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    Heinz Rühmann
    Métiers Acteur , Producteur
    Nom de naissance

    Heinrich Wilhelm Rühmann

    Nationalité
    Allemand
    Naissance 7 mars 1902 (Essen - Allemagne)
    Décès 3 octobre 1994 à l'age de 92 ans (Aufkirchen - Allemagne)
    63
    ans de carrière
    66
    films et séries tournés

    Filmographie

    Si loin, si proche
    Si loin, si proche
    1 septembre 1993
    Au Diable les Anges
    Au Diable les Anges
    Date de sortie inconnue
    La Bourse et la Vie
    La Bourse et la Vie
    27 avril 1966
    Maigret fait mouche
    Maigret fait mouche
    Prochainement
    Belles d'un soir
    Belles d'un soir
    Date de sortie inconnue
    La Nef des fous
    La Nef des fous
    2 décembre 2003
    Mein Schulfreund
    Mein Schulfreund
    Date de sortie inconnue
    Grand hôtel
    Grand hôtel
    Date de sortie inconnue

    Photo

    News

    Maigret : connaissez-vous la série japonaise ?
    News - Culture ciné
    mardi 1 mars 2022
    Commentaires
    • Plume231
      Si loin, si proche ! (1992) de Wim Wenders [img]http://img.ozap.com/00800360-p...[/img] Synopsis : Cassiel, l'ange qui veille au-dessus de Berlin, rêve de devenir humain, comme son compère Damiel, qui vit avec Marion, la trapéziste, et tient une pizzeria. Cassiel sauve une fillette qui tombe d'un balcon et, par cette intervention, perd son statut d'ange... [img]http://www.new-video.de/pic05/...[/img] Critique : "Les Ailes du désir" est magnifique, profond, envoûtant, bref c'est une réussite magistrale. Mais on ne pourrait pas en dire autant de sa suite. OK, là encore c'est beau, aussi bien pour les images en noir et blanc que pour celles en couleurs. Et il y a bien une ou deux séquences qui retiennent l'attention. Côté casting, ça donne encore plus envie. On retrouve les mêmes sauf Curt Bois décédé à qui le film est dédié. On ajoute Horst Buchholz, Nastassja Kinski, Heinz Rühmann, Willem Dafoe et même Mikhail Gorbachev himself le temps d'une scène. Le regretté Peter Falk ne manque pas bien sûr de se trouver comme par hasard à Berlin. Et Otto Sander a une gueule qui provoque tout de suite l'attachement. Mais faute d'un scénario un peu minimum écrit, beaucoup trop fantaisiste, beaucoup trop répétitif et qui manque sérieusement d'épaisseur (à l'image du personnage de Nastassja Kinski!!!) ponctué en plus de séquences soient simplistes, soient paradoxalement prétentieuses (comme celle du musée!!!), on s'ennuie parfois franchement. Résultat, une oeuvre très inégale qui se fait poser la question de l'utilité d'une telle suite. Note : 8/20 (**) [img]http://www.ruehmann-heinz.de/I...[/img]
    • Plume231
      test
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