Avis Tales From The Loop

Une série d'une lenteur incroyable, j'ai failli ne pas arriver au bout du premier épisode. Mais quelle satisfaction d'avoir tenu bon, l'ensemble en fait un chef d'oeuvre humain, visuel, musical que je n'oublierai pas de si tôt. Ma décepton : d'avoir déjà découvert tous les épisodes.

Classique et originale à la fois.

Jamais la série ne cache son ambition d'aborder thèmes classiques déja explorés par d'autres. Le deuil de sa propre existence, la fugacité de la passion, la re-rencontre avec son enfant interieur, ... et pourtant, classique ne veux pas dire faible ou sans originalité. Les thèmes sont fort, parfois abruptes, laissant une fin d'épisode toujours en demi-teinte qui mène - comme tout réelle oeuvre SF devrait le faire - à se questionner sur nos propres existences. En cela, le parti pris de donner un plot différent à chaque épisode est une merveilleuse idée. Même si une intrigue générale se dessine dans cette saison, la fin d'un épisode rassasie et étanche une soif, se dégustant comme un met complet à lui seul.

On pourrais comparer cette serie à 100 autres, mais son point de vue, sa réalisation somptueuse, ses acteurs juste et sa musique émotionelle en font un petit bijou.

Notez que si je connais très bien l'univers graphique crée par Simon Stalenhag, je ne connais pas me jeu de rôle qui s'en est inspiré. Je ne peux donc pas comparer le jdr a la série.
L'univers graphique de Tales from the loop (l'original) est en revanche bien respecté. On s'amusera d'ailleur a reconnaitre certaines illustrations mythiques de Stalenhag dans quelques plans de la série.

Si vous aimez la SF, foncez!

Je viens de finir la série Tales from the loop et j'ai du Mal à croire que j'ai pu regarder cette série aussi rapidement tellement chaque épisode est un pur chef d'œuvre ! Pour les fans de série d'action ou de série pur bastons, passez votre chemin !! Cette série est comme une poésie ou s'entremêlent science fiction et drame sur fond de réflexion sur des thèmes grave et que n'importe qui peut rencontrer dans sa vie. Cette série est un bijou

Tales from the loop est une série de science fiction de 8 épisodes ( les épisodes 1 2 et 8 constituent la trame principale de la saison, les autres peuvent être regarder dans le désordre après avoir vu les épisodes 1 et 2 ) d'environs 1 heure.
Je ne connais pas l’œuvre dont s'est inspirée la série mais c'est bien écrit et réaliser et le casting est plutôt réussi hormis peut être quelques exceptions. Pour le coté science fiction on retrouvera de grands classiques comme le voyage dans le temps, l’échange de corps, mettre le temps sur pause, monde parallèle etc ... Les thèmes aussi sont plutôt classique comme faire son deuil, la quête du bonheur ou celle de l'amour. La musique contribue à l'ambiance particulière de la série. Au vu du rythmes de la série je ne recommande pas le binge watching car le rythme de la série est assez lent.
En bref si vous aimez la science fiction contemplative type Premier Contact de Villeneuve cette série est faite pour vous mais les fans d'indépendance day devrait avoir du mal à trouver leur compte.

tales from the loop

Mélancolique, naturaliste, d’une grande exigence en ce qui concerne la nature des intrigues, d’inspiration sci-fi déconcertantes et qui donne une impression étrange et bienvenue d’étirement du temps en dépit d’un format relativement court, et qui crée également un fort intérêt pour les personnages et leurs péripéties. La série opte pour des épisodes one shot mais évite très habilement l’écueil de l’anthologie qui se contente de raconter des histoires isolées les unes des autres, alors qu’ici est conservée une unité d’environnement et de personnages qui donne la sensation d’un ensemble très cohérent et unifié.
Des oeuvres de fiction élégamment réalisées qui redonne au genre de la série ses lettres de noblesse, et une voix tout à fait singulière, séduisantes par leur étrangeté et délicatesse.
La musique est aussi soignée et subtile que les intrigues. Ca rappelle the leftovers au meilleur de sa forme (c’est-à-dire la première saison). Bref, je n’ai vu que 2 épisodes mais je recommande, au moins pour ces 2 premiers épisodes. A suivre.

Seul le premier épisode m'a plu. Le reste est malheureusement sans intérêt. Le format de cette répétition en boucle par la vision de différents protagonistes n'apportent pas d'intérêt. Certains épisodes sont extrêmement ennuyeux. La vue de l'ensemble des épisodes n'apportent pas de signification et il s'en dégage beaucoup de confusion.

C'est beau, c'est bien réalisé, c'est poétique, avec une ambiance à la The Leftovers, mais j'ai trouvé cette série finalement assez vaine.

Ma réaction a été de me dire : "tout ça pour ça". Est-ce que ça valait le coup d'oeil ? Ma foi, oui, c'était émouvant mais le format de la série, avec toutes ces petites tranches de vie, s'avère assez déroutant.

La SF n'est que prétexte pour nous parler de sujets plus réels, que tout le monde vit mais ça donne l'impression que malgré tous les prodiges qui se produisent dans cette petite ville, rien n'a vraiment de conséquence. C'est une curieuse façon de narrer une histoire. C'est pas vraiment une série d'anthologie à la Twilight Zone, ce n'est pas une série bouclée à la Fringe, c'est pas non plus un soap opera à la Twin Peaks, c'est encore autre chose. J'ai trouvé ce format assez lassant sur le long-terme. Pas sûr de regarder la S2.

Je préfère prévenir tout de suite, si vous cherchez de l'action à outrance, des sabres lasers et des voyages intergalactiques, passez votre chemin. Rien de tout ça, dans ce spectacle crée par Nathaniel Halpern.

Cette série dramatique qui adopte un rythme assez lent, propose une histoire vraiment différente à chaque épisode. Elle nous dépeint la vie de plusieurs personnages, leur quotidien étant influencé par le Loop, mystérieux complexe scientifique situé sous terre dans une petite ville de l'Amérique profonde.

Le lien qui existe entre une mère et son fils, la mort d'un proche, le handicap, la peur de l'abandon, le sacrifice, autant de thèmes qui sont ici abordés avec une humanité et une empathie, qui toucheront en plein cœur les personnes les plus sensibles et émotives. La justesse des acteurs, la mise en scène millimétrée avec des plans magnifiques et pleins de poésie, le tout porté par une musique mélancolique de Philip Glass tout bonnement magnifique. Plusieurs épisodes nous ont, ma femme et moi, touchés aux larmes et que dire de ce final bouleversant qui conclut avec brio ce chef-d’œuvre d'émotion.

J'ai découvert Tales From The Loop la veille de sa parution sur Amazon Prime et franchement, je n'en attendais pas grand chose... Mais quelle claque. Cette série unique est une perle de la science-fiction, un bijou d'humanité, un récit émouvant et puissant qui ne plaira pas à tout le monde et en laissera certains sur le bord de la route. Mais pour les autres, cette œuvre d'exception vous marquera profondément et passera malheureusement, comme un battement de cils.

J'attends désormais le pied ferme la saison 2 qui a été annoncée pour mon plus grand plaisir!!

On voit clairement l'influence énorme de Tarkovsky spoiler: ( notamment la séquence ou Klara jeune est assis sur la clôture, image qui est repris du Miroir)
mais aussi par son esthétique très organique et naturel. La musique de Phillip Glass, qui orchestre bien l'atmosphère métaphysique et philosophe de cette série. Je trouve ça étonnant d'un point de vue narratif, ou chaque épisode est complémentaire et ou l'on suis des héros différents, à la limite de l'anthologie, mais pas vraiment.
Bref une claque pour ceux qui aime le genre.

Je n'ai pas du tout accroché. On n'est clairement pas sur un thème de science fiction mais plutôt de fantaisie. Le titre est assez clair là dessus ("tales" from the loop). Je n'ai pas fini la série mais c'est mou, lent, les acteurs sont pas vraiment charismatiques et en plus l'intrigue est inexistante dès les premiers épisodes. Par contre l'univers et l'ambiance sont bien réalisés, merci à l'ambiance sonore de la série (j'ai franchement eu l'impression que c'était un copié collé volontaire de la bande son de the leftovers, à la différence qu'il y a une vrai intrigue, des acteurs excellents qui fait qu'on arrive à comprendre leur émotions dans the leftovers et pas dans tales from the loop). Je vais regarder jusqu'à la fin, je n'aime pas clairement ce style de fantaisie sans queue ni tête et décousue, mais si vous aimez la fantaisie, peut-être que vous y trouverez votre compte.

Série captivante. Non pas par son action ou par ses effets spéciaux à tout va mais par sa simplicité et l'efficacité de l'histoire et de la mise en scène.
L’esthétisme est simple mais efficace car on a pas besoin d'en avoir plein les yeux pour qu'on accroche au scénario.
Ici tout va au plus simple sauf le sujet principal qui est plutôt poussé car oscille entre science-fiction, recherches scientifique et effets "surnaturels" dans l'environnement direct de la population qui vit en dessus du "Loop"
Toute cette simplicité permet de mieux appréhender "the loop" qui sinon aurait pu devenir un peu trop lourd.
En suivant les différentes choses "surnaturelles" qui s'y passe, on découvre la vie des habitants de cette petite ville qui cherchent à comprendre mais continu malgré tout à vivre normalement en "s'amusant" parfois des situations bizarre que provoque cette étrange sphère.
Les décors naturels sont magnifiques.
L'ambiance musicale et faite avec de vrai instrument ce qui donne un coté un peu mystique comme certain son que l'on peu retrouver dans la culture amérindienne.
Ça peut paraître un peu déroutant car que ce soit dans les séries ou les films, depuis plusieurs années se ne sont que des sons d'ambiance et non plus des musiques.
Effectivement dans cette série il n'y a ni actions ni explosions à tout va etc... ce qui peu énerver d'impatiente beaucoup de spectateurs mais l'histoire des personnages, les effets surnaturel, l'incompréhension de cette étrange sphère fait que nous restons captivé et voulons en savoir plus.
Série envoûtante et passionnante.

Cette série est une expérience narrative, visuelle et cinématographique. On est embarqué en mode contemplatif dans 8 aventures étranges liées au Loop, mystérieuse sphère, dans un village quelque part et on ne sait pas vraiment quand. Chaque épisode est indépendant et se focalise sur un ou quelques personnages mais finalement tout est lié. Le rythme est volontairement assez lent pour bien s’imprégner de ce que ressentent les personnages. C'est magique, très intense, très humain et le tout avec beaucoup de poésie comme peut l'être un conte. Une expérience fantastique difficile à décrire, le mieux est de regarder la série. J'ai adoré.

Bien à défaut d'être très original. Mais souvent plus ennuyeux que passionnant. Le rythme est vraiment lent.

Franchement j'ai'du mal a comprendre comment tant de gens ont aime cette série. Je la'i vue dans son intégralité mais je ne sais pas trop dce que j'zi vu, je n'ai pas compris grand chose et je voudrais bien que ceux qui ont aime m'explique ce qu'ils ont compris et aimé dans cette série. On ne sait pas de qu'est le loop, son utilité, pourquoi il a été construit, qu'est ce que la boule qui y est conservée, d'où elle vient. Il semble y avoir différents mondes parallèles, le temps aussi peut être affecté... Il n'y a rien de cohérent, rien d'expliqué on est dans une sorte de songe de délire mélancolique, terne. Il ne se passe pas grand chose, c'est sans queue ni'tête. Je n'appelle pas ça de la science fiction, c'est incompréhensible, ennuyeux, maussade, pas vraiment d'effets spéciaux en dehors de quelques pauvres robots... On dirait une histoire née dans l'esprit d'un alcoolique en plein delirium tremens...

Deux amis qui échangent leurs corps, un jeune couple qui figent le temps lors de sa "première fois", une gamine qui rencontre son double plus âgé....telles sont quelques unes des histoires contées dans l'anthologie fantastique et métaphysique Tales From The Loop.
La série de Nathaniel Halpern tirée des mondes rétro-futuristes de l’artiste Simon Stålenhag est une bulle d’émotions, un poème humaniste éclairé par la lumière jaillissant de tous ses protagonistes. Ode élégiaque au temps qui passe et à la fragilité de notre destin, Tales From The Loop est un chef-d’œuvre absolu qu’on adorerait pouvoir oublier pour mieux le (re)découvrir.