebrun chante une délicieuse chanson, un film dans le film et surtout le morceau d'anthologie : l'asassinat façon 10 petits nègres des membres de la commission d'avance sur recettes. Même en tant que simple spectateur ça fait plaisir de voir occire ces bourgeois bien-pensants, alors en tant que réalisateur ...
Lire plus
didbail
Suivre son activité
15 abonnés
Lire ses 492 critiques
2,5
Publiée le 15 avril 2008
Difficile de porter un jugement sur un tel film. Si le fond est souvent intéressant, la forme, elle, est parfois agaçante. Mais le message de Vecchiali mérite d'être entendu. Et si les bénéfices colossaux de certains block busters ou d'un "Bienvenue chez les ch'tis" servaient un tout petit peu à financer un cinéma d'auteur indispensable ?
Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Sans vouloir être à tout prix cynique, on peut comprendre pourquoi les scénaris de ce réalisateur se font régulièrement évincer de la commission d'avances sur recettes. Encore que, la fiction du passage devant la commission soit la scène la plus réussie du film (on sent qu'il y a du vécu) mais ne mérite pas à elle seule une étoile. Le reste du fim n'est qu'ennui et stupéfaction devant si peu de talent et d'intention qui justifient ...
Lire plus
"Après mon téléfilm Victor Schoelcher, ou l'abolition, j'ai fait pendant deux ans le deuil du cinéma en me vouant à la littérature. La rétrospective que m'a consacré la Cinémathèque française en février 2002 a relance la boule de flipper. J'ai donc, sur les instances de Danielle Darrieux, repris le projet écrit pour elle et Annie Girardot, La Marquise est à Bicêtre. Deux refus consécutifs à l'Avance sur recettes (après les dix-huit précédent
Lire plus
Le ton du film
Paul Vecchiali : "Je voulais que le burlesque avoisine avec l'angoisse (le comment des meurtres), la pédagogie avec le tragique (d'où sort l'Avance sur recettes, comment fonctionne-t-elle) ; et la poésie peut-être avec l'économie (le cinéma dans tous ses états)."
L'Avance sur recettes, késaco ?
C'est une aide accordée par le Ministère de la Culture au bénéfice des films français. Conçue pour permettre à des cinéastes de réaliser des oeuvres novatrices et ambitieuses, elle fut instituée par le décret du 16 juin 1959, époque où les jeunes "auteurs" de la Nouvelle Vague cherchaient à imposer un cinéma différent du cinéma commercial dominant. Dès 1963, un auteur-réalisateur peut donc lui-même obtenir une promesse d'aide, susceptib
Lire plus