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Synopsis
Une universitaire brillante, mais peu adaptée aux réalités du monde moderne, reçoit un plombier venu faire quelques travaux dans sa salle de bains. De plus en plus envahissant, il finit par s'installer chez elle. Face à cet homme étrange et menaçant, elle se révèle terriblement vulnérable. Angoisse, terreur, solitude : le cauchemar va durer près d'une semaine...
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1,0
Publiée le 24 décembre 2008
Une réalisation certes originale mais fort ennuyeuse, hormis quelques scènes comiques. L'actrice principale m'est par ailleur insupportable, et même si c'est voulu, le visionnage du film n'en est pas moins rendu pénible.
AMCHI
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1,0
Publiée le 12 mai 2013
Il ne faudrait pas négliger la période australienne de Peter Weir qui comporte de bons films tels que Pique-nique à Hanging Rock ou encore La Dernière vague par contre Le Plombier est un téléfilm raté. Je croyais que l'histoire se déroulerait en une seule journée mais non ce plombier envahissant va narguer sa cliente pendant plusieurs semaines, elle aurait pu porter plainte ou lui foutre un bon coup de genou là ou je pense mais non elle ...
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VeganForAnimalRights
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4,0
Publiée le 17 octobre 2019
Weir brosse le portrait d'une féminité toujours déjà menacée par une masculinité inaltérablement violente dont l'incarnation paroxystique est ce plombier qui fait exprès de l'effrayer, de la pousser à bout, de jouer avec elle comme le pervers qu'il est. L'héroïne n'a aucune aide à attendre de son mari, autre incarnation d'une violence masculine enfermée celle-ci dans son égotisme, sa carrière en l'occurrence, sur l'autel de ...
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chrischambers86
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8 396 abonnés
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0,5
Publiée le 3 mai 2013
C'est le plus mauvais film de Peter Weir, indiscutablement! Quatrième long-mètrage du rèalisateur australien de "The Year of Living Dangerously" et de ""Mosquito Coast" qui signe ici une histoire où l'insolite apparaît sous le quotidien! L'ètrange s'insinue en effet grâce à Ivar Kants, un plombier dècontractè qui prend un malin plaisir à provoquer et à effrayer une universitaire un peu coincèe du cul, campèe par Judy Morris! Que ...
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Weir brosse le portrait d'une féminité toujours déjà menacée par une masculinité inaltérablement violente dont l'incarnation paroxystique est ce plombier qui fait exprès de l'effrayer, de la pousser à bout, de jouer avec elle comme le pervers qu'il est. L'héroïne n'a aucune aide à attendre de son mari, autre incarnation d'une violence masculine enfermée celle-ci dans son égotisme, sa carrière en l'occurrence, sur l'autel de laquelle il est prêt à sacrifier sa femme dont il ne voit pas la souffrance. Celle-ci n'a donc d'autre choix que la ruse pour se débarrasser de son agresseur passif-agressif (un bel exemple de perversion narcissique dirait-on aujourd'hui), qui autrement aurait poursuivi son travail de sape de sa victime tout comme celui de sa salle de bain - une destruction en règle. Le plombier est moins la personnification héroïque de l'esprit rebelle en lutte contre l'ordre bourgeois que celle de la jalousie, de la paranoïa, de la haine et du ressentiment. Il est d'une lâcheté méprisable, plaisantant avec le mari et terrorisant la femme, faisant la preuve de sa misogynie pathologique.