Dans les années 1950, deux femmes, l’une blanche et l’autre noire, élèvent ensemble leurs filles. Mais lorsque celles-ci grandissent, des conflits vont conduire au drame...
La défaillance d'un minuscule transistor provoque l'alarme au Strategic Air Command où sont surveillées les mouvements de tous les avions du monde. Cette défaillance fait croire à l'existence d'un engin non identifié. Une escadrille de bombardiers atomiques est envoyée en direction de Moscou.
A Détroit, gangrené par le crime organisé, l'officier de police James Murphy est laissé pour mort après une fusillade. Il devient alors le parfait cobaye pour la création d'une nouvelle arme, un policier hybride mi-homme, mi-robot.
Défendre la planète Rylos des vaisseaux ennemis, tel est l'enjeu du Starfighter. Imbattable a ce jeu vidéo, Alex joue une partie mémorable qui sidère son entourage. Mais la suite est encore plus incroyable, car un alien vient à sa rencontre pour lui proposer d'empêcher l'invasion de la galaxie.
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Plume231
Les Aventures de Robinson Crusoé (1954) de Luis Buñuel
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Synopsis : Victime d'un naufrage, Robinson Crusoé se voit dans l'obligation de survivre sur une île déserte en compagnie de son chien Rex et d'une petite chatte. Il va, durant ce long séjour (vingt-huit ans), perdre la foi, rencontrer des cannibales, sauver Vendredi, en faire son esclave puis devenir son ami et enfin repartir dans sa patrie. Bunuel n'aimait pas le roman de Defoe, mais attiré par le personnage de Robinson, il fait de son film (le premier qu'il réalise en couleurs) une réflexion sur l'homme seul face à la nature et les rapports maître esclave.
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Critique : Quand on regarde le film, on se laisse prendre par le bon rythme imposé à l'ensemble, par le dépaysement et par une intrigue assez riche en rebondissements ; et juste après on se dit que cette adaptation du roman de Daniel Defoe (lu il y a trop longtemps pour pouvoir faire une comparaison !!!) est un Buñuel (le premier film en couleurs pour le cinéaste !!!) impersonnel. Mais quand on y réfléchit un peu, quand on pense au côté "remise en cause de l'existence de Dieu" et à quelques détails secondaires qui ont l'air de rien, peut-être pas tant que cela... Bref la surface respecte le film d'aventures tout ce qu'il y a de plus classique mais quand on creuse un peu on trouve un chouïa de subversivité bien bunuelienne. Dans un rôle difficile car se retrouvant bien évidemment une grande partie du film tout seul, l'acteur irlandais Dan O'Herlihy est excellent. Pas grandiose certes mais peut-être pas si mineur que cela ce Buñuel.
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