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Synopsis
Emile est un jeune homme marqué par un terrible traumatisme: plus jeune, il assiste à un meurtre par strangulation sur une jeune femme en larmes avec une écharpe blanche. Aujourd'hui trentenaire, Emile reproduit ce meurtre sans se rendre compte de l'horreur de son acte et compte cinq victimes à son actif. L'inspecteur Simon Dancrey suit la piste du meurtrier et se fait passer pour un journaliste auprès d'Émile afin de le prendre au piège.
10 237 abonnés
11 813 critiques
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2,0
Publiée le 12 juin 2015
Une ècharpe d'enfant de couleur blanche avec des petites franges peut laisser parfois des souvenirs troublants et indèlèbiles! Encore que le mot « meurtre » , comme le mot « crime » et « criminel » , sonnent faux en face de ces actes irraisonnès que nous voyons dans ce film! N'èprouvant rien, Emile n'a pas de vrai mobile et ne supporte pas le malheur! Cet homme agit ni par intèrêt ni par vice ni par mègalomanie ou quoi que ce soit ...
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cylon86
2 049 abonnés
4 430 critiques
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2,0
Publiée le 14 janvier 2015
Depuis qu'il a vu une femme étranglée sous ses yeux lorsqu'il était enfant, Emile reproduit le même meurtre dans les rues de Paris, s'en prenant aux femmes seules et malheureuses. Un inspecteur de police lui tend un piège mais ses méthodes sont peu habituelles... "L'étrangleur" est un film étrange, loin d'emprunter le chemin du film policier que son histoire le laissait entrevoir. Peu intéressé par l'aspect criminel et policier de son ...
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Un visiteur
1,5
Publiée le 4 août 2014
Un film ennuyeux à la psychologie de salon, il faut aimer le style. Il y a des tracassés tout de même.
benoitparis
86 abonnés
1 277 critiques
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4,0
Publiée le 29 mai 2011
En admirateur érudit du cinéma français des années 30, Vecchiali reprend et radicalise les ingrédients du mélodrame populiste et du réalisme poétique. Il superpose un drame stylisé et irréel au tableau d’un univers urbain populaire et petit bourgeois des années 70, et intègre la chanson dans son cinéma. Le charme juvénile et angélique de Jacques Perrin donne un aura troublant à son personnage de tueur compassionnel totalement ...
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L’étrangleur est le deuxième film de Paul Vecchiali, qu’il réalise quatre ans après Les Ruses du Diable (1965).
Genèse du projet
Paul Vecchiali propose dans son autobiographie, et plus particulièrement dans le tome 5 intitulé les aléas de la sieste, un texte qui corrobore l’état d’esprit dans lequel il se trouvait lors de la préparation de ce film. En voici un extrait : "Pelotonné dans le fauteuil, je laissais vaquer mon imaginaire qui, entre deux siestes abruptes, affinait les personnages, leur rapport, cimenté la structure. Le soir qui suivi ma dernière dérive, je sus qu
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Un film utile
Paul Vecchiali a toujours considéré qu’il lui était primordial de réaliser L’Etrangleur. Non pas uniquement parce que son sujet l’intéressait, mais aussi parce que le film est nourri de choses étranges et étrangères à lui et qu’en réalité, le réalisateur est passionné par l’inconnu.